Revue THOMAS en ECOLOGIE REALISTE

ECOBREVES de l'année 2010







Le Soleil sans tâches en 2009

Le Soleil aura passé toute l'année 2009 sans aucune tâche solaire. Or, il apparaît que la quantité d'énergie rayonnée par le Soleil augmente quand les tâches solaires augmentent en taille et dimensions. Il en résulte que, avec un certain retard, la Terre reçoit un flux moins important d'énergie et que, partant, son climat va se refroidir davantage. Le Times of London d'aujourd'hui titre Weather eye: The Sun may have had the strangest weather of last year et déclare à ses lecteurs que c'est plutôt un refroidissement global qu'il faut craindre que réchauffement global probablement terminé au plus grand bénéfice de l'ensemble de l'humanité.

Comparez l'état du Monde en 1989 et celui d'aujourd'hui. Si l'Afrique s'est un peu plus enfoncée dans la misère, ce n'est pas à cause du climat, mais à cause des politiques insensées qui s'y sont installées. Par contre, les pays du Tiers-Monde sont devenus des nations industrielles en pleine croissance comme la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Brésil, le Mexique et tant d'autres.

Un refroidissement climatique signifie des récoltes moins abondantes et une disette dans les pays riches, des transports gênés pendant les hivers plus rigoureux, une consommation d'énergie plus importante pour le chauffage notamment.

2 janvier 2009




L'hiver poursuit sa froidure

Malgré le délire alarmiste de la Conférence de Copenhague - qui prétendait en décembre sous la neige nous convaincre que le climat était de plus en plus chaud à cause de l'industrie humaine - l'hiver est de plus en plus froid. Et c'est naturel !

On note -14°C en Ecosse, -8°C en Normandie et en Ile-de-France, -2°C à Grenoble, -10°C à Charlesville-Mézières, -10°C en Allemagne et en Suisse, -17°C enRoumanie, -11°C en Pologne, -6°C en Russie près de Moscou, -34°C en Finlande, -27°C en Suède, il est tombé 57 cms de neige sur la capitale estonienne de Tallin avec -10°C. Le MetOffice de Londres , confirme le réchauffement climatique et annonce que, d'ores et déjà, décembre 2009 est le mois le plus froid depuis 1996. Ce froid devrait durer au moins jusqu'au 15 janvier 2010.

Il neige en Chine, dans les provinces de Hebei, Tianjin et Pékin où il y a dix centimètres de neige. Il fait -12°C à Pékin et -30°C dans les provinces du Nord-Est de Julin et de Heilongjiang.

Le Nord, le Centre et le Nord-Est des Etats-Unis sont encombrés par la neige avec des températures de +10°F à -33°F , c'est-à-dire de -12°C à -33°C.

4 janvier 2010




R.W. Spencer soulève un problème sur la mesure des températures par satellite

Dans un bref article "December UAH global temperature anomaly - down by almost half", le climatologue américain soulève le problème du ralentissement du réchauffement climatique annoncé par le GIEC comme constant.

Dans un tableau très intéressant, Spencer montre que les variations de température relevées par satellite, ramenées en anomalies sur une température de référence passée, sont très différenciées selon les latitudes, ce dont on pouvait facilement se douter. Mais, ces différences renforcent encore la critique d'un réchauffement anthropique "constant", puisque sur une latitude donnée, la température moyenne peut aussi bien monter que descendre, quelque soit la latitude. Donc globalement le réchauffement n'est pas constant et localement, le réchauffement n'est pas constant. On en déduit que la cause d'un réchauffement par des émissions anthropiques de gaz à effet de serre est extrêmement douteuse.

De plus, en traçant les courbes des anomalies de température moyenne des régions mesurées par satellite, on remarque qu'il existe un changement de régime en 2009 entre la première et la seconde moitié de l'année.

Ainsi, ce n'est qu'au mois de juin que l'anomalie de température moyenne s'annule, et ceci à la fois pour le Globe et pour ses parties. De Janvier à Juin, les anomalies se sont annulées, puis de juillet à décembre elles ont oscillé autour d'une anomalie de +0,35°C. On note aussi que l'anomalie de température du Globe n'est pas égale, sauf en juin, aux anomalies de température des autres parties ou de leurs combinaisons.

7 janvier 2010




Daniel Cohen et Copenhague

L'économiste socialiste Daniel Cohen fait paraître ce jour une chronique ou une Opinion dans le quotidien Le Monde qui constate l'échec de Copenhague et de trois utopies :
  • l'instauration d'une démocratie populaire mondiale - Cohen parle de "contrat mondial ... ;
  • la sauvegarde des revenus de Al Gore - Cohen parle des permis d'émission et de révolution technologique ...
  • les riches veulent rester riches en consommant moins et les pauvres devenir riches en produisant plus - Cohen parle de problème anthropologique ...
C'est assez bien vu, et il faut déguster son mot de la fin :
"... si le climat est une contrainte globale, le temps du monde n'est pas uniforme. A défaut d'en tirer toutes les conséquences, on s'expose au risque d'enterrer des utopies chacune essentielle dans la solitude de leur radicalité."
Enterrons donc et il fait toujours aussi froid dans l'Hémisphère Nord.

7 janvier 2010




Sur le tableau de l'anomalie de température 2009 mesurée par satellite UAH

Pour compléter la Brève d'hier, on a réalisé un calcul simple. Pour chaque mois, on a calculé la différence entre l'anomalie globale et l'anomalie de la zone comprise entre les Tropiques.

La zone équatoriale a réduit son anomalie de température moyenne dans la première moitié de l'année et l'a augmentée durant la seconde moitié de l'année, tandis que les zones polaires ont réduit leurs anomalies de température moyenne pendant toute l'année.

On note donc à nouveau que les climats régionaux se distinguent géographiquement et entre la première et la seconde moitié de l'année. Par ailleurs, l'anomalie de température positive, dénotant un réchauffement est constante et dans la seule zone tropicale. Et cette période de réchauffement a lieu pendant l'été ce qui dénote l'influence du Soleil et absolument pas d'un effet de serre de gaz d'émission anthropique. Plus encore, il n'y a aucune installation industrielle notable dans la zone des Tropiques et elles sont toutes dans la partie septentrionale de l'hémisphère Nord. Or, les zones polaires se refroidissent constamment durant toute l'année 2009.

Non seulement il n'y a presque plus de réchauffement climatique globale, mais en plus il n'est pas d'origine anthropique.

8 janvier 2010




Distinguer un propagandiste d'un scientifique

Le météorologue américain Martin Hertzberg donne dans une lettre ouverte publiée sous le titre Reply to "Climategate" editorial of Dec. 14,2009 in C & E News sur le site Climate Realist ne définition très suggestive sur ce que sont ces deux modèles en lutte dans le débat sur le réchauffement climatique anthropique.
If a scientist has a theory, he searches diligently for data that might actually contradict his theory so that he can test its validity or modify it as necessary. The propagandist, on the other hand, carefully selects only that data that might agree with his theory and dutifully ignores any data that disagrees with it. Si un scientifique a une théorie, il recherche diligemment les données qui pourraient vraiment contredire sa théorie de sorte qu'il puisse tester sa validité ou la modifier si nécessaire. Le propagandiste, par contre, sélectionne soigneusement les seules données qui pourraient soutenir sa théorie et ignore conscienceusement toute donnée qui serait en désaccord avec elle.

Le propagandiste de Hertzberg est exactement l'idéologue qui préfère sa vision à la réalité et il fait ce que font tous les réchauffistes. Si le monde ne se comporte pas comme notre théorie, alors changeons le monde. Et pour eux, leurs adversaires qui ne veulent pas "changer le monde" sont simplement des "conservateurs honnis". La "crosse de hockey", les données de température globale et tant d'autres sont bien dans cette ligne. Leurs auteurs pensaient changer le monde en construisant "subtilement" leurs ensembles de données.

10 janvier 2010




Metoffice n'a pas prévu l'hiver rigoureux

Climate Realists indique l'enregistrement d'un interview réalisé et diffusé par la BBC dans lequel un dirigeant de l'Organisation "réchauffiste" britannique, le Metoffice, équivalent en France de Météo Frances tout aussi "réchauffiste". John Hirst répondant au journaliste Andrew Neal :


Dans cette vidéo en anglais, Neal questionne Hirst pour savoir pourquoi en Novembre, et même en Décembre, le Metoffice indiquait que l'hiver serait parmi les plus doux de la décennie. Hirst se défend pied à pied en affirmant que les prévisions du Metoffice sont les meilleures du monde, et que c'est un Institut de l'excellence. Mis au pied du mur devant le chaos entraîné par l'impréparation de la Grande-Bretagne à un hiver seulement froid, il répond qu'on ne sait pas prévoir correctement à l'avance toute une saison. Il faut savoir que la Grande-Bretagne manque de gaz pour le chauffage, de sel pour dégager les routes, en fait de tout pour affronter un hiver.

Cette réflexion fait littéralement exploser le journaliste de la BBC qui lui demande comment il peut avoir le front de dire qu'on ne sait pas prévoir l'été prochain quand le Metoffice nous prétend qu'il fera beaucoup plus chaud en 2020 et en 2050. Comme on dit en anglais ,"the guy collapsed".!

10 janvier 2010




Polémique entre le Met Office et les allemands de Postdam

Depuis les années 2007, le Potsdam Institute for Climate Impact Research en Allemagne, sous la conduite de l'océanologue Rhamstorf, auteur principal et membre du Groupe de travail technique du GIEC, publie autant qu'il peut d'articles alarmistes sur le relèvement "évident" du niveau des océans - dont on sait qu'il est entièrement démenti par les faits - provoqué par le trop fameux "réchauffement climatique constant anthropique". Tout le monde sait bien que ces alarmes sont parfaitement fausses et fondées sur des données et des modélisations informatiques forgées de toutes pièces, mais il vient de se produire un événement de première importance, peut être aussi important que le Climate Gate. Ces alarmes sont popularisées et rendues "évidentes" par les films de Al Gore, de Artus-Bertrand et de Hulot alors qu'elles sont fondées sur des forgeries.

Le Met Office britannique vient de faire connaître dans un article du Times of London, intitulé Experts clash over sea-rise ‘apocalypse’", qu'il ne partage pas la vue alarmiste des allemands de l'institut de Postdam. Non pas que le niveau des océans ne va pas continuer à monter, le Met Office est toujours une organisation "réchauffiste", mais le Met Office dénonce l'exagération des prévisions allemandes qui imaginent une hausse de "74 inches", soit près de 2 mètres, d'ici à 2100.

On note que le Met Office a attendu la fin des négociations du COP-15 de Copenhague où les prévisions alarmistes des allemands ont contribué à manipuler les opinions des décideurs, et notamment des pays en voie de développement, pour annoncer son opposition à ces vues pessimistes. Ce délai est un indice supplémentaire de l'entente mafieuse entre grandes institutions étatiques et para-étatiques sur la question du "réchauffement global anthropique constant". Mais cette déclaration montre que le doute s'installe durablement sur la question.

12 janvier 2010




Le Climate Gate est bon pour l'Université de East Anglia

On sait que le CRU, pour "Climate Research Unit", est un service de l'université East Anglia. Ce service a subi la divulgation dévastatrice des emails, des données et programmes informatiques de ses salariés, divulgation qui établit sans conteste la fraude massive dans les travaux concernant à la fois l'histoire de la température globale et sa prévision pour le futur. Cette divulgation a été dénommée le "Climate Gate" ou le "CRU Gate".

La journaliste Hannh Devlin vient de révéler que l'Université East Anglia a enregistré un nombre inhabituel de nouveaux étudiants suite à cette révélation. Si Mme Devlin pense que "toute publicité est bonne à prendre", on peut aussi craindre que l'endoctrinement de la jeunesse par les médias et par l'instruction élémentaire sur le "réchauffement climatique" ait produit ce triste record.

12 janvier 2010




Ils n'ont plus de gaz, ils n'ont plus de sel, ils n'ont plus de ...

La presse occidentale se fait l'écho dans presque tous les pays désindustrialisés du manque de produits élémentaires pour organiser la vie économique en hiver. Or, et il faut le répéter, l'hiver actuel est froid, mais il n'est pas véritablement rigoureux. Le gaz manque parce que les réserves dans les bâches installées dans les pays situés au bout des pipe-lines n'ont pas été préparées et que le débit des pipe-lines est insuffisant pour couvrir les besoins actuels. Le sel pour dégager les voies de communication manque partout. La production d'électricité est en limite de rupture depuis quinze jours.

Et tout cela pour des froids qui n'ont rien d'exceptionnel. L'an passé, il s'était produit exactement le même épisode à peu près à la même époque. Il est aujourd'hui un peu plus long, c'est tout.

Mais il est clair que la manipulation du "réchauffement climatique constant anthropique" a conduit les politiques économiques dans l'impasse actuelle. C'est le GIEC qui tue, c'est le GIEC qui installe la misère et la crise économique partout. Ce n'est pas le réchauffement climatique" qui n'est ni "constant", ni "anthropique".

12 janvier 2010




La forgerie de la fonte des glaciers himalayens



Le Times of London dans son édition de dimanche publie un article intitulé "World misled over Himalayan glacier meltdown".

La forgerie proviendrait de l'exploitation erronnée d'un article de la revue de vulgarisation The New Scientist, daté de 2005 et qui diffusait un entretien téléphonique accordé par un géologue indien mal informé, Hasnain, qui avait cité 2035 pour date de fusion "totale" des glaciers himalayens.

Le Times a remonté une partie de la forgerie grâce aux efforts d'un géographe canadien, Graham Cogley, qui a démontré le rôle essentiel du WWF, cette ONG au moins aussi douteuse que Greenpeace et qui a, en l'occurrence, manipulé le GIEC, qui n'en attendait pas mieux pour rédiger son Quatrième rapport de 2007.

Déjà le 22 décembre 2009, le blog CHRON publiait un post de John Nielsen-Gammon (*) et Barry Lefer, intitulé "By the way, there will still be glaciers in the Himalayas in 2035" qui donnait de nombreux détails supplémentaires et plusieurs références.

Or, déjà en 2007, le climatologue Jaworowski avait dénoncé cette manipulation sur la fusion des glaciers himalayens en montrant qu'il s'agissait d'une étude russe de V. M. Kotlyakov qui indiquait une date de fusion possible de "2350". Lors de la transcription, par le rapport du WWF qui a servi à Hasnain dans son entretien téléphonique avec "The New Scientist", la date du rapport russe est passée de "2350", date purement hypothétique pour donner une image compréhensible à la vitesse de fusion en 1990 de certains glaciers himalayens, à une date certaine de "2035" pour une fusion complète de tous les glaciers himalayens.

Et une nouvelle forgerie de plus pour le GIEC de Pachaudri, qui considère toutes ces critiques comme des "incantations vaudou".

Notes

(*) Texas State Climatologist; Professor of Meteorology at Texas Uni.

18 janvier 2010




Il neige en plein été en Australie

Le site sceptique Watts'up with that diffuse une information météorologique étonnante. En plein été austral, dont la presse de l'hémisphère nord acquise par le "réchauffisme" prétend qu'il est l'été le plus chaud depuis ... la dernière fois, il a neigé le 18 janvier 2010 en plein été.
Snow fell to 3,000 feet (900 metres) above sea level Monday in parts of New South Wales and Victoria states, Bureau of Meteorology senior forecaster Jane Golding said. La neige est tombé à 3.000 pieds (900 mètres) au-dessus du niveau de la mer, lundi sur des régions des Nouvelles-Galles du sud et dans l'Etat de Victoria, a déclaré la prévisioniste en chef du Bureau de la Météorologie, Jane Golding.
“Any time of year, it’s unusual to have snow down that far,” she said. "A quelque époque de l'année, il est inhabituel d'avoir de la neige aussi bas", a t'elle déclaré.
The town of Bombala in New South Wales, east of Kosciuszko, recorded its first summer snow since the bureau began keeping records there in 1965, Golding said. La ville de Bombala dans les Nouvelles-Galles du sud, à l'est du Mont Kosciuszko, a enregistré sa première neige estibvale depuis que le Bureau de la Météorologie a commencé à tenir des enregistrements depuis 1965, a dit Goldin.
The town of Cooma, also in New South Wales but north of Kosciuszko, recorded its first summer snow since records were first kept in 1973. La ville de Cooma, aussi dans les Nouvelles-Galles du sud, mais au nord du Kosciuszko, a enregistré sa première neige d'été depuis que des enregistrements sont tenus depuis 1973.
Cooma resident Krystal Pernitsch said the wind chill factor made Monday’s high temperature of 59 degrees (15 degrees Celsius) feel like 48 degrees (9 Celsius). Krystal Pernitsch, résident de Cooma, a dit que le facteur de vent glacial faisait paraître la température maximale de lundi de 59 degrés (15° C) comme 48 degrés (9°C).
Il fait froid partout et non seulement dans une ou deux régions de l'hémisphère Nord, mais même en été austral.

On remarque que des incompétents en toutes matières scientifiques et dans bien d'autres comme le blogueur, auteur d'un article prétentieux et erronné ici, prétendent qu'il fait froid en Europe, parce qu'il fait chaud ... au Canada.

Or, c'est parfaitement faux comme le démontrent les relevés météo disponibles par exemple sur le site de la météo canadienne. On pourra se reporter à notre compilation Relevé météorologique de Québec au début janvier 2010" du 18 janvier 2010 à titre d'exemple.

18 janvier 2010




La presse serait-elle en train de revoir son soutien au "réchauffisme" ?

Dans notre Brève du 18, intitulée La forgerie de la fonte des glaciers himalayens, nous exposions à nos lecteurs la forgerie de la disparition annoncée des glaciers de l'Himalaya. Venant après le montage de Al Gore sur la disparition de la banquise arctique en été 2010, dont il s'est accusé, après le Climate Gate, sans cesse minimisé par les "réchauffistes", cette nouvelle forgerie commence à remuer les soutiens médiatiques des "réchauffistes".

Ainsi un grand quotidien français écrit-il :
"Il y a en tout cas fort à parier que le GIEC va devoir revoir un certain nombre de procédures de validation pour l'élaboration de son prochain rapport, attendu en 2013 et 2014. Au risque, sinon, de voir sa crédibilité entamée."
C'est comme la préparation d'un retournement de veste. Quant aux scientifiques, il y a longtemps qu'ils ont refusé toute crédibilité au GIEC. Notamment en se retirant de cette mascarade, à l'exemple de Lindzen, de Pielke ou de Lamb.

20 janvier 2010




Le mensonge de la décennie la plus chaude

Le GISS de Hansen et Schmidt vient d'annoncer que la première décennie du siècle est la plus chaude depuis 1880. Cette assertion est fondée sur un paramètre fabriqué, forgé, truqué, la température globale, qui n'a aucune réalité scientifique.

Schmidt, qui est gravement mis en cause dans les emails du Climate Gate affirme selon le Nouvel Obs', à l'affût des bourdes à asséner à la population, que "Au total, les températures du globe ont grimpé de quelque 0,8 degré depuis 1880.". Or, c'est exactement la "correction" altimérique exercée par l'Office météo de Nouvelle-Zélande, le NIWA, pour "forger" la courbe de températures annuelles moyennes de Wellington, quand la station météo passe en 1927 de 3 mètres d'altitude à 125 mètres d'altitude ! (voir notre article "Les forgeries du réchauffement climatique - Un exemple néo-zélandais". On ne peut pas mieux montrer le caractère totalement dérisoire du réchauffement climatique passé. alors le futur !...

23 janvier 2010




Pachauri du GIEC révèle d'autres erreurs dans le rapport 2007

La presse française restant stupidement "réchauffiste" se condamne à reprendre les nouvelles de la presse britannique. Il faut donc lire celle-ci pour savoir ce qui se passe. Ainsi, le Times of London du jour, dans un article intitulé UN climate change expert: there could be more errors in report, interroge Rajenda Pachauri, patron du GIEC, dont le rapport annonce comme probable la disparition des glaciers de l'Himalaya en 2035 ce qui est totalement erronné.

Pachauri - on s'en doutait un peu - ne démissionnera pas, et n'accepte aucune responsabilité personnelle dans cette lamentable affaire. Or, le "fautif identifié", le glaciologue Syed Hasnain, est un employé d'un Institut dont Pachauri est aussi le président ! Il est donc probable que Hasnain soit "aux ordres".

Mais pour se défendre Hasnain, qui ne fait pas partie du GIEC, pointe plusieurs erreurs monumentales dans le rapport, rien que sur la partie concernant l'Himalaya. Par exemple, le rapport annonce que les glaciers himalayens occupent en 2007 500.000 km² alors qu'ils n'en occupent que ... 33.000 ! Le Glacier de Pindari se rétrécirait de 235,2 mètres par an alors que la vitesse réelle est de 23,5 m.

Il relève 5 erreurs seulement dans sa partie. On voit donc que la qualité des rapports du GIEC ne se fonde pas sur un consensus de 3.000 spécialistes qui sont incapables de relever des erreurs élémentaires, le plus souvent de simples retranscriptions. Mais ce qui est "étonnant", c'est que ces erreurs sont toutes dans le même sens !

23 janvier 2010




Pachauri a levé des fonds sur la foi des erreurs sur la fusion des glaciers himalayens

Membre d'un nombre incalculable d'institutions, d'ONGs, titulaire du Prix Nobel de la paix, Rajendra Pachauri, le patron du GIEC est aussi Président du TERI en Inde. Grâce au Quatrième Rapport du GIEC de 2007 qui "démontre un consensus général parmi la communauté scientifique", Pachauri a levé 310.000 £ du Carnegie Corporation de New York et 2,5 millions de £ de la Commission de Bruxelles pour cet Institut scientifique indien, employeur de Haisnan, l'auteur de la faute.

Dans un article intitulé UN climate panel blunders again over Himalayan glaciers publié dans le Sunday Times du 24 janvier 2010, le journaliste Jonathan Leake révèle que la même erreur que celle dans le Quatrième rapport sur "la fusion des glaciers de l'Himalaya en 2035" se trouve dans les deux dossiers de demandes de subvention.

Le réchauffement climatique est vraiment une affaire juteuse. Ce sont les contribuables américains et européens qui payent en applaudissant des stupidités. Pendant combien de temps encore ?

24 janvier 2010




Le Parlement britannique ouvre une enquête publique sur le Climate Gate

Le 22 janvier 2010, un comité de la Chambre Commune du Parlement, dénommé "The Science and Technology Committee " annonce l'ouverture d'une enquête publique sur la publication non autorisée de données, emails et documents concernant le CRU de l'Université de East Anglia. Le comité pose au public trois questions :
  • Où en est l'intégrité de la recherche scientifique ?
  • L'enquête demandé par l'Université est-elle adéquate ?
  • Quelle est l'indépendance des deux jeux internationaux de données ?
L'ingénieur Lawrence Solomon, animateur des adversaires du "réchauffisme" qui relaye cette information note qu'il s'agirait de la sixième enquête demandée sur le Climate Gate. On note que cette enquête est d'abord une enquête du public plus qu'une enquête des parlementaires. Qu'en ressotira t'il ?

26 janvier 2010




Pour le Chief Scientist du Met Office britannique, il ne se passe rien

Le Dr Vicky Pope, "Head of Climate Change Advice at the Met Office", se fend d'un article dans le Times of London intitulé : "Research is robust but communication is weak"il ne s'est rien passé. Les emails du CRU de l'Université East Anglia diffusés dans le public ne révèlent rien, l'hiver rigoureux dans l'Hémisphère Nord suivant un été très médiocre démontre que le "climat sur la Terre" est de plus en plus chaud.

Non, rien ne change dans le monde "merveilleux du GIEC" ...

Si, tout de même :
"The big difference then, is not in the physics of climate change but the public’s perception of what climate research is all about."
Le public change de perception sur la recherche climatique !... Voilà le seul changement ! C'est une honte. Mme Pope n'a même pas écouté la mise en garde de Sir John Peddington, Chief Adviser du Gouvernement britannique. On peut craindre que si. Mais elle ne l'a pas entendu. Une simple affaire de "comm'" dit-elle. 28 janvier 2010



Les suites du succès de Copenhague

La presse française se fait l'écho (Libération et Le Nouvel Obs') que 55 Etats auraient fait parvenir à l'ONU leurs engagements. Aucun n'est allé au-delà des engagemens précédents. Du coup, les "réchauffistes" sont absolument ravis. Les "réchauffistes" de Oxfam annoncent que maintenant, ils savent que le réchauffement du climat ne sera pas de 2°C, mais de 3,5°C à 4°C. Pour contenter ces messieurs-dames, il suffisait de retourner à l'ère prè-industrielle, rien que pour leur faire plaisir et rejouer 1870, les colonies, 1914, 1917, 1939 et le tuttim ... Merci, très peu pour moi !

2 février 2010



La presse anglo-saxonne et les erreurs du GIEC

La Grande-Bretagne se caractérise, comme le reste du monde anglo-saxon, par une presse modérément bipolaire. Chez nous, la presse est entièrement unipolaire, polarisée sur l'idéologie à la mode, surtout quand elle a l'aval du gouvernement et de sa police.

Modérément bipolaire, parce que, les idéologies à la mode y triomphent comme chez nous. Mais, chez eux, on a le droit de dire le contraire. Et les moyens pour celà. Pas en France.

Aussi, la presse britannique, et elle n'est pas seule, se répartit maintenant entre deux pôles. Les "réchauffistes" comme le journaliste de Greenpeace, Mombiot, reprennent prudemment les fondamentaux de la deep ecology, ou "écologie radicale" en râlant contre "ces damnés sceptiques qui font perdre l'espoir au monde" ... Mais, ils adoptent de plus en plus un profil "bas", guettant craintivement les premières condamnations pour diffusion de fausses nouvelles ...

Les sceptiques ont été rendu "enragés" par les négations autour du Climate Gate. Depuis, ils ressortent les erreurs en cascade produites par le GIEC et commencent, après avoir subi ce genre de reproches, à mettre en avant les intérêts financiers des "réchauffistes". Tous n'ont pas encore perçu que l'Institut dirigé par Pachauri appartenait en fait au groupe industriel Tata. Tata est probablement parmi les plus gros pollueurs de la planète. Le groupe serait ravi que les pays occidentaux se mettent sur le dos, la taxe carbone ET les droits de polluer ...

Glaciers de l'Himalaya et du Groenland, Alaska, Amazonie, reconstructions fabriquées des températures passées, influence inqualifiable des activistes du WWF, de Oxfam ou de Greenpeace, intérêts des instituts réchauffistes, ... la liste ne cesse de s'allonger.

2 février 2010



La presse en France est ébranlée aussi ...

Même Le Monde tente de préparer sa reconversion. Il publiait hier l'article d'un jeune libéral, juriste et politologue, qui titrait - un peu vite semble t'il, mais la jeunesse est impatiente ... - "Le GIEC est mort, vive le débat !". En quelques heures, on notait plus de 60 commentaires. Une petite statistique :
réchauffistes38
sceptiques8
autres15
femmes5
montre que le conformisme moutonnier "réchauffiste" est largement majoritaire et celà pour des raisons "scientifiques" entièrement fondées sur l'argument d'autorité ! On note que seulemen 5 femmes sont identifiables par le pseudo et qu'une seule est sceptique, les quatre autres étant "réchauffistes" enragées. Une grande partie des réponses "autres" sont en réalité "réchauffistes", mais elles sont tellement exaspérées que leur expression peut aussi bien porter sur autre chose que sur du scepticisme. En fait le GIEC n'est pas mort et il n'y a pas de débat possible avec des sourds, aveugles et sans mains.

Le Monde et son "réchauffiste" en chef poursuivent imperturbablement leurs dénégations de la gravité de la crise qui s'affronte au "réchauffisme". Ainsi,
En dépit de l'erreur du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) donnant pour quasi disparus les glaciers de l'Himalaya vers 2035, le problème du recul des glaciers d'altitude est bien réel.
Manipulés par leur foi aveugle aux "autorités indiscutables" du "réchauffisme", ils ne se rendent même pas compte qu'ils profèrent une erreur du même genre que celle de la fusion de 2035. N'expliquent-ils pas ainsi ce prétendu "danger" :
"Or ces derniers sont essentiels à l'approvisionnement en eau des vallées."
Les hydrologues indiens ont montré que le cours majeur des grands fleuves asiatiques ne provient pas de la fusion des glaciers, mais de la recirculation des eaux de ruissellement. Pire encore, l'éventuelle réduction des débits des torrents glaciaires serait une bénédiction pour les Népalais, quand on sait les épouvantables dégats provoqués par les crues dans les basses vallées himalayennes.

2 février 2010




Le responsable du réchauffement climatique à l'ONU

Le responsable du réchauffement climatique à l'ONU, un ancien haut fonctionnaire hollandais, vient d'annoncer qu'il démissionnait d'ici à la fin juin 2010. Selon des informations concordantes, ce grand homme n'avait pas "bien pris" la décision des Etats participants à la Conférence COP-15 de Copenhague, de décembre 2009, de ne pas signer d'accord contraignant sur les gaz à effet de serre.

Toujours est-il que cet homme a participé au premier rang des agitateurs au formidable mensonge du "réchauffement climatique anthropique, constant et inéluctable sans contrainte politique". Il est le digne successeur de Maurice Strong, poursuivi par la police américaine pour des malversations financières, et réfugié en Chine communiste.

Plusieurs commentateurs ont noté que le haut dirigeant avait placé sa photo et ses ambitions planétaires en première page du site Web du Programme des Nations-Unis qu'il dirige. Il assurait ainsi sa notoriété auprès du public d'activistes du "réchauffisme". Mais on on se demandait pourquoi il la recherchait.

Plusieurs journalistes ont relayé l'information que cette haute personnalité envisageait de monter une société de consultants en matière de "réchauffement climatique" et qu'il allait enseigner dans les universités du monde entier. Devant l'insuccès - et non pas l'échec, hélas - du mensonge du "réchauffement climatique", il a intérêt à se placer très vite.

Comme quoi, d'étaler sa photo et ses "ambitions" rapporte toujours quelque chose. Vous savez certainement comment s'appellent "ceux qui osent tout ..." . Sinon voyez Les Tontons flingueurs, Gilles Grangier, 1963 ! ...

20 février 2010




Le Figaro oscille sur sa base "réchauffiste" ...

Le Figaro oscille sur sa base "réchauffiste" ... Signé par Marielle Court et Marc Mennessier - ceci expliquant peut-être cela ... - cet article tente de présenter également la thèse "réchauffiste" et l'antithèse "sceptique".

En quatre parties, l'article intitulé Réchauffement climatique : les thèses s'affrontent publie les réponses des tenants des deux points de vue :
  1. » La Terre se réchauffe-t-elle ?
  2. » L'homme est-il vraiment responsable du changement climatique ?
  3. » Les modèles de projection climatique sont-ils fiables ?
  4. » L'influence du soleil est-elle prépondérante ?
La question 1 n'a pas de réponse en physique. La question 2 est essentielle. La question 3 est douteuse et la question 4 est elle aussi essentielle. En fait, le scepticisme climatique est surtout opérant sur les questions 2 et 4. Par ailleurs, dans la réponse "réchauffiste" à la question 3 sur la fiabilité des modèles, on note que l'avis de Le Treut est probablement mal rapporté.

De toutes façons, le "réchauffisme" n'est plus ce qu'il était il y a un mois seulement ! Une statistique des 90 commentaires des lecteurs du Figaro donne :
Statistiques des Commentaires :
sceptique26
réchauffiste 12
zozo 14
total 52
exclus 38
Moins de la moitié des commentaires sont pertinents et parmi eux, plus des deux tiers est favorable à la thèse sceptique. Un vrai changement dans l'opinion comme au Figaro.

24 février 2010




Le Met Office de Grande-Bretagne tremble sur ses bases ...

L'un des instituts les plus "réchauffistes" de la planète, l'Office de la météorologie de Grande-Bretagne, est directement menacé par le "Climategate". Mis en cause depuis le début de l'hiver pour avoir annoncé un hiver plus chaud que la normale après avoir prévu un "barbecue summer" alors que l'été britannique a été froid et humide et son hiver le plus glacial depuis plus de trente ans, le Met Office vient de se faire évincer de la BBC, qui s'approvisionnera désormais auprès de METRA, l'office national néo-zélandais.

Avec la BBC toutefois, le Met Office vient de publier un sondage réalisé en Grande-Bretagne et dont les résultats sont clairs :

Le réchauffement climatique ...Novembre 2009Février 2010
est largement provoqué par l'homme41 %26%
n'arrive pas15 %25 %

On comprend que l'intoxication médiatique n'a pas pris malgré tous les efforts des climatologues réchauffistes et leur remarquable emprise sur les médias et l'Education.

Dans un autre document rendu public par la chaîne Fox News, le Met Office propose de produire à l'avenir des jeux de données de température moyenne mensuelles mieux contrôlées :
"This will require robust and transparent surface temperature databases at finer temporal fidelity than current products."
déclaration qui résonne comme un désaveu du CRU de l'Université de East Anglia, du GISS de la Nasa et du NCDC du NOAA qui sont les trois fournisseurs actuels du Met Office et du reste des institutions "réchauffistes".

25 février 2010




Les enquêtes britanniques sur le Climate Gate sont douteuses

Le sceptique Steve McIntyre annonce la tenue d'une audience au Parlement britannique pour révéler ce qui est seulement évoqué dans les emails du CRU. Si on excepte le parlementaire Sir Lawson, qui est un économiste et pas un physicien, l'audience n'est ouverte qu'à des membres de la mouvance "réchauffiste" comme Phil Jones, ancien patron du CRU et l'un des plus fervents propagateurs depuis trente ans de la folie de la "température globale" qui n'a aucun sens physique, ou Julia Singo, directeur au Met Office qui a fait signer une pétition de soutien aux climatologues du CRU, au lendemain de l'affaire des emails du CRU.

Après les doutes sur les membres de la Commission Russel d'enquête universitaire, l'enquête parlementaire ne paraît pas engagée de manière à modifier l'hégémonie politique du "réchauffisme".

25 février 2010




Darwinisme - réchauffisme, même combat ?

Le scepticisme croissant à l'encontre de la thèse "réchauffiste" d'un "réchauffement climatique global continu provoqué par les émissions de gaz à effet de serre de l'homme" se base de plus en plus sur la critique de l'absence de base scientifique des affirmations réglièrement, constamment posées par le camp "réchauffiste". Sans la presse, la "culture" et les institutions d'enseignement, le "réchauffisme" ne serait rien.

Le "réchauffisme" se caractérise aussi par l'affirmation de son incontestabilité, ou si l'on préfère, de son irréfutabilité. On sait combien cette caractéristique permet de qualifier le "réchauffisme" non pas de "consensus scientifique", mais de grossière idéologie politique.

Ces deux caractéristiques d'absence de base scientifique et d'irréfutabilité, le "réchauffisme" les partage avec une autre mouvance idéologique, le "darwinisme". Si cette affirmation vient du camp "sceptique", au moins sous notre plume, elle est aussi posée par le camp "réchauffiste" de façon de plus en plus impérative. Ainsi, un article du 3 mars 2010 du New York Times, est intitulé : Darwin Foes Add Warming to Targets, que l'on traduit par : "Les ennemis de Darwin ajoutent le "réchauffisme" à leurs cibles". Cet article est écrit par une personne entièrement acquise tant à l'idéologie darwinienne qu'à la cause "réchauffiste".

Le problème est que cet auteur est une journaliste professionnelle, salariée du New York Times. Son cas, ou sa position, est extrêmement fréquente. De plus en plus de journalistes sont embauchés par les quotidiens, et ceci dans l'ensemble du monde prétendu développé, pour leur adhésion fanatique à des croyances décidées au Conseil d'administration de la société commerciale qui possède le journal.

Du coup, il n'y a dans la presse pas plus de liberté que dans l'édition des "bulletins officiels" des administrations gouvernementales.

4 mars 2010




Aux Etats-Unis, renforcement de l'éducation au "réchauffisme"

Le New York Times publie aujourd'hui un appel public à la délation par les élèves des enseignants qui, comme ceux qui présentent des doctrines alternatives au darwinimisme, n'enseigneraient pas de manière correcte le réchauffement climatique. L'appel est intitulé What Have You Been Taught About Global Warming?, signé de la journaliste Kathrine Schulten, et il est adressé aux élèves de plus de 13 ans qui devront répondre anonymement pour observer les lois de protection de l'enfance. L'appel est rédigé de la façon suivante :
"Students: Tell us how your teachers have addressed the issue of global warming. Does it conflict with what you have learned elsewhere? Do you think you have had enough climate literacy to make up your mind on this controversial issue? What do you think textbooks should include on the topic of climate change? Why?"
On ne peut que protester sur cette conception de la presse d'une part et de l'enseignement d'autre part, au service d'idéologies fausses.

5 mars 2010




Eruption d'un volcan islandais

La presse se fait l'écho de l'éruption d'un volcan qui se situe sous le glacier Eyjafjallajokull. Ce glacier de 78 km² est une calote glaciaire située au sud de l'île. Il est situé à 30 kms à l'est d'un volcan bien plus connu, le Katla [*]. Le site Islande 2010 [**] publie une carte animée montrant une zone très précise de trenmblements de terre depuis le 4 mars 2010 sous cette calotte glaciaire.

Ne peut-on pas penser que la fusion des glaciers de la région arctique et circumvoisine serait produite dans une mesure à déterminer par une activité géophysique comprenant à la fois :
  1. des remontées magmatique, dont le volcan sous le Eyjafjallajokull serait une manifestation de surface, et
  2. de nombreux mouvements de la croûte terrestre qui dégagerait une chaleur considérable actuellement.
Source : Islande 2010
Emplacement des séismes sur la carte
Source : Erik Klemetti de ERUPTIONS
Eyjafjallajökull, an ice-capped volcano in Iceland that last erupted in 1823.


Le "réchauffement climatique" ne serait pas alors nécessairement la cause de la fusion des glaces de l'Arctique, mais plutôt une conjonction de la machine géomagnétique et du travail tant du Soleil suractivé d'une part et des effets thermodynamiques des mouvements de la croûte terrestre d'autre part.

Notes

[*] Lire Eyjafjallajökull and Katla: restless neighbours daté du 4 mars 2010.
[**] Lire Eyjafjallajökull : l’évolution des dernières heures, accédé le 21 mars 2010.

21 mars 2010




Abandon de la taxe carbone

C'est une très bonne nouvelle à deux titres :
  1. une nouvelle taxe de moins est une bénédiction dans ce monde entièrement contrôlé par l'Etat qui est responsable de la crise et de la misère de millions de nos concitoyens ;
  2. assise sur la folie du "réchauffement climatique à cause anthropique", l'abandon de cette taxe est aussi dans une certaine mesure un désaveu politique de cette mascarade "inventée" et lancée par Margareth Thatcher sous l'instigation des fondamentalistes scientistes britanniques.
Un membre du gouvernement Fillon, championne de karaté (ça peut aider dans les négociations ...) qui était présumée "s'occuper" de cette ... taxette, se dit "désespérée". Avait-elle aussi des intérêts financiers comme Al Gore et Borloo, à taxer le CO2 ?

Eh bien,nous, ça ne nous ennuie pas du tout !.

23 mars 2010




Encore une accusation de conflit d'intérêt chez les "réchauffistes"

Le Times of London publie un article de Ben Webster, intitulé Lord Oxburgh, the climate science peer, ‘has a conflict of interest’. Résumons la question.

Le 20 novembre 2009, Internet voit la publication "non désirée" d'une archive des emails et documents, incluant des programmes commentés de calcul, provenant du "fameux" CRU de l'université de East Anglia. Cette affaire dénommée le CRU Gate, initie une autre affaire majeure dans l'histoire contemporaine : le Climate Gate qui, peu à peu, va éteindre le mouvement jusqu'alors irrésistible du "réchauffisme global et constant, à cause anthropique".

Plusieurs commissions d'enquête sont désignées, principalement au Royaume-Uni, particulièrement pour évaluer la responsabilité et l'honorabilité des agents "réchauffistes" du CRU. La troisième Commission est chargée d'évaluer la valeur des travaux scientifiques du CRU. Il est clair que le rapport de cette Commission, attendu dans le cours de l'été, sera essentiel pour l'avenir du "réchauffisme".

Des soupçons de partialité, de conflit d'intérêt se sont déjà élevés à l'encontre de plusieurs membres des deux autres Commissions. Certains de leurs membres ont du démissionner. Mais pas tous. L'orientation des rapports de ces diverses Commissions est donc déjà soupçonnée.

Selon les informations en notre possession, Lord Oxburgh serait un dignitaire d'associations réchauffistes dont l'objet social est clairement du domaine du commerce "écologiste" lié à la validité de la lamentable farce du "réchauffement climatique". Le Oxburgh serait Président d'une société, Falk Renewables, dont le siège est à Londres et qui aurait des projets financés par les administrations étatiques en France, Italie, Espagne et Royaume-Uni. Cette société est une filiale d'un groupe italien, Falck Group et son orientation est clairement, d'après leurs sites Internet, dans l'économie "verte :
"Falck provides technical solutions for a future with reduced dependence on fossil fuels and fewer greenhouse gas emissions, which has been identified as the cause of global warming and is a major threat to our planet. - Our Mission.
Or, le problème de la validité des travaux du CRU posé à la Commission dont le Oxburgh est membre, est justement la remise en cause de ce motif de Falck Enterprise. La volonté des autorités d'arriver à un jugement impartial est donc de plus en plus douteuse.

24 mars 2010




Le degré zéro du journalisme ...

Juste après celle du dernier ouvrage de Claude Allègre (L'imposture climatique), voilà la parution du Mythe climatique de Benoît Rittaud. Immédiatement, l'ouvrage de Rittaud a été attaqué par Le Treut et Jouzel, dignitaires du GIEC et par des journalistes comme Hervé Kempf du quotidien de la "pensée unique", Le Monde.

Les deux scientifiques retraités ont attaqué de la manière habituelle les arguments de Rittaud, c'est-à-dire qu'ils se sont limités à mettre en doute les arguments de leur adversaire en réaffirmant ce qu'il contestait. Quand Rittaud conteste : "ca ne peut pas être blanc, parce que ...", Jouzel et Le Treut répondent : "Rittaud a évidemment faux puisque c'est blanc !". Préparer ce genre de critique n'est pas fatigant, mais c'est très énervant pour celui qui la subit et le pousse souvent à la faute.

Kempf, qui représente en France une redoutable tendance journalistique, n'y va pas par quatre chemins. Les astuces et les trucs (tricks and tips du CRU !) ne sont pas dans leurs habitudes. Pour Kempf, les "climato-sceptiques" comme Rittaud ou Allègre, Gérondeau ou Courtillot, c'est très simple : "ce sont des collabos des nazis et il faut leur coller douze balles dans la peau ! ...". Bon. Kempf n'écrit pas exactement celà parce qu'il a un rédac' chef attentif. Alors ça donne :
"Il fallait choisir : Munich ou Londres ; l'URSS ou le monde libre. Il faut choisir : les climato-sceptiques ou la communauté des climatologues.
La comparaison est-elle exagérée ? Non.
" (Source : Le Monde, L'heure du choix du 1er mars 2010.
On l'aura compris, les journalistes du débat sur le "réchauffement climatique" ne sont pas des journalistes d'information impartiale, mais des activistes salariés par des organisations politiques. Ce que Kempf écrit froidement à Rittaud dans son blog :
"Comme l’indique clairement mon article, je n’interviens pas en tant que scientifique, mais en tant que citoyen." (Voir Hervé Kempf persiste (mais sans débattre))
Kempf n'a jamais prévenu ses lecteurs qu'il n'était pas un journaliste, mais un idéologue à la solde d'un parti. Est-il utile de lire les journaux s'ils sont manipulateurs de l'opinion ? Non.

24 mars 2010




OXFAM fait fliquer les sceptiques sur le Net ...

Le journaliste Thomas Fuller, The Examiner, dans un article "Global warming, Helping Oxfam understand the blogosphere" révèle un projet de surveillance des sceptiques par l'organisation gauchiste OXFAM, l'une des plus importantes firmes mondiales du "charity business". Ce projet ressemble trait pour trait à celui de Bruno Latour à l'IEP de Paris que le journaliste réchauffiste Yves Miserey avait rencontré selon son blog (voir notre article Le Figaro, Sciences Po' et le Climate Gate, 1er décembre 2009).

Ici, il s'agit d'une société privée dénommée Unsimplify, qui indique travailler dans l'orbite de la société Profero, spécialiste dans l'analyse des données statistiques sur le Web. Dans une page du site de Profero, page intitulée Update on the Oxfam online research project into climate change related conversation, Unsimplify déclare travailler pour le compte de Oxfam "pour surveiller et cartographier les conversations en ligne et bien plus encore".

En décrivant sa démarche, Unsimplify dénonce tout "simplement" le travail d'Oxfam :
The ultimate goal of the project was to abstract from all the online noise a narrative and a working model for ‘next practice’ campaigning which would furnish Oxfam, and the progressive community in general, new insights and knowledge about how they might, in future, listen, respond and act into an increasingly complex and turbulent media ecology. Le but ultime du projet est d'extraire du bruit Internet un modèle du fonctionnement narratif pour une campagne de propagande suplémentaire qui fournirait à Oxfam et à la communauté progressiste en général, de nouveaux aperçus et une connaissance de la manière dont ils devraient dans le futur, écouter, répondre et réagir dans une écologie des médias turbulente et de complexité croissante.

Exploitant la catastrophe de Haïti, OXFAM a été capable de lever 100 millions de dollars de fond en moins de deux mois. Pour la plus grande fortune du mouvement progressiste qui active le mouvement "réchauffiste".

26 mars 2010




CRU Gate : le CRU est mal contrôlé et il y a réchauffement climatique

Ce qui devait arriver est arrivé : la commission d'enquête du Parlement britannique sur le CRU Gate vient de publier un communiqué de presse de son président, le parlementaire Phil Willis.

Le directeur du CRU, Phil Jones, est bien entendu "lavé de tout soupçon". Il n'a rien fait que ce qui est habituel en climatologie. On croit "rêver" ... Ainsi les expressions incriminées des emails publiés qui avaient tant émues les sceptiques, "sont des expressions banales dans une correspondance privée" et "ne démontrent aucune évidence d'une tentative systématique de tromper". Il n'y a donc "rien de malhonnête à retenir contre le CRU".

La Commission d'enquête conclut sur deux affirmations :
  1. il n'y a aucune raison de remettre en question le dogme "réchauffiste" selon lequel : "le réchauffement global est en cours et il est induit par l'activité humaine" ;
  2. le CRU ne peut pas être accusé d'avoir mal appliquée la régle légale d'obligation de réponse aux demandes d'information (FOI), mais l'Université East Anglia devrait revoir ses pratiques à ce sujet.
C'est tout. Vous êtes surpris ? Non bien sûr. Si on est "réchauffiste", on ne peut être surpris d'avoir raison. Si on est "sceptique", on ne peut non plus être surpris que les politiques vendus aux "réchauffistes" leur donnent raison ! Mais "content", c'est autre chose ...

31 mars 2010




Des climatologistes démontrent l'innefficacité du réchauffement anthropique en Arctique

Lisez bien ceci :
The winter SAT pattern observed in the late 20th century is not the response to the external forcing, but the natural variability related to the AO. Moreover, we compared three SRES scenarios of IPCC-AR4 model simulations in the 21st century to investigate anthropogenic influences against the AO and the Beaufort High. As a result, there are no differences between the SRES scenarios for both the time series of the AOI and the Beaufort High intensity. It was suggested that both time series vary without the human effects such as the increasing greenhouse gases in the 21st century.
C'est une véritable bombe :
Data Analysis of Recent Warming Pattern in the Arctic
Masahiro Ohashi (1) and H. L. Tanaka (2)
1 Graduate School of Life and Environmental Sciences, University of Tsukuba, Tsukuba, Japan
2 Center for Computational Sciences, University of Tsukuba, Tsukuba, Japan
La référence bibliographique est : SOLA, 2010, Vol. 6A, 001-004, doi:10.2151/sola.6A-001 et elle est consultable ici.

11 avril 2010




Le volcan Eyjafjallajokull recommencerait-il le coup climatique du Laki de 1783 ?

La presse consternée rapporte que le traffic aérien en Europe du Nord est complètement bloqué par le panache de l'éruption du volcan islandais Eyjafjallajokull situé sur la côte sud de l'Islande.

Ce que la presse rapporte assez peu, c'est que l'éruption du Laki, voisin car lui aussi en Islande, et qui avait eu lieu en 1783 avait initié une succession d'années à la température moyenne extrêmement basse, probablement responsable d'une part importante du prétendu "réchauffement anthropique constant" des "réchauffistes" de la climatologie "officielle". Il s'en était suivi plusieurs années de disette, et en particulier peut être des émeutes de la faim qui en France favorisèrent la Révolution.

L'éruption du volcan Eyjafjallajokull est aussi à rapprocher d'une séquence fatale de tremblements de terre au Japon, en Chine, en Haïti, au Chili et même en Espagne. Cette recrudescence d'activité tellurique pourrait être le produit d'une surexcitation de la magnéto-dynamique du système Terre-Soleil des trente années passées. L'effet de cette nouvelle activation tellurique sur les climats de la Terre sera bien imprévisible. En effet, les mouvements internes du manteau et du magma contribuent au réchauffement tandis que la saturation de la troposphère de poussières et de soufre conduit à un refroidissement. Comment se combineront-ils entre eux et avec les autres facteurs climatiques ? Le Giec y perdra le peu de crédibilité qu'il a encore.

Mais cette éruption et les tremblements de terre sauveront peut être le GIEC ! Il n'a pas pu prévoir ...

15 avril 2010




Le Tribunal scientifique de l'Université East Anglia

On n'est jamais mieux servi que par soi-même. L'Université East Anglia qui contrôle le fameux CRU du malheureux Phil Jones ("personne ne m'aime .."), un peu alarmé de l'autosaisine de ses amis du Parlement britannique, s'était emparé du côté "scientifique" des allégations des climato-sceptiques, excités par la diffusion des émails et autres fichiers du CRU. L'université avait donc constitué un "jury" composé exclusivement de mandarins du "réchauffisme", mais bien entendu appartenant aux meilleures "maisons" du "réchauffisme" : Zürich, MIT, Arizona Cambridge et Londres.

Le "jury" vient de rendre son lamentable rapport qui est diffusé "en toute indépendance" (...) par l'Université East Anglia elle-même.

L'indigence du rapport n'a d'égal que l'inanité de ses conclusions. Le "jury" a lu onze articles produit par des membres du CRU. Or, il est probable que des membres du jury ont écrit des articles que Phil Jones et les autres membres du CRU ont été invité à réviser et inversement, des membres du jury ont évidemment "révisés" des articles de Jones quand ils n'ont pas été des co-auteurs, ou des cités ! ... (Notamment Emmanuel et Kelly).

15 avril 2010




Le CRU a t'il bénéficié de conditions favorables du jury Oxburgh ?

Steve McIntyre dans un article de son blog soulève un important problème : Comment les onze publications étudiées par le jury Oxburgh ont-elles été sélectionnées et par qui ?

Dans le CRU Gate, les travaux du CRU ont été mis en doute et un jury de cinq climatologues sous la présidence de Lord Oxburgh a été réuni. Il a levé tout soupçon à l'encontre du CRU notamment en analysant onze articles de membres du CRU.

Steve McIntyre qui surveille avec une vigilance et une compétence supérieures tout ce qui se passe dans la climatologie "réchauffiste", a noté que les onze publications, qu'il avait déjà étudié à leurs parutions, ne posaient pas de problèmes alors qu'il avait déjà soulevé de graves questions concernant d'autres publications non sélectionnées pour leur étude par le jury Oxburgh.

D'où ces deux questions fondamentales :
  1. comment ont été sélectionnées les onze publications pour le jury Oxburgh ?
  2. par quel membre de la Royal Society ont-elles été sélectionnées ?
Leur réponse est évidente : les onze publications du CRU ont été sélectionnées par un membre "réchauffiste" de la Royal Society qui a sélectionné les articles les moins contentieux publiés par le CRU.

16 avril 2010




Des erreurs dans les bases de données de température

Les "réchauffistes" qui s'auto-qualifient de "climatologues", ont été contraint de revoir leurs affirmations péremptoires sur le "réchauffement" du mois de mars 2010. C'est Steve McIntyre qui nous aiguille vers une page formidable de Anthony Watts du blog Watts Up With That? intitulée GISS & METAR – dial “M” for missing minus signs: it’s worse than we thought, du 17 avril 2010.

En deux mots, la NASA un peu secouée par les protestations des sceptiques devant ses publications de "mois le plus chaud ..." en un hiver rigoureux, s'est sentie obligée de pratiquer une "légère" correction sur les données du mois de mars 2010. Intrigué par cette correction, Watts a étudié les séries du GISS de la NASA. Il a découvert, redécouvert ou souligné deux choses étonnantes :
  1. de décennie en décennie, le nombre de stations météo relevées pour dresser les tables de "température mondiale", et qui sont installées sur des aéroports, augmente inéluctablement, dans le monde entier, pour atteindre 92% aux Etats-Unis en 2009 ;
  2. les relevés en mode texte "METAR" comportent un taux d'erreur considérable. L'oubli du "M" pour marquer les températures négatives en est un simple exemple. Il y en a beaucoup d'autres.
La NASA sur mars 2010, affirme que la correction effectuée est inférieure au taux d'erreur admis. Mais elle n'a fait corriger qu'un nombre extraordinairement réduit de ces erreurs METAR et se moque éperdument de l'effet d'ilôt urbain amplifié présenté par les aéroports couverts de béton.

Et comme le fait remarquer un commentateur très énervé du blog Watts Up With That?, "c'est quand même étonnant que les erreurs des "réchauffistes" sont toujours dans le sens d'une augmentation de la température mondiale !".

19 avril 2010




Benoît Rittaud commence son ostracisation

Auteur du "Mythe climatique", paru en mars 2010 peu après "L'Imposture climatique" de Claude Allègre et le "Nouveau voyage au centre de la Terre" de Vincent Courtillot, Benoît Rittaud annonce qu'il vient d'expérimenter l'ostracisation de la part de ses collègues mathématiciens suite à la publication de son essai (lire son billet « En liaison avec tes prises de position récentes… »).

Les circonstances sont claires. Avant la publication de son livre, deux confrères de Rittaud lui proposent de travailler avec eux sur un projet CNRS. Rittaud comprend parfaitement que les deux compères cherchent seulement un "pauv'type" qui va se taper le "sale boulot". Mais sa position au CNRS le conduit à accepter.

Son livre est publié, et il subit alors les aboiements de la meute stupide des "réchauffistes". Il y a quelque jours, il est rappelé par ses deux confrères qui lui expliquent que, au vu des circonstances, pour éviter de planter le projet, sa participation n'est plus la bienvenue.

Ca commence Benoît !

Rittaud incrimine une sanction au "délit d'opinion". Nous n'en sommes même plus là ! C'est tout simplement une réaction mafieuse. Les "scientifiques" prébendés par l'Etat se soutiennent et se protègent depuis des dizaines d'années en promouvant les "normalisés" et en éliminant tous les "déviationnistes". Où les "scientifiques" ont-ils appris cette façon de "vivre" ? Mais c'est très simple : dans les dictatures marxiste-léninistes ! Il faut relire "La France aux ordres d'un cadavre" de Maurice Druon. C'est son dernier livre. Un testament en hurlement de terreur.

19 avril 2010




La Sibérie a vécu son hiver le plus rigoureux depuis 110 ans

Un article passé du Daily Mail, Russia's top weatherman's blow to climate change lobby as he says winter in Siberia may be COLDEST on record, cite le Professeur Arkady Tishkov :
"D'un point de vue scientifique, les discours sur l'augmentation des températures moyennes sur la terre de plusieurs degrés sont absurdes ... Les gaz à effet de serre tellement discutés aujourd'hui ne jouent aucun rôle en fait."
Tishkov est le Directeur de l'institut de Géographie de l'Académie des Sciences de Russie. Il ne dit rien que ne proclament déjà Claude Allègre, Vincent Courtillot, Richard Lindzen ou Benoît Rittaud.

Les Sibériens ont subi un hiver qui se poursuit pendant ce début de printemps. Ils en sont à 63 jours plus froids que -25°C et 39 jours sous -30°C. Le point le plus froid a été de -57,4°C à Oymyakon, le 20 janvier 2010.

19 avril 2010




L'éruption du volcan Eyjafjökull

Le volcan Eyjafjökull sur la côte Sud de l'Islande est entré en éruption vers le 14 avril 2010. Après une brève réduction de son activité, il semble se réactiver de plus belle. Sur le site, une épaisse couche de cendres flotte et recouvre tout. La plupart des habitants ont été évacué. Les bêtes, chevaux, vaches et moutons, sont restés sur place sous la menace de la toxicité des émanations volcaniques : fluor et soufre.

Propulsée par le contact avec l'eau, liquide et glace, qui recouvre le volcan, la lave explose en poussières et microparticules de toutes tailles, dont une partie serait, contrairement à ce qui a été affirmé par certaines "autorités gouvernenmentales" françaises, particulièrement dangereuse pour la santé. Entraîné en altitude par l'énergie de changement d'état de l'eau, et aussi par le vent de Nord-Ouest, le panache recouvre maintenant une grande partie de l'Europe entraînant un blocage du traffic aérien, particulièrement dommageable pour l'activité économique. Si certains gouvernements restent les bras croisés, d'autres agissent, comme le gouvernement britannique qui commence à faire rapatrier ses ressortissants bloqués partout dans le monde par sa Marine de guerre.

Les analyses chimiques pratiquées par le Centre de vulcanologie nordique de l'Institut des Sciences de la Terre de Reykjavik ne semblent pas mentionner de soufre, même si les reportages rapportent que les habitants près du volcan se plaignent d'une forte odeur de soufre. Par ailleurs, l'idée que les particules resteraient en altitude sans redescendre est fantaisiste. Il n'existe donc pas encore de certitudes sur les risques sanitaires de l'éruption du Eyjafjökull, mais leur probabilité est forte surtout à long terme.

On peut aussi attendre trois choses, non certaines, mais très possibles :
  1. un emballement de l'éruption, par exemple avec l'activation du volcan Katla situé à vingt kilomètres seulement du Eyjafjallajökull ;
  2. l'établissement d'un "hiver volcanique" sur l'Europe, provoqué par l'accumulation atmosphérique des particules volcaniques, avec réduction drastique de l'ensoleillement produisant notamment une réduction consécutive de la production agricole ; et
  3. l'instauration d'une pollution durable en micro-particules, au fluor, au soufre, ainsi qu'au silicium sur cette même région Nord européenne.


20 avril 2010




La police britannique enquête sur les sceptiques du climat

Selon un article de The Express, indiqué par le GWPF, (lire UEA Gives Files Of Climate Sceptics To Police), intitulé COLLEGE GIVES FILES OF CLIMATE CHANGE SCEPTICS TO POLICE), le CRU - sous le feu des critiques pour des manipulations de données climatiques - aurait donné à la police britannique une liste de sceptiques qui ont déposé des requêtes selon le Freedom of Information Act aux fins de recevoir du CRU les données de température sur lesquelles il se base pour établir sa "température mondiale annuelle croissante". Le FOI Act donne le droit aux citoyens britanniques d'obtenir d'institutions comme le CRU toute information susceptible d'évaluer la pertinence de ses recherches.

Plusieurs sceptiques ont témoigné que la police les questionnent sur les points suivants :
  1. appartenance à un groupe organisé cherchant à nuire au CRU ;
  2. implication dans le milieu scientifique ;
  3. implication dans le milieu politique ; et
  4. affiliations politiques et religieuses.
La plupart de ces questions constituent des violations grossières de droits élémentaires clairement identifiables.

20 avril 2010




L'ONU et le Giec travaillent à améliorer leur incontestabilité

Comme annoncé à la suite du scandale du CRU Gate, qui s'est d'ailleurs élargi en un Climate Gate, l'ONU et le GIEC ont commandité une étude indépendante à l'IAC dirigé par le mathématicien hollandais Dijkgraaf. L'IAC est un organisme créé par l'ONU en 2000 pour l'assister sur les questions scientifiques. Bien que basé sur les Académies des sciences de 15 pays dont la France, son fonctionnement semble très proche de celui du GIEC et son idéologie très proche.

La chose est annoncée une fois de plus sur le site de Steve McIntyre (lire Dijkgraaf: “emails not directly related to IPCC”) qui fait plusieurs brillants commentaires. Le texte de la lettre est divulgué par le Giec ici. Noyant la requête dans un fatras embarrassé, celle-ci se limite à une phrase :
".. l'IAC conduira une revue indépendante des processus et des procédures du GIEC pour préparer les futurs Rapports Déclaratifs."
L'indépendance de Dijkgraaf est des plus douteuse selon McIntyre qui rapporte que Dijkgraaf a déclaré que "les emails du CRU n'avaient rien à voir avec le GIEC" ! Cette enquête fera l'effet d'un simple coup de tampon sur la prochaine publication du GIEC. Elle est destinée à prévenir toute contestation des folies à venir du GIEC. Le seul progrès est que l'ONU et le GIEC continuent à augmenter le nombre de scientifiques dont la vertu a été "carbonisée" devant les énormités qu'ils sont contraints d'avaliser.

Toujours est-il que Dijkgraaf a produit une réponse au GIEC dans laquelle il souligne cinq points de travail :
  1. Data quality assurance and data quality control at the IPCC
  2. Guidelines for the types of literature appropriate for inclusion in IPCC assessments, with special attention to the use of non peer reviewed literature
  3. Procedures for expert and governmental review of IPCC material
  4. Handling of the full range of scientific views
  5. Procedures for correcting errors identified after approval, adoption and acceptance of a report
Particulièrement le point 3 semble menaçant pour le GIEC, car il met en cause tout le système d'ententes. On note que les points 2 à 4 semblent questionner la place laissée aux sceptiques dans le débat sur le "réchauffisme anthropique". Mais qu'en espérer à cause de la position de l'IAC ?

20 avril 2010




L'Université Queens de Belfast contrainte de communiquer des données climatiques

Le Times Of London dans un article intitulé Climate sceptics force Queen’s University to hand over data, informe ses lecteurs que le Commissaire aux Informations, chargé de trancher dans les litiges d'application du Freedom of Information Act (FOI Act) a ordonné à la Queen's University de Belfast de publier ses données sur les cernes des arbres. Ces données lui ont permis de réaliser une courbe sur plus de 7000 ans d'historique de la température climatique.

Le plaignant est Douglas Keenan, climatologue indépendant. Un de ses sites est INFORMATH. Il soupçonne une manipulation frauduleuse des données sur les cernes des arbres, fraude concourant au prétendu "consensus" sur le "réchauffement anthropique".

A moins que la Queen's University ne fasse appel et ne gagne son appel, il se pourrait que cette ordonnance contraigne les institutions "réchauffistes", au moins britanniques, à livrer leurs "tristes secrets" aux enquêtes indépendantes de valeureux scientifiques comme Keenan, McIntyre, McKittrick, Courtillot.

20 avril 2010




La glace de la Mer arctique au plus haut niveau

Comme on devait s'y attendre avec les rigueurs de l'hiver, la surface de glace mesurable par les photos satellites quotidiennes est de :
" The latest value : 13,734,531 km2 (April 19, 2010)"
d'après la page automatique Data of Sea Ice Extent , publiée et remise à jour par le Japan Aerospace Exploration Agency (JAXA). Il s'agit de la plus forte extension de la surface de la glace depuis 9 ans pour un 19 avril.

Répliquant à ceux qui affirment que la température globale n'est qu'un indicateur faillible du "réchauffement climatique" et que la réduction de la superficie des glaces polaires en est un autre indicateur incontestable, il faut bien se rendre à l'évidence que le "réchauffement anthropique constant" est bien une erreur de première importance.

20 avril 2010




La situation volcanique dûe au Eyjafjöll

Les vulcanologues américains, selon un article du Washington Post du 20 avril 2010, intitulé Scientists find it difficult to predict volcano behavior, incitent à une révision des inquétudes concernant les risques du volcan islandais actuellement en éruption. Essentiellement deux raisons :
  1. le volume de lave éjecté est faible par rapport aux grandes éruptions connues ;
  2. l'altitude maximale d'éjection est inférieure à un seuil de danger mondial.
Les vulcanologues et les commentateurs en déduisent que :
  1. il n'y a pas de risque de modification du climat terrestre ;
  2. l'application du principe de précaution a peut-être été abusive pour protéger le traffic aérien.
Sur la question de la "modification du climat mondial", on peut dire qu'il n'existe aucun "climat mondial", mais une multitude de climats régionaux tous interdépendants. Un climat mondial ne peut donc en effet être modifié par rien puisqu'il n'en existe pas. Mais, un ou plusieurs climats régionaux peuvent être modifiés et nul n'y peut rien.

L'application du principe de précaution est fréquemment exécutée par des "alarmistes" qui pressurent des autorités incapables d'assumer le risque. Mais, on note que le principe de précaution est en général évalué par des experts, ce qui conduit souvent à des aberrations politiques. On note aussi que, si l'éruption volcanique du Eyjafjöll n'a pas été une grande catastrophe géologique, elle aura provoqué une catastrophe économique, d'abord pour le transport aérien.

Enfin, on notera que un motoriste comme le français SAFRAN, a reconnu que ses moteurs d'aviation n'étaient pas certifiés pour traverser des nuages de cendres volcaniques. En théorie, sans application du principe de précaution, mais par simple application des règles de circulation aérienne, les avions doivent donc être interdits de vol en cas de présence d'un nuage de cendres volcaniques.

Cela démontre par l'expérience l'extrême fragilité de l'économie mondialisée et le caractère mensonger de la fantaisie du "village planétaire". Mais on aura noté aussi que la réouverture du traffic aérien se fait en ce moment sous la pression des transporteurs aériens effarés des pertes financières qu'ils subissent beaucoup plus que sous l'inspiration des experts chargés de prévenir des critères d'application du "principe de précaution". On touche là aux limites de l'exercice du "principe de précaution" prétendu rationnel.

21 avril 2010




SOHO a noté la plus forte activité solaire depuis des années

L'observatoire solaire SOHO a enregistré la plus forte activité solaire depuis des années. Dans sa rubrique Pick of The Week :
"La protubérance éruptive la plus forte observée depuis des années a explosé dans l'espace (le 13 avril 2010) et SOHO a été assez chanceux pour avoir saisi un moment clé de cette éruption."
On note que l'éruption du volcan Eyjafjöll date du 14 avril 2010. Mais on note aussi qu'il ne s'agirait pas, sauf prolongation de l'éruption et son renforcement - de la plus forte manifestation tellurique, probablement dépassée par les tremblements de terre en Haïti (12 janvier 2010) et au Chili (27 février 2010, magnitude 8,8). On a noté plusieurs autres tremblements de terre au Japon, en Turquie, en Chine (13 avril, magnitude 6,9), Espagne (11 avril, magnitude 6,3), au Guatemala et en Australie (*). L'USG américain (voir son article Is Recent Earthquake Activity Unusual? Scientists Say No. relativise ces occurrences.

On note que les protubérances solaires sont liées à l'activité magnétique. De ce fait, il est possible que la machine magnéto-dynamique constituée avec la Terre ait subi une action responsable de l'activité tellurique, au moins partiellement.

Notes
(*) voir une liste des tremblements significatifs en 2010 sur le site de l'UGS.
22 avril 2010




Le GIEC en route vers un "Bangla Desh Gate" ?

Le quotidien Le Monde, "réchauffiste" pourtant, annonce qu'une étude scientifique publiée par un service de l'Etat bengali, remet en cause les prévisions alarmistes du IV° Rapport du GIEC de 2007 relatives à une montée des eaux qui, selon le GIEC, pouvaient submerger entièrement le Bengla Desh. Selon cette nouvelle étude, des inondations sont toujours à prévoir au Banngla Desh, mais sûrement pas la catastrophe "évidente" du GIEC.

A nouveau mis en cause, l'Indien Rajendra Pachauri, Directeur du GIEC, rejette cette nouvelle contestation en soulignant qu'il s'agit d'une seule étude et que le GIEC fonde ses avis sur plusieurs publications scientifiques et (méprisant) pas sur une simple étude.

Le mode de fonctionnement du GIEC et de nombreux scientifiques, fondé sur un prétendu "consensus analogue au choix démocratique, conduit la société moderne à une catastrophe à la fois politique, parce que les choix seront mal fondés, et scientifique, parce que les sciences ne peuvent pas fonctionner sur le consensus, mais seulement sur la vérité.

22 avril 2010




Rittaud et Skyfall frappent quatre grands coups dans la mare du "réchauffisme"

Il y a des jours où l'on perçoit vraiment qu'il faut laisser les autres parler. Benoît Rittaud et le site SKYFALL viennent de publier coup sur coup quatre billets très importants :
L’éruption de l’Eyjafjöll et les anticyclones mobiles polaires par le pseudo San Antonio, qui exploite la théorie de l'Anticyclone Méridien Polaire du regretté Marcel Leroux21/04/2010
Jean Martin se dévoilePar Skyfall qui révèle que même un retraité du CNRS est contraint d'utiliser un pseudo pour s'exprimer sur la climatologie sur Internet. Le retraité est l'ancien patron de l'ESPCI, ami du regretté Pierre-Gilles de Gennes, Jacques Duran, qui fait son "coming-out" amusé ici.21/04/2010
JouzelGatePar Skyfall, qui dénonce une insidieuse tromperie quand Jouzel affirme que le GIEC dans ses rapports n'utilise que "de la littérature scientifique révisée par les pairs"22/04/2010
Débat Public sur PublicSénatpar Skyfall, qui annonce la prochaine diffusion d'un formidable débat télévisé opposant Courtillot à Jouzel et Legras, en présence de la Ministre Valérie Pécresse et avec l'intervention de Benoît Rittaud qui, s'est régalé de la force de conviction de Vincent Courtillot23/04/2010


23 avril 2010




Nouvelles du volcan oublié

Après la "panique" médiatiquement organisée par le pouvoir politique (fermeture des aéroports, annonce cataclysmique, ...), les avions ont repris leur ronde aérienne au-dessus des aéroports et des villes qui les jouxtent.

Et l'éruption vocanique du Eyjafjallajökull se poursuit dans des conditions absolument inchangées : panache de cendres et de vapeur d'eau de 3 à 7 kms d'altitude, trémors d'intensité continue inchangée, débit des eaux toujours surnuméraires de 250 à 400 m3/sec. Nous ne disposons donc pas d'information fiable selon laquelle le nuage de "poussières dangereuses" aurait été moins dangereux depuis une semaine que les avions ont repris leurs vols.

On peut suivre l'évolution de l'éruption sur le site scientifique islandais (en anglais) du Nordic Volcanoligic Center. L'IPGP a donné un suivi jusqu'au 22 avril 2010 (en français Éruption en Islande - avril 2010. Le responsable a dû partir en vacances de printemps cet après-midi là. Le MetOffice britannique, célèbre pour la fantaisie de ses prévisions saisonnières, publie comme actualité la plus récente : Icelandic volcano - Observations ... au 23 avril 2010. Il déclare :
" Latest advisory Volcanic Ash Advisory from London - Issued graphics
Dust observations

Last updated: 16:10 on Friday, 23 April 2010
This page will be updated regularly with additional data.

...
Recent observations have shown a significant reduction in observed ash, consistent with prevailing winds.
C'est tout de même bizarre que la source ne change pas et pourtant il n'y a plus de problèmes ! Dans un article du 25 avril 2010, ontitulé The ash cloud that never was, le Daily Mail résoud le problème de manière radicale : il n'y a jamais eu de nuage de cendres ayant une dangerosité suffisante pour interdire le traffic aérien.

Ces anglais ne respectent vraiment rien !

02 mai 2010




Steve McIntyre défend Michaël Mann contre les investigations judiciaires

Dans un article (Cuccinelli v Mann) du 2 mai 2010, Steve McIntyre - qui a lutté et lutte encore contre les élucubrations de Michaël Mann et de sa courbe de températures globales en "crosse de hockey" - attaque avec une violence surprenante Cuccinelli, Attorney général de l'Etat de Virginie :
I intend to write Cuccinelli expressing my disdain for his actions.
J'ai l'intention d'écrire à Cuccinelli pour lui exprimer mon dédain pour ses actes.
Nous avions déjà noté que McIntyre - tenu pour un "meneur des sceptiques" - avait une position bizarre en attaquant Courtillot sur la foi de déclarations d'un adversaire de McIntyre (PierreHumbert), et dont McIntyre démontre à cette occasion qu'il a tort ! ... On aura noté aussi que McIntyre pourrait ne pas être un adversaire de la fabrication d'une température globales, ce que notre site combat depuis l'origine.

Pour autant que nous le comprenions bien - et celà nous semble difficile - McIntyre voudrait interdire que la Justice de Virginie recherche si les travaux de Mann ont consommées de manière illégale les ressources budgétaires tirées du financement public. La raison, partagée par un certain nombre de scientifiques qui interviennent en commentaires de l'article de McIntyre, se limite à l'affirmation que le débat scientifique est d'une hauteur telle que les bassesses politiques ne devraient jamais l'atteindre.

C'est "beau", mais c'est faux en l'espèce.

En effet, la question de savoir si "la largeur des cernes des arbres est un bon indicateur de la température globale" est une question d'évaluation scientifique. Par contre, la question de savoir quelle politique peut on influencer avec quelle "affirmation scientifique consensuelle" est une question politique et sous le contrôle de la justice dans la limite des lois. De même, si l'influence d'une expertise - se prétendit-elle "scientifique" - sur une politique est avérée, et que cette politique est mauvaise, le financement public de l'expertise prétendumment scientifique doit aussi passer à la censure de la justice puisqu'il existe des lois pour cela (voir la loi FACTA applicable en Virginie).

On ne peut comprendre pourquoi le financement des travaux de Mann qui ont servi à "démontrer" médiatiquement l'hypothèse du "réchauffisme" qui influence les politiques publiques sur les bases d'une "science téléologique" - guidée par ses fins politiques - ne devrait pas être soumis à l'enquête judiciaire de Mr Cuccinelli.

3 mai 2010




Le nouveau bilan radiatif de Trenberth

Le site SKYFALL signale à ses lecteurs (Sur le bilan radiatif de la Terre ) la parution d'un nouvel article du Dr Trenberth et de ses associés sur la question du bilan énergétique de la Terre. SKYFALL attire notre attention sur les modifications apportées entre la figure équivalente d'un article précédent de Trenberth paru en 1997 et publié dans le AR4 de 2007 et les nouvelles valeurs publiées par Trenberth en 2009, soit deux ans seulement après la dernière publication. On peut résumer par l'équation suivante et ses implémentations numériques suivantes en w/m² :
équationIncoming Solar Radiation=Outgoing Longwave Radiation+Reflected Solar Radiation
2007342=235+107
2009341=239+102
Ecarts-1=+4+-5
On remarque que le flux émis par le Soleil aurait réduit de 1 W/m² alors que les climatologues "réchauffistes" affirment qu'il ne varie pratiquement pas avec les cycles solaires. Et l'effet calculé du CO2 "anthropogénique" est lui aussi de 1 W/m². C'est bizarre ...

On remarque que les deux flux en réponse varient respectivement de +4 w/m² et de -5 W/m². La non linéarité de la "machine climatique" permet un changement de signe entre l'effet et la cause. C'est bizarre ...

On note que, comme pour le problème de la fabrication de la température globale, la question des alternances jour/nuit et été/hiver ne sont absolument pas pris en compte, par les "budgets énergétiques". La situation représentée par ces deux grandeurs contestables que sont la température globale et le budget radiatif place la terre comme une plaque plate passive surmontée d'une plaque radiative parallèle émettant un rayonnement de rayons parallèles. Il y a comme un défaut ...

Certains commentateurs notent aussi que les "budgets énergétiques" mélangent les flux énergétiques avec les stockages de chaleur...

3 mai 2010




L'éruption du Eyjafjallajökull reprend sa force

Le Icelandic Meteorological Office et le Institute of Earth Sciences de l' University of Iceland publient un rapport d'observation quotidiens sur l'éruption du Eyjafjallajökull.

En utilisant l'estimation de la hauteur du panache on peut dresser le graphe suivant :


Il est donc probable que l'éruption ait repris avec une intensité comparable à celle qui a déclenchée l'interdiction du trafic aérien. Comme le débit des eaux de fusion est largement inchangé, on peut penser que l'émission de particules produites par l'explosion de la lave en contact avec la glace se poursuit ou a repris, e qui devrait gêner au moins autant le trafic aérien qu'à la fin du moins d'Avril.

Les scientifiques islandais notent chaque jour que l'éruption de l'Eyjafjallajökull ne montre aucun signe d'épuisement. Ils notent aussi que le volcan Katla voisin ne montre pas de signe de réveil, sauf un tremblement de terre notable le 28 avril dans sa caldeira.

6 mai 2010




La chute des piliers de la maison du "réchauffisme" ?

Dans un très intéressant article, intitulé The Fall Of The AGW Empire, P. Gosselin énumère sept piliers du "réchauffisme" qui seraient en cours d'effondrement. Le quatrième pilier s'énonce selon lui de la façon suivante :
Le dogme selon lequel l'effet de serre du CO2 est une fonction croissante de la concentration en CO2 est en train de laisser la place à la situation dans laquelle il n'est plus qu'une fonction logarithmique.

La situation nous paraît beaucoup plus grave pour le réchauffisme, notamment parce que la fonction logarithme est de toute façon une fonction croissante.

Or, l'anomalie de température globale annuelle - dont l'accroissement constant est présumée par les "réchauffistes" démontrer l'effet de serre du CO2, alors que cette "anomalie" est "forgée" pourtant par les "réchauffistes" eux-mêmes, - n'est pas une fonction uniformément croissante. En effet, l'émission de CO2 anthropique est constante et sa variation est constamment positive, quand la température globale évolue dans tous les sens. Quand il y a réduction de la température globale, les "réchauffistes" refusent même de rechercher un autre "effet" travaillant en sens contraire du CO2 qu'ils incriminent.

08 mai 2010




L'éruption du Eyjafjallajökull

L'éruption du Eyjafjallajökull se poursuit. Après la pointe d'activité du 6 mai dernier, le volcan se seait radouci. Seule la fraction de l'Europe du Sud, Portugal et Espagne a eu son traffic aérien troublé. Cependant deux faits sont inquiétants :
  1. Les cendres tombent en grande quantité sur l'Islande et dans une certaine mesure en Ecosse ;
  2. Les vulcanologues islandais qualifient la phase éruptive de "pulsatile" avec des hauts et des bas très variables et très rapprochés, ainsi qu'un accroissement du nombre de petits tremblements de terre (magniture M1 de 1 à 2). On en a compté 40 pour la journée du 10 mai.
Tout ceci laisse prévoir une préparation de nouvelles cheminées éruptives et le gonflement de poches de magma. Le Katla voisin semble ne pas accroître son éruptivité, ce qui est rassurant.

L'historique de l'estimation de la hauteur du panache est :

11 mai 2010




Les "réchauffistes" affirment que le mois de Mars 2010 est le plus chaud

L'organisation fédérale américaine NOAA, entièrement aux mains des "réchauffistes", publie une page sur son site Internet, intitulée State of the Climate Global Analysis - March 2010, pour affirmer que :

The combined global land and ocean average surface temperature for March 2010 was the warmest on record at 13.5°C (56.3°F), which is 0.77°C (1.39°F) above the 20th century average of 12.7°C (54.9°F). This was also the 34th consecutive March with global land and ocean temperatures above the 20th century average. La température de surface moyenne globale combinée avec continents et océans, pour Mars 2010, a été la plus chaude enregistrée à 13,5°C, soi 0,77°C au-dessus de la moyenne du XX° siècle à 12,7°C. On a aussi eût le 34° mois de Mars consécutif avec des températures globales, continents et océans au-dessus de la moyenne du XX° siècle

Pourquoi cette affirmation alors que l'on sait bien que les températures ont partout reculées ?

La réponse vient de ce que la NOAA ment effrontément. Pire encore. Elle ne peut que mentir contre l'évidence, puisqu'elle affirme être la seule compétente pour dire "l'évidence". Répétons une fois de plus, après Marcel Leroux, qu'une différence de 0,8°C annuelle est relevée en moyenne chaque année entre les relevés mensuels de Marseille et ceux de Nice. Ces deux villes ressortent du même climat régional méditerranéen. Ce qui est indicatif dans l'espace devrait s'appliquer aussi dans le temps : il n'y a aucun changement climatique indiquée par une quelconque "température moyenne".

Répétons encore, avec Vincent Courtillot, que la "température globale annuelle moyenne, continents et océans combinés", n'a strictement aucun sens physique.

23 mai 2010




De nouvelles nouvelles du Eyjafjallajökul

Il semble entrer dans une phase de décroissance depuis le 15 Mai 2010, en prenant comme paramètre la hauteur estimée de son panache.

Cependant, les vulcanologues pensent qu'il est loin d'être sorti de sa phase éruptive. Il devrait donc s'agir d'une simple acalmie avant une phase plus active. On note une recrudescence de micro-tremblements de terre sous le volcan qui pourraient provenir de l'alimentation de poches par du magma frais.

23 mai 2010




Les "réchauffistes" jouent à Bougainvilliers sous les palétuviers ...

La presse française éplorée nous apprend qu'une "grande aventure", à la fois humanitaire et citoyenne, vient de se terminer misérablement. De quoi s'agit-il ?

Dans le Grenelle de l'Environnement, il y a eu - semble t'il - un "Grenelle de la mer" ... Et parmi les mesures prises, Son Excellence le Ministre Borloo a décidé d'affréter un trois-mats. On a embarqué une trentaine de barbus sympathiques et trois blondes à couettes. Et vogue la galère !

Pour quoi faire ? Ne riez pas : pour étudier le monde dans sa diversité citoyenne et les effets du réchauffement climatique sur la biodiversité.

Le rafiot voilu est en panne au large de la Guyane, ce qui est déjà méritoire. Pourquoi en panne ? Il lui manque 500.000 euros pour continuer sa route ! Vous croyiez comme moi qu'un trois-mats avait besoin de vent. Eh bien, pas du tout. Il a besoin de "fraîche" ... Et Borloo ne veut plus payer parait-il. Il proteste qu'on ne lui a rien demandé parce que, sinon, c'est juré, il aurait payé. Il a déjà payé d'ailleurs dit-il.

500.000 euros ? C'est tout de même la paye annuelle de vingt personnes en France. Pour une croisière "citoyenne", c'est quand même un peu cher.

Comment s'appelle le fier vaisseau ? La Boudeuse. Comme le bateau de Boulainvillers en 1786 nous explique son capitaine.

1786 ? Trois ans avant la Révolution française ... Monsieur Borloo, savez-vous si le tape-dur Maillard s'était embarqué à bord de la Boudeuse ?

3 juin 2010




Le CRU de l'UEA persiste ...

Steve McIntyre, outré, nous apprend sur son site ClimateAudit, que le CRU de l'Université East Anglia persiste dans son diabolique refus de citer les sources de données de ses études.

Ce que Steve McIntyre ne semble pas admettre, c'est que la loi sur la liberté de l'information, comme celle dite FOI2000 en Grande-Bretagne, ne s'applique que pour les études qui sont vraies. Les études fausses ne sont pas obligées de citer leurs sources. C'est même à celà qu'on les reconnaît.

03 juin 2010




Steve McIntyre absolument déchaîné contre les menées anglaises "réchauffistes"

Depuis le début du mois de juin, Steve McIntyre de ClimateAudit est littéralement enragé de la tournure scandaleuse que prend le traitement de l'affaire du CRU Gate.

Pour ceux qui ne suivent pas les affaires littéralement mafieuses du "réchauffisme", on rappellera que le CRU Gate est une affaire qui a éclaté le 20 novembre 2009 par la diffusion sur Internet des mails et autres documents d'une archive du Climate Research Unit de l'Université de East Anglia. A quelques jours de la Conférence COP-15 de Copenhague, cette diffusion dont les circonstances sont toujours parfaitement inconnues, révélait que des chercheurs anglo-saxons avaient trafiqués les données pour parvenir à soutenir la thèse du "réchauffement climatique anthropique constant par émissions de CO2", manipulés les comités de lecture des revues scientifiques et montés des mouvements d'opinion contre des adversaires en utilisant les activistes et les médias.

Face à l'évidence, le public est devenu beaucoup plus critique à l'égard du "réchauffisme", en tout cas, plus critique encore que sceptique. Pour tenter de calmer l'opinion, les autorités, Parlement UK, Université UEA, GIEC et autres, ont rassemblé des sortes de "commissions d'enquête" dont trois ont déjà rendu des rapports "blanchissant", contre l'évidence même, les fauteurs "réchauffistes" du CRU.

Les commissions sont remplies de créatures à la solde des organisations "réchauffistes". Elles ont donc comme il fallait s'y attendre, rendus des avis particulièrement favorables au bénéfice des "réchauffistes". Sans aucun sens de l'honneur, des créatures stipendiées au mouvement mondialiste ont appuyé, rédigé, publié, diffusé l'avis selon lequel le "réchauffisme est la seule doctrine scientifiquement établie" et selon lequel "le CRU et ses membres et affidés n'avaient en rien démérité", du "réchauffisme" faut-il comprendre.

Steve McIntyre a publié à la suite :
  1. East Anglia Learns Nothing, le 2 juin ;
  2. East Anglia Covers Up Their Trick on Channel Four, le 3 juin ;
  3. Oxburgh Refuses to Answer, le 4 juin ;
  4. Muir Russell and the Oxburgh Embarrassment, le 4 juin ;
  5. Oxburgh versus Emanuel, le 5 juin ;
Et il garde toute sa vigilance sur BP et sa marée noire dévastatrice, alors que BP est l'un des grands soutiens du mouvement réchauffiste. Un des ses dirigeants est même membre de la Commission Muir Russel qui "enquête" sur les agissements du CRU. Et la NASA, animée par le gourou du "réchauffisme" James Hansen, poursuit ses agissements en faveur du "réchauffisme".

6 juin 2010




Le volcan islandais pourrait reprendre une phase éruptive plus forte



Le volcan du Eyjafjallajökull pourrait reprendre une activité éruptive plus marquée. En effet, après une réduction de la hauteur du panache, ce dernier remonte. Sa tendance à l'ordre 4 est croissante. Par ailleurs, l'activité sismique a été très marquée pendant toute la période de réduction du panache ce qui peut faire présumer que les chambres magmatiques se sont remplies. Enfin, le tremor a été plus fort ces derniers temps que pendant le reste de l'éruption.

Cette prévision ne fonde pas une causalité ou un déterminisme éruptif. Elle est simplement une opinion telle que si le réveil du volcan avait réellement lieu dans les quelques jours à venir, il n'y aurait là aucune raison d'étonnement.

7 juin 2010




Contestations sur le Rapport Oxburgh dans le CRU Gate

L'affaire du CRU Gate concerne les pratiques anti-scientifiques et politiquement partisanes d'un centre de recherche en climatologie, le CRU dirigé par Phil Jones, de l'université de East Anglia en Grande-Bretagne. Selon les accusations des sceptiques, la "science" de ce genre d'Institut se limite à publier des articles pseudo-scientifiques destinés à soutenir la doctrine imposée du "réchauffisme climatique". En Grande-Bretagne, plusieurs comités ont été institués pour rechercher les fautes et la responsabilité éventuelle dans cette affaire. L'un d'eux, dirigé par Lord Oxburgh sous le patronage de la Royal Society, a rendu un rapport scandaleux concluant à l'absence de faute. Dans son Rapport rendu en mars 2010, il a notamment examiné onze publications du CRU, sélectionnées par la Royal Society comme étant "les mieux représentatives des productions du CRU".

En découvrant leur liste, les sceptiques comme Steve McIntyre ou Andrew Montford, se sont récriés qu'il s'agissait de publications n'impliquant pas de problèmes particuliers alors qu'il en existe des dizaines extrêmement criticables. Ils se sont donc posé la question de savoir qui avait aussi soigneusement sélectionné ces publications, se demandant si cette personne n'aurait pas un lien d'intérêt avec l'équipe du CRU mis en cause. Ils ont donc directement posée la question à la Royal Society.

Steve McIntyre publie le 10 juin ce savoureux dialogue dans un billet intitulé British Due Diligence – Royal Society Style, qui ferait honneur au meilleur journalisme d'enquête.

Dans ces échanges, la Royal Society a été lente, très lente à réagir. Et il n'est pas moins surprenant que son Président, l'astrophysicien Martin Rees, ait refusé de répondre sur le nom du sélectionneur d'articles "pertinents". Il a littéralement "noyé le poisson" dans un océan de circonstances étrangères à la cause.

Les onze publications du rapport Oxburgh ont donc bien été sélectionnées de manière particulièrement "impertinente" par des "experts" inconnus dont les liens avec les membres du CRU mis en cause sont suspects.

11 juin 2010




Le volcan islandais du Eyjafjallajökul se repose



Ne vérifiant pas nos prévisions basées sur les rapports des vulcanologues islandais, le volcan du du Eyjafjallajökul s'est sensiblement assoupi. Tant mieux. Et nous pouvons réfléchir sur la vanité de prévoir le futur. Quoique, en attendant assez longtemps, on finit souvent par "avoir raison" ...

20 juin 2010




Les Britanniques payent pour que les éoliennes soient "éteintes" les nuits de grand vent

C'est ce que nous annonce le Daily Telegraph dan un article intitulé Firms paid to shut down wind farms when the wind is blowing. La Grande-Bretagne ne dispose pas de possibilités de stockage d'énergie dans les réserves hydrauliques. Aussi quand la production d'électricité peut dépasser la demande il faut immédiatement fermer certains producteurs.

Ce courant produit par les éoliennes pourrait coûter cet été un milliard de livres sterling. C'est quand même beaucoup pour une "institution" de l'affairisme "écologiste", le "green business" comme il y a le "charity business". Cela rend même très cher l'éolien et transforme les barbus écologistes sur leurs grands vélos en requins de la finance avec complet-vestons et attachés-caises ...

20 juin 2010




Steve McIntyre poursuit son enquête sur les leaders du "réchauffisme"

Steve McIntyre poursuit son enquête sur les leaders du "réchauffisme" :
  1. The Pearce “Inquiry” ;
  2. Penn State Report Released ;
  3. Oxburgh and the Jones Admission ;
    On va résumer rapidement les trois enquêtes de McIntyre.

  1. L'enquête de Fred Pearce

    Fred Pearce est un journaliste du Guardian, activiste du "réchauffisme" le mieux politiquement correct. Il aurait publié un livre sur les emails du CRU Gate. Et Steve McIntyre y trouve des jugements qu'il regrette - avec nous - de ne pas trouver sous la plume de Oxburgh ou de l'Université Penn State !... Citant un passage du livre de Pearce :

    The evidence of scientists cutting corners, playing down uncertainties in their calculations and then covering their tracks by being secretive with data and suppressing dissent suggests a systemic problem of scientific sloppiness, collusion and endemic conflicts of interest, but not of outright fraud. (p. 241) La preuve que les scientifiques ont "arrondis les angles", adoucies les incertitudes dans leurs calculs et ensuite cachés leurs pistes par le secret sur leurs données et la suppression des opinions dissidentes suggèrent un problème "systémique" de "laisser-aller" scientifique, et de confilts d'intérêt endémiques, mais sans une fraude évidente. (p. 241)
  2. Il faut reconnaître de la vigueur à Pearce. Mais, il semble que cela ne soit pas l'opinion du milieu mafieux de la climatologie réchauffiste.

  3. Le rapport suivant de Penn State Uni sur Michael E. Mann

    L'un des principaux protagonistes de l'affaire du CRU Gate est un paléoclimatologue américain, Michael E. Mann, "inventeur" de la fameuse courbe de hockey qui servit en 2004 pour promouvoir la Grande Peur du réchauffisme. Déjà une première fois enquêté par son Université, qui n'avait rien trouvé, Mann est enquêté une seconde fois par une autre Commission de cette même Université. La conclusion du rapport est absolument consternante :
    The Investigatory Committee, after careful review of all available evidence, determined that there is no substance to the allegation against Dr. Michael E. Mann, Professor, Department of Meteorology, The Pennsylvania State University. La Commission d'enquête, après un examen sougneux de l'nsemble des preuves disponibles, a décidé qu'il n'y avait aucune matérialité à l'allégation contre le Dr. Michael E. Mann, Professeur, Département de Météorologie, Université d'Etat de Pennsylvalnie.
    More specifically, the Investigatory Committee determined that Dr. Michael E. Mann did not engage in, nor did he participate in, directly or indirectly, any actions that seriously deviated from accepted practices within the academic community for proposing, conducting, or reporting research, or other scholarly activities.
    The decision of the Investigatory Committee was unanimous.
    Plus précisément, la Commission d'enquête a décidé que le Dr Michael E. Mann ne s'est pas engagé, ni n'a participé à, directement ou indirectement, à quelque action que ce soit qui aurait dévié sérieusement des pratiques acceptées à l'intérieur de la communauté académique en proposant, conduisant ou rapportant des recherches ou d'autres activités universitaires.
    La décision de la Commission d'enquête a été prononcé à l'unanimité.
    Le milieu autorisé note que le Dr M.E. Mann fait toujours partie du milieu autorisé puisque tous ses travaux ont été contrôlés par le milieu autorisé et publié par le milieu autorisé ... Les sceptiques peuvent être consternés, mais pas surpris.

  4. L'aveu de Jones chez Oxburgh

    McIntyre note que :
    ...Phil Jones admitted that it was probably impossible to do the 1000-year temperature reconstructions with any accuracy. Obviously, this would be a hugely important admission relative to this debate, but the Oxburgh Science Appraisal Panel “inquiry” did not report this admission ... ...Phil Jones aurait admis qu'il était probablement impossible de faire des reconstructions de températures sur 1000 ans avec une quelconque précision. Evidemment, ceci aurait été une reconnaissance extrêmement importante au sujet de ce débat, mais la Commission Oxburgh d'approbation scientifique (du CRU de Phil Jones) n'a pas tenu compte de cette reconnaissance ...
    Ce que McIntyre remarque, c'est que Jones admet ici que la courbe en crosse de hockey de M.E. Mann n'a pas de validité scientifique qui permette son utilisation dans d'autres travaux "scientifiques". Mais, il faut bien admettre qu'il s'agit d'un fait qui n'est pas prouvé et pas utilisable...

  5. Tout ne va donc pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    2 juillet 2010




La Commission Russel Muir avalise les pratiques du CRU

La Commission Russel Muir vient de publier son rapport final. Le Monde, dont nous n'apprenons pas à nos lecteurs qu'il est un "enragé réchauffiste", titre : ""Climategate" : une enquête indépendante blanchit les chercheurs du CRU". L'enquête n'était absolument pas indépendante. Elle a été commandité par le Chancelier de l'Université à laquelle appartient le CRU. Plusieurs de ses membres, au moins deux, sont des "réchauffistes patentés" et Sir Muir est lui-même entièrement entre les mains des mandarins du système universitaire auquel il appartient.

Mais, il faut bien se rendre à l'évidence. Le consensus prétendu des "réchauffistes" s'étend bien au-delà des seuls climatologues spécialistes pour s'étendre à la classe politique et à la classe des fonctionnaires, à laquelle appartient Sir Muir.

Nous avions déjà indiqué qu'il n'y avait aucune raison de faire confiance à la Commission Muir. Et c'est même, en Grande-Bretagne, la troisième "Commission indépendante" qui ne l'est pas et qui avalise les pratiques lamentables du CRU. Sur un sujet proche, on compte au moins deux Commissions universitaires aux Etats-Unis et une Commission internationale dont on attend le résultat sans surprise.

La climatologie est verrouillée depuis plus de trente ans sur le "réchauffisme". Elle n'a fait aucun progrès depuis.

07 juillet 2010




Les opposants au réchauffisme en Allemagne

Après le blog de l'américain P. Gosselin, NOTRICKZONE, qui travaille depuis la sphère allemande, on peut souligner le blog d'un ancien présentateur météo de la ZDF, Dr. Wolfgang Thüne.

Thune est un vrai météorologue. A la retraite aujourd'hui, il contredit régulièrement, avec un grand courage et une belle impertinence, les oukazes du parti réchauffiste allemand aussi puissant et hégémonique que son parti frère français.

17 octobre 2010




Des indicateurs climatiques confirment une baisse des températures en 2010

Le climatologue Roy W. Spencer publie un billet d'analyse des données satellitaires récentes. Très impliqué depuis des années dans le contrôle des données climatiques à l'aide des satellites, Roy W. Spencer est aussi un sceptique du tout réchauffisme totalitaire.

Son observation est des plus simples : Source
The following plot, updated through yesterday (October 4, 2010) shows that both the global average SST, and the Nino3.4 region average from the tropical E. Pacific, continue to cool. Le graphique suivant, mis à jour hier 4 octobre 2010, montre que, à la fois la moyenne globale SST (température de surface de la mer) et la moyenne de la région 3.4 El Nino dans la zone tropicale de l'Est Pacifique, continuent à se refroidir.

Il y a plusieurs remarques à faire sur ce graphique.
  1. La dernière descente de janvier 2010 est initiée par El Nino, suivie par SST environ 3 mois plus tard.
  2. Cette descente est continue sur 9 mois passés.
  3. Il y a quelques périodes ou le mouvement est dans cet ordre :
    • de juin 2005 à décembre 2005;
    • de janvier 2006 à juin 2006 ;
Dans les autres périodes, El Nino est simultané avec SST ou en dépendance inverse. Ici, la chute de SST est de 0,25°C continue en 9 mois environ. En 2007, il y eut une descente de même amplitude sur 14 mois de 0,3°C environ. Mais la dépendance de SST et de El Nino n'est pas du tout envisageable.

24 octobre 2010




Steve McIntyre ne lâche pas les enquêtes partiales des "réchauffistes"

Steve McIntyre, l'animateur de Climate Audit, ne décolère pas depuis l'échec des quatre enquêtes au sujet des manipulations de la communauté scientifique sur le problème de la température globale moyenne. Ces enquêtes ont été diligentées par des équipes qui se sont auto-proclamées "indépendantes" et qui - évidemment ... - ne l'étaient pas.

Il se pose la question de savoir comment les enquêtes n'ont pas recherché à démontrer l'innocence de Phil Jones dans le cas de la destructions des données climatiques permettant de retrouver sa courbe de réchauffement depuis 1850. Pourquoi cette carence alors que tout le monde le sait. Jones l'a déclaré lui-même dans les emails saisis.

La stratégie est simple. Pour les enquêteurs comme l'Ecossais Russel Muir, ne pas poser la question permettait de ne pas retenir une accusation majeure contre l'honnêteté scientifique de Jones et de son équipe du CRU. Et maintenant, l'affaire est "réglée". Phil Jones est un vaillant, honnête et grand scientifique injustement vilipendé par des "gens sans aveu" ...

Pour combien de temps. Parce que Steve McIntyre est tenace. Et d'autres chercheurs de vérité dans dix ans ou trente ans seront plus libres.

4 novembre 2010




Allègre durement attaqué par le gouvernement Fillon

Fort de la déclaration de l'Académie des Sciences selon laquelle le réchauffement climatique est dû essentiellement à l'activité humaine, le gouvernement Fillon aura attendu deux semaines avant d'attaquer durement Claude Allègre, tête de turc des réchauffistes. Une championne de karaté, membre du gouvernement Fillon vient de déclarer sur une chaine de télévision publique :
"L'imposteur est corrigé, c'est formidable"
Dans une affaire où seule l'invective permet de se déclarer dans un camp ou dans l'autre, la championne a clairement engagé le gouvernement Fillon dans le camp "réchauffiste" qu'il semblait regretter après l'affaire du Climate Gate. Comme il fallait s'y attendre, et la lettre de mission de Pécresse ne laissait aucun doute à ce sujet, l'Académie des Sciences a soutenu le gouvernement. C'est son rôle depuis Louis XIV. Bien.

Etait-il absolument nécessaire de faire la Révolution pour en revenir au régime du Roi-Soleil "un-deux-la-jambe-en-avant-s'il-vous-plait ...".

4 novembre 2010




L'opinion de Courtillot sur le Rapport de l'Académie

On a eu quelque peine à trouver l'expression de l'opinion de Vincent Courtillot l'autre sceptique physicien en France sur le Rapport de l'Académie. On peut trouver des interviews vidéo ici ou ici. En résumé, Courtillot trouve caricaturales les conclusions du rapport. Le Rapport soulève 12 points sur lequel il n'est pas d'accord et 8 sur lesquels il est d'accord.

04 novembre 2010




La dictature climatiste va couter 100 milliards de dollars

Dans un très intéressant article du New York Times intitulé Climate Panel Offers Ways to Raise Cash to Cope, appliquant les récentes négociations de Copenhague, un panel d'autorités financières, comprenant, et cela est en soi inquiétant, Georges Soros et Christine Lagarde, la ministre des Finances de l'Etat français, a décidé de transférer 100 milliards de dollars à destination des économies arriérées pour leur permettre d'améliorer leur bilan carbone. Ce "panel" réuni aux Nations-Unis, a trouvé 30 milliards de dollars seulement par le prélèvement de taxes d'Etat.

La décision se fonde sur un principe d'équité selon lequel le réchauffement climatique étant le fait de l'industrie, est en réalité celui des nations développées qui du coup, "ont le devoir de réparer les dommages subis par les nations pauvres, qui ne sont responsables de rien, à cause des effets du réchauffement". On nous refait le "coup de Durban". Bon.

Or, comme nul n'en ignore, il n'y a jamais eu de réchauffement climatique, même si certains endroits comme le Sahara sont plus chauds que d'autres, comme l'Antartique. De même, il a existé dans ces endroits des époques plus chaudes et d'autres plus froides. Mais rien ne permet de dire qu"il existe un réchauffement climatique global dans la période industrielle et qui serait exclusivement dû aux activités industrielles des pays développés.

On réplique à cela par l'invective en conspuant le "négationisme" de la contestation du réchauffement climatique. Or, on sait que les reconstitutions de l'anomalie de température globale annuelle sont fausses. Il faut désigner ici clairement les reconstitutions de James Hansen du GISS américain, de Phil Jones du CRU de l'université de East Anglia et de Mike Mann de l'Université Boulder. Toutes leurs courbes sont de grossières forgeries complètement démontrées depuis vingt ans. A telle enseigne que même l'Académie des sciences française est contrainte de faire une déclaration réchauffiste sans citer une seule fois l'anomalie de température globale annuelle tellement elle est fausse et forgée de toutes pièces.

Et cette forgerie nous a déjà coûté plusieurs milliards et on nous annonce 100 milliards supplémentaires. Il paraît cependant que ces futurs milliards, personne ne veut les trouver . Bizarre non ?

6 novembre 2010




La protection de la couche d'ozone au secours du réchauffement climatique

Un article très intéressant du New York Times, sous la plume de l'activiste "réchauffiste" John Broder, et intitulé A Novel Tactic in Climate Fight Gains Some Traction, montre comment des lobbyistes du "réchauffement climatique" vont tenter de détourner le Protocole de Montréal datant de 1987 pour contourner l'échec de Copenhague.

Montréal 1987, c'est un accord international visant à, dans le but de "sauver la couche d'ozone", interdire les composés fluorocarbonés, notamment dans les échangeurs thermiques. Ils avaient été désignés comme responsables de la destruction de la couche d'ozone.

Copenhague 2009, ce fut l'échec retentissant, largement provoqué par le scandale, aujourd'hui bien étouffé, du Climate Gate, d'un traité international imposant une réduction drastique de l'activité industrielle pour "sauver la planète d'un épouvantable réchauffement climatique".

Savoir par quelles manoeuvres ces lobbyistes vont-ils détourner la protection de la couche d'ozone vers un sauvetage de la Planète, ne présente pas de grand intérêt. Nous verrons bien. Mais, des travaux récents ont démontré que la couche d'ozone n'était pas aussi détériorée que les "scientifiques" auto-proclamés, au prétexte qu'ils recevaient des payes de scientifiques, l'avaient fait croire. Alors, parvenir à détourner un bidonnage pour couvrir les agissements véreux des "réchauffistes" sur un "réchauffement climatique" qui n'est ni mesurable, ni observable ne semble pas une tâche au delà de leur portée.

A quand un réveil du bon sens chez les décideurs, manipulés par des "experts" ?

9 novembre 2010




Vers une réduction de l'emprise du réchauffisme en France ?

Les écologistes sont totalement déconfits de la chute de leur ministre Borloo. Ils étaient parvenus à le contrôler à peu près complètement et à placer leurs hommes lige dans tous les postes de ce ministère tentaculaire.

Le remaniement du Gouvernement dans sa version III, voit la chute de Borloo et surtout la réduction du super-ministère qu'ils étaient parvenu à arracher à Sarkozy. Le Minitère perd la tutelle de l'énergie et des transports. En contrepartie, le Ministère réduit échoit à la Dame Kosciusko-Morizet, dont on a dit tout le bien qu'il était possible en restant dans les limites de la courtoisie. La nouvelle Ministre, bien que de puissance moins grande que son prédecesseur, est toutefois largement dans les mains des réchauffistes. On note seulement que, depuis qu'elle avait quitté le service de Borloo-Ecolo, elle semblait ignorer les questions de réchauffisme.

Le "réchauffisme" est il en décrue auprès des puissances qui nous dirigent ? Ce serait bien.

15 novembre 2010




En plein réchauffement climatique, l'Ile-de-France bloquée par la neige

En plein réchauffement climatique, l'Ile-de-France est complètement bloquée par la neige en début décembre. Il est tombé dix centimètres de neige lourde et humide avec une température de l'ordre de 0°C à peine, et les routes sont totalement bloquées. Aucune mesure de limitation de circulation n'a été prise alors que la chute de neige était prévue. Mais ses effets, à cause de la croyance dans le réchauffement climatique anthropique, ont été sous-estimés.

Les techniciens des transports ont été incapables de faire face à un froid modéré et à des précipitations qui n'avaient rien de particulièrement sévères. Les trains et les autobus sont eux-mêmes bloqués. Les TGV sont contraints de réduire leur vitesse du tiers et les aéroports sont fermés.

La climatologie, au lieu de faire des prévisions fantaisistes basées sur des théories physisues et statistiques fondamentalement erronnées, devrait se développer pour faire face à n'importe quel événement climatique modéré, comme les froids rencontrés habituellement en France.

8 décembre 2010




Le Premier Ministre français critique Météo France

Selon la presse française, le Premier Ministre a critiqué Météo France dont les prévisions n'ont pas permis de mettre en alerte les services de l'Etat. Il en est résulté la pagaille générale des transports, provoquée par les importantes chutes de neige du milieu de semaine.

Bien sûr, Météo France proteste et démontre qu'il a alerté correctement. En fait, c'est son métier de ne jamas être pris en faute sur des prévisions. Une simple question de style. Mais, le problème n'est même pas là. Les services du Premier Ministre ont d'ailleurs tenté de réduire la portée de sa critique.

Les gens des services de l'Etat, au premier rang desquels Météo France, ont tous adhérés depuis plus de dix ans et peut être vingt pour Météo France, à la forgerie du "réchauffement climatique d'origine anthropique". Ils sont donc persuadés qu'il "fait de plus en plus chaud", ce qui n'a strictement aucun sens. Et du coup, leurs prévisions et leurs interprétations des prévisions sont biaisées par l'idéologie du réchauffement. D'où l'absence de réaction correcte technique de l'ensemble des intervenants sur les moyens de transport. Y compris dans le domaine privé.

Joignez à celà la terrible présomption de l'Etat à pourvoir à tout avec son absence chronique de moyens financiers - fin novembre 2010, il manquait 1 milliard pour payer les fnctonnaires - et vous comprendrez aisément la galère.

10 décembre 2010




Meteo France a encore une fois sous-estimé la vague de froid

Une nouvelle fois cette semaine, Météo France a sciemment sous-estimé la vague de froid qui a frappé la moitié Nord du pays. Les chutes de neige ont relevé de 4 à 10 fois plus de hauteur de neige que celles qui avaient été prévues.

La question n'est pas de savoir si en général la météorologie est capable ou non de réaliser des prévisions fiables à très court terme, mais celle de savoir pourquoi les erreurs de prévision sont toujours dans le sens de la thèse erronnée du réchauffement climatique d'origine industrielle.

Météo France fait des prévisions estivales qui augmentent les vagues de chaleur même quand il n'en existe pas et cette institution politique ignore les vagues de froid. Voilà une attitude basée non pas seulement sur une physique erronnée, mais sur une attitude idéologique anti-scientifique.

22 décembre 2010




Selon les réchauffistes, il fait froid parce que le climat se réchauffe ..

Interrogé ce jour par le quotidien Le Nouvel Obs', le "réchauffiste" allemand Rahmstoff de Postdam explique avec ses collègues que la réduction de la couche arctique de glace provoquée par le "réchauffement climatique d'origine anthropique" provoque des vagues de froid sur l'Europe.

Le quotidien payant sa quote-part à la manipulation de l'opinion en faveur de l'idéologie du "réchauffement climatique" écrit avec l'AFP :
Les chercheurs soulignent que ces hivers particulièrement froids en Europe ne reflètent pas la tendance globale constatée sur l'ensemble du globe, où 2010 devrait être l'une des trois années les plus chaudes jamais enregistrées.
"Quand je regarde par ma fenêtre, je vois 30 cm de neige et le thermomètre dit -14°", raconte Stefan Rahmstorf, qui s'exprimait au téléphone depuis Potsdam. "En même temps, au Groenland, nous sommes au-dessus de zéro en décembre".
Or, cette affirmation de la température au Groenland est fausse. Il gèle au Groenland. Il suffit de se rendre sur le site de l'Institut de météorologie danoise qui fournit des courbes de température pour des stations côtières du Groenland. Toutes les températures minimales sont largement inférieures à 0°C pour toutes les stations et pour tous les jours du mois de décembre jusqu'à hier, Quelques stations montrent quelques journées au cours desquelles la température maximale relevée est légèrement au-dessus du gel. On note d'ailleurs que ces stations sont établies sur des héliports ou d'autres surfaces ayant tendance à hausser de plusieurs degrés la température aérienne de journée.

Voici quelques relevés à titre de démonstration :


Il gèle toujours en hiver au Groenland ...

22 décembre 2010




La forgerie climatique ne convainc plus la finance

Nous apprenons d'un article satirique du sceptique Papyjacko intitulé "Des promesses … Toujours des promesses … Rien que des promesses. Deuxième partie - PapyJako" sur SKYFALL, le blog sceptique animé depuis un an par le sceptique Benoît Rittaud que la bourse de Chicago, appartenant à Al Gore, et qui trafiquait les droits de polluer en CO2 et autres fariboles, vient de fermer il y a quelques mois. Des études montrent de très criticables connexions entre les activistes du réchauffement climatique anthropique, Al Gore, Strong et Obama. On pourra se reporter notamment à un article intitulé Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange du blog Les 7 du Québec, de l'an dernier sur cette question.

La nouvelle est restée cachée aux lecteurs français de la presse réchauffiste qui, il faut le reconnaître, n'a de toutes façons jamais été "enthousiaste" à l'égard de l'escroquerie de Al Gore et de ses séides du "Prix Nobel de la Paix". Aux Etats-Unis, FoxNews informe ses lecteurs dès Novembre 2010. L'information est aussi publié le 9 novembre 2010 dans un éditorial intitulé The Crash of the Climate Exchange dans la revue Investors.

Sur Wikipedia en langue française, l'article sur la Bourse de Chicago CCX laisse supposer que cet organisme mafieux est toujours actif. Sur Wikipedia en langue anglaise, le glas est froidement sonné : "In November 2010, the Climate Exchange stated that it would cease trading carbon credits at the end of 2010, although carbon exchanges will still be facilitated." Sur le site Internet de la Bourse CCX, la chose est bien cachée, mais parfaitement claire. Il faut ouvrir un communiqué de presse (ici) et on peut lire : "The emission reduction commitment program will conclude, as scheduled, following the completion of Phase II.". Le dernier bulletin mensuel CCX-CCFEMarket Report date déjà d'Avril 2010. La cotation est parfaitement plate depuis Avril 2010.

La filiale européenne ICE semble toujours active. Mais son sort serait pratiquement scellé.

Les plus grands noms de la finance et de l'industrie se trouvent parmi les membres de la Bourse de Chicago : Shell et BP, Lehmann Brothers et JP Morgan, BNP Paribas et tant d'autres. Ils ont manifestement saisi que la forgerie du "réchauffement anthropique" était maintenant patente.

26 décembre 2010


FIN DE L'ANNEE 2010


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