Les sceptiques du "réchauffisme"

Une bibliographie raisonnée

Philippe Brindet
27 novembre 2009, révisée la dernière fois le 11 Septembre 2011


Les sceptiques du "réchauffisme" se divisent en trois catégories :
  • les spécialistes d'économie politique, assez bien fédérés, bien que ce soit sans comparaison par rapport aux "réchauffistes" ;
  • les citoyens exaspérés par les outrances catastrophistes irresponsables des "réchauffistes", ces citoyens étant souvent des scientifiques non climatologues, comme des physiciens ou des biologistes dont la capacité critique n'est pas atteinte par l'anesthésie du "consensus réchauffiste" ; et
  • les climatologues scientifiques exclus de la ligne "majoritaire" du GIEC.
On entend souvent répliquer aux sceptiques du "réchauffisme" qu'ils critiquent sans arguments, et qu'ils seraient bien en peine de citer quelques articles scientifiques à mettre en balance vis-à-vis des centaines de publications "peer-rewieved" des "réchauffistes". Voici une sélection d'articles scientifiques de climatologues qui s'interrogent ou condamnent scientifiquement les idéologies du "réchauffisme".

Après une très longue navigation sur le Web pour parvenir à établir cette liste, il a été trouvé une autre liste qui n'est pas sans intérêt sur l'encyclopédie Wikipedia List of scientists opposing global warming consensus. En réalité, cette liste est tenue par les écologistes comme une liste d'infamie, sévèrement gardée par les pires "réchauffistes". Les sceptiques comme P. Chylek sont très honorés d'y figurer.

Références d'articles et livres critiques du "réchauffisme"

    Auteurs critiques du "réchauffisme"

    Richard Lindzen

    Sur R. Lindzen : Lindzen est un climatologue du MIT, professeur de climatologie. Il a démissionné en 2001 du GIEC, alors que, depuis le début de cette organisation mafieuse, il avait contribué par son travail au groupe des scientifiques. Il s'était alors rendu compte des méthodes non-scientifiques par lesquelles des études scientifiques étaient traitées. Puis, il s'est rendu compte que le CO2 et les autres gaz dit à effet de serre étaient largement surestimés dans un réchauffement global.

    Lindzen est particulièrement surveillé par deux organisations mafieuses qui publient des alertes dès qu'il publie le moindre propos. Les "lieux de dénonciation citoyenne" sont le blog "réchauffiste" RealClimate et le site d'extrême-gauche Source Watch.
    1. R. Lindzen, "Global Warming: The Origin and Nature of the Alleged Scientific Consensus", Cato, Vol.15, No. 2, Spring 1992 ;
      Lindzen, dès 1992 prévenait la communauté intellectuelle que les prédictions agitées par les"réchaufffistes" étaient sans fondement scientifique vrai, vérifiable et certain. Plus grave, il montre que la référence constante à un consensus scientifique qui n'existe pas est une manoeuvre imposée dès la fondation du GIEC dont ce serait l'unique mission : "faire taire, ou déconsidérer toute voix scientifique s'opposant au "réchauffisme"".
    2. R. Lindzen, "Climate of fear", The Wall Street Journal, 12 avril 2006 ;
      Lindzen se plaint d'une science qui sort de son domaine raisonnable pour nourrir des manipulations d'opinions en suscitant des peurs auprès des gens non scientifiques. Il note le limogeage de plusieurs scientifiques en Europe et souligne le rôle du paléoclimatologue Mann et du politicien Al Gore dans la tentative de réduction au silence des scientifiques opposés aux thèses erronnées du GIEC. On note une traduction en français de cet article sur le site de Polemia.
    3. R. Lindzen, "On the determination of climate feedbacks from ERBE data", Revised on July 14, 2009 for publication Geophysical Research Letters ;
      Lindzen analyse les données récentes du projet par satellites ERBE. Il découvre que les rétroactions climatiques ("climate feedback") exploitées dans 11 modèles du GIEC ne sont pas validées par les données de mesure.
    4. R. Lindzen, "Climate Science: Is it currently designed to answer questions?", San Marino Meeting from 29-31 August 2008. Its Proceedings are expected to be published in 2009 ;
      La climatologie est une science retardée par des considérations idéologiques. Elle est même devenue un lieu où la science est asservie à la politique. Lindzen décrit des pressions pour interdire la recherche et la résolution de problèmes. Il cite le cas de Vincent Courtillot. Il pense que la science et la société courent des dangers. Les annexes donnent desinformations essentielles sur plusieurs affaires mettant en cause le "réchauffisme".
    5. R. Lindzen, "Taking Greenhouse Warming Seriously", Energy & Environment, Vol. 18, No 7+8, 2007 ;
      Lindzen montre le danger de la simplification du système climatique dans le cas de l'effet de serre. Il requalifie le lien entre l'effet de serre et la température atmosphérique de surface et enfin, il montre les raisons de la surestimation opérée par le GIEC.
    6. R. Lindzen, Rahmstorf, Lindzen, "An Exchange on Climate Science and Alarm", Brookings Inst. Press 2008 ;
      Brochure tirée d'une Conférence sur le Climat à laquelle Lindzen était invité en 2007. Les textes des interventions, dont celle de Lindzen devaient paraître dans une publication, ainsi que c'est l'usage de conférences scientifiques. Peu après la tenue de la Conférence, la publication de ses Actas fut repoussée. Puis Lindzen apprit qu'un article d'un autre intervenant, Rahmstorf, avait été ré-écrit pour attaquer son exposé à lui Lindzen. Les Actas n'ont jamais été publié. Lindzen publie alors indépendemment son article original, sa mise en cause par Rahmstorf et sa réplique.
    7. R. Lindzen, "Résister à l'hystérie sur le climat" - contre une politique climatique irréfléchie. Institut Constant de Rebecque (CH), 16 novembre 2009 ;
      Dans ce texte, Lindzen met en garde contre des décisions irréfléchies qui pourraient être prises sous la pression d'organisations partisanes exploitant sans vergogne des scientifiques peu scrupuleux (" ... en climatologie, on peut toujours compter qu’une petite coterie de scientifiques soit prête à modifier les données afin qu’elles concordent avec les modèles.").
    8. R. Lindzen, "The Climate Science Isn't Settled", The Wall Street Journal, rubrique Opinions, 30 novembre 2009 ;
      Lindzen qualifie de "bizarre" les méandres de la courbe de l'anormalité de température moyenne annuelle globale (ou mondiale, selon les terminologies). Il souligne les erreurs scientifiques du "réchauffisme" et met en garde contre les forgeries généralisées dont le CRU Gate n'est qu'une infime part révélée au public.
    9. R. Lindzen, Coolness Concerning Global Warming, AMS Journal, Vol. 71, N0 3, March 1990 ;
      Le calcul de la température globale moyenne est une tâche difficile à cause de la variabilité à la fois dans le temps et dans l'espace. Le calcul de l'influence du CO2 anthropique ne l'est pas moins. Si on se limite aux données de mesure, la prévision de l'une et de l'autre est innefficace. Ce sont des considérations hypothétiques qui donnent la réponse réchauffiste. Autant dire qu'il s'agit de rien de scientifiquement défini.
    10. Richard S. Lindzen and Yong-Sang Choi, On the Observational Determination of Climate Sensitivity and Its Implications, Asia-Pacific J. Atmos. Sci., 47(4), 377-390, 2011
      A la suite d'un article précédent de 2009, les auteurs utilisent une nouvelle manière d'utiliser les mesures thermométriques de ERBE pour répondre aux critiques. Ils en déduisent une sensibilité faible aux rétroactions. En particulier, les auteurs présentent le formalisme de la rétroaction. Les réactions des réchauffistes ont été extrêmement virulentes. Notamment sur le site RealClimate qui appartient à James Hansen.

    Vincent Courtillot

    Sur l'auteur : V. Courtillot est un géophysicien, spécialiste notamment du géomagnétisme et des volcans. Bénéficiant d'une double formation d'ingénieur et d'universitaire, le Pr. Courtillot est directeur de l'Institut de Physique du Globe, membre de l'Académie des Sciences. Il a été Conseiller scientifique du Ministre de la Recherche. Il a été nommé en 2008, membre de l'Académie des Sciences de Chine.

    Jusqu'en 2004 environ, Courtillot était convaincu de la validité de la thèse réchauffiste promue par le GIEC. Puis, plusieurs faits lui ont ouvert les yeux. Particulièrement, il s'est aperçu des corrélations entre la machine solaire et le géomagnétisme et le climat atmosphérique.

    Quand il a demandé aux anglais de East Anglia de lui fournir accès aux données de température qu'ils utilisaient pour le GIEC, il a essuyé un refus. Même refus de la part des américains du GISS. Interloqué, il a alors réussi à travailler sur des séries réduites publiques pour deux zones : Europe et Amérique du Nord. Il trouva des résultats très différents de ceux du GIEC. Il eut alors le "tort" de publier ses travaux.

    Il a alors été pris pour cible par les réchauffistes et en premier lieu par deux journalistes de quotidiens parisiens, parfaitement ignares en matière de sciences, mais militants soumis aux causes citoyennes dictées par les organisations d'extrême gauche. Courtillot est depuis contraint de louvoyer entre deux positions : affirmer que sa démarche est exclusivement scientifique et que les aspects citoyens en sont exclus d'une part, concéder que, devant l'empilement de faits scientifiques, il reconnaît l'existence d'une augmentation de la température globale, mais que celle-ci pourrait actuellement entrer dans la phase suivante de refroidissement naturel, d'autre part. Du coup, ses critiques sont bien timides.

    Commentaire : Comme beaucoup de critiques du "réchauffisme", Courtillot affirme avec raison que le concept même de "température globale moyenne" n'a strictement aucune validité physique. Mais, ses travaux critiques se fondent sur ce paramètre. C'est, semble t'il, un passage obligé pour critiquer la théorie erronée du "réchauffisme anthropique".
    1. Le Mouël et Courtillot, "Evidence for a solar signature in 20th-century temperature data from the USA and Europe", Earth and Planetary Sci Lett, 232 (2005) 273-286 ;
      C'est probablement l'article qui, en France du moins, a fait basculer le "réchauffisme" du statut de théorie "ayant le consensus de la majorité des scientifiques" en mouvement dictatorial aux visées inavouées. L'équipe de Courtillot a été écarté des données de base ayant servies à constituer la fameuse "température globale annuelle" du CRU. Deux séries de données pour l'Amérique du Nord et pour l'Europe ont donc été reconstituées et il a été noté que les deux régions ne se comportent pas identiquement d'une part et que l'activité Soleil est la cause des variations des températures minimales quotidiennes d'autre part.
    2. Courtillot V., Yves Gallet, Jean-Louis Le Mouël, Frédéric Fluteau, Agnès Genevey "Are there connections between the Earth's magnetic field and climate?", Earth and Planetary Science Letters 253 (2007) 328-339 ;
      Après une revue des agents de variabilité du climat, et évoquant les mesures du champ magnétique terrestre rassemblées par le Mouël sous la forme d'indices magnétiques, l'étude met en évidence une synchronisation des évolutions temporelles de ces indices avec l'activité solaire. La concentration en CO2 n'est pas aussi corrélée avec la température globale. L'étude estime ensuite l'effet des rayons cosmiques et solaires sur la formation nuageuse. L'étude passe de l'échelon 1000 ans à celui des 10.000 ans. Une relation entre les oscillation de Milankovic et le champ magnétique terrestre est discutée. L'étude conclut que la température globale et le taux de CO2 sont contrôlés principalement par la fréquence des oscillations de Milankovic. Pour trouver une liaison de contrôle par le géomagnétisme, l'étude recherche la possibilité d'une dynamo formée entre le noyau terrestre et le Soleil. Il est noté que la corrélation entre le magnétisme et le climat se perd au début des années 80 quand le réchauffement global anthropogénique apparaît.

      Commentaire : L'article de V. Courtillot pourrait donc appartenir au mouvement "réchauffiste" alors qu'il a été fortement rejeté par lui (noter : Comment on "Are there connections between the Earth's magnetic field and climate?" by V. Courtillot, Y. Gallet, J.-L. Le Mouël, F. Fluteau, A. Genevey EPSL 253, 328, 2007. Edouard Bard, Gilles Delaygue. Earth and Planetary Science Letters, Volume 265, Issues 1-2, 15 January 2008, Pages 302-307"). Plus que l'activité industrielle et le rejet des gaz à prétendu effet de serre, il se pourrait que ce soit l'augmentation non relevée par les "réchauffistes" de l'activité solaire qui soit la cause du réchauffement, tandis que cette activité solaire exhubérante aurait "éteinte" la dynamo géomagnétique.
    3. Courtillot V., "Nouveau Voyage au centre de la Terre", 348 pages, Odile Jacob (17 septembre 2009), Collection : Sciences, ISBN-10: 2738119395 ;
      Courtillot montre que, parmi les moteurs du climat, on a oublié la Terre et ses milliers de points chauds comme les volcans. Voir un entretien vidéo de Courtillot "Vincent Courtillot: la Terre et le réchauffement climatique". Dans ce livre, Courtillot met en cause l'arrogance des certitudes du GIEC qui "ignore" volontairement Lindzen (2001) et Scafetta (2007); ces deux références se trouvant dans cette bibliographie indiquent que l'échauffement dû au CO2 est cinq fois plus faible que celui prévu par le GIEC et que l'effet de la variabilité du Soleil sur le climat est dix fois plus forte que celle qu'il lui concède.
    4. Courtillot V. et Le Mouël J.L., "De quelques contributions à la mise en évidence de signatures solaires dans les données climatiques aux échelles décennale à séculaire", Paris, pour l'Académie des Sciences, le 8 septembre 2010 ;
      Cet article était fourni par V. Courtillot dans le débat organisé le 20 septembre 2010 par l'Académie des Sciences pour tenter de désamorcer la stupide "bronca" des "réchauffistes" et autres "carbocentristes". Il a été diffusé par le quotidien "réchauffiste" Libération, sur le site duquel nous l'avons trouvé. Cet article fort intéressant de V. Courtillot et de J.L. Le Mouël a été éreinté par l'ignorant idéologue Sylvestre Huet et par l'inénarrable "académicien" Edouard Bard, dont la médiocrité a bien besoin de l'ignorance de Huet pour conserver une attractivité du côté des "pauvres" gens à manipuler.

      Cet article refait l'historique des travaux de l'équipe de V. Courtillot sur l'évidence de la signature solaire. Un trio d'inquisiteurs a publé dans la presse quotidienne, entièrement acquise à la cause "réchauffiste la plus éhontée, une critique d'une vulgarité et d'une bêtise inégalable, dont nous ne résistons pas au plaisir de publier une "cadence" :
      (sic) Les « réponses » apportées par MM Le Mouël et Courtillot n'ont fait que confirmer les erreurs flagrantes constatées dans leurs articles, notamment dues à une mauvaise connaissance des bases de la mathématique statistique ...
      Les idéologues du "réchauffisme" peuvent sans crainte utiliser l'insulte et la dénonciation politique pour résister. Et Courtillot, sans faire de prévision, pense possible une période de refroidissement d'une vingtaine d'années.
    5. Courtillot, Le Mouël et Kossobokova, "A statistically significant signature of multi-decadal solar activity changes in atmospheric temperatures at three European stations", Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics, Volume 72, Issues 7-8, May 2010, Pages 595-606 ;
      N'existe que sous forme d'abrégé et il est possible d'acheter l'article à l'éditeur. La démarche suivie a consisté à séparer dexu classes de données de températures, élevées et faibles. Sur ces deux classes, l'activité solaire intervient majoritairement avec le cycle de Schwabe de 11 ans.
    6. Courtillot, Le Mouël et Kossobokova, "A solar pattern in the longest temperature series from three stations in Europe", Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics, Volume 72, Issues 7-8, May 2010, Pages 595-606, Issue 1, January 2010, Pages 62-76 ;
      N'existe que sous forme d'abrégé et il est possible d'acheter l'article à l'éditeur. L'article travaille trois séries longues provenant de Prague, Bologne et Uccle. Les données sont réparties en deux classes. Le rôle du soleil dans ces séries est patent.

    Marcel Leroux

    Sur l'auteur : Marcel Leroux est décédé en 2008. Docteur es Sciences, il a travaillé en observations en Afrique sur les climats tropicaux. Il a contribué à une meilleure connaissance des mécanismes de l'atmosphère et en a déduit une théorie pour améliorer la météorologie. Mais cette théorie n'est pas encore appliquée par les modélisateurs météo qui se trompent.

    Leroux n'hésitait pas à dénoncer leurs erreurs, par exemple lors de la chute de neige imprévue de janvier 2003. L'apport de Leroux à la critique du "réchauffisme" est essentielle, au moins en France, mais aussi aux Etats-Unis où plusieurs de ses livres ont été publiés, sur le rejet du concept d'un "climat global" unique, alors qu'il n'existe au mieux que des climats régionaux. Il a très tôt remis en cause la validité scientifique d'une température globale qui méconnait notamment la température et l'humidité. Enfin, il insiste sur le rôle mineur du CO2 parmi les gaz à effet de serre.

    Il est resté méprisé des "réchauffistes" qui sont parvenus à le faire interdire de publication de toute revue scientifique universitaire et à faire observer, au moins en France, un silence absolu sur son existence.
    1. Bibliographie de Marcel Leroux, sélection du LCRE;
    2. M . LEROUX - L’Anticyclone mobile Polaire, relais des échanges méridiens : son importance climatique , SÉMINAIRE « PALÉOLACS-PALÉOCLIMATS »> ORSTOM. BONDY, JANVIER 1987
      Dans cet article, le plus ancien que nous avons pu trouver, Marcel Leroux écrit ce qui est la marque de sa méthode - partir de l'observation :
      L’Anticyclone mobile Polaire [3] réalise, dans les basses couches de la troposphère, le transfert du froid polaire (à travers les zones tempérées) en direction de la zone tropicale (cf. fig. 1). Initialement simple apophyse des Hautes Pressions Polaires permanentes d’origine thermique, puis s’en détachant progressivement (comme un iceberg se détache d’un inlandsis), I’Anticyclone mobile Polaire est de vaste dimension (naturellement très variable, mais en moyenne de 2 000 à 2 500 kilomètres de diamètre), et de forme grossièrement circulaire comme le révèle, de facon particulièrement éloquente, l’image du satellite Météosat du 28 avril 1986.
      A cette époque, Marcel Leroux ne semblait pas concerné par l'idéologie du réchauffisme dont l'emprise n'avait pas encore vraiment atteint les médias ni les revues scientifiques.
    3. Marcel Leroux - Les conditions dynamiques moyennes du climat de la France , Revue de géographie de Lyon, Année 1990, Volume 65, Numéro 2 p. 63 - 79
      Dans cet article, Leroux applique sa théorie de l'AMP au climat de la France. Dans le résumé de l'article, on trouve sa thèse :
      Le facteur météorologique fondamental des latitudes moyennes est l'Anticyclone Mobile Polaire ; il provient du bassin arctique et arrive sur la France, soit directement en passant à l'est du Groenland, soit le plus fréquemment de l'Amérique du nord en ayant traversé l'océan Atlantique.
    4. Leroux Marcel, . La spécificité climatique des montagnes sahariennes. In: Revue de géographie alpine. 1991, Tome 79 N°1. pp. 23-42.
    5. LEROUX Marcel. La dynamique des situations météorologiques des 21-22 et 26-27 septembre 1992 dans le sud du couloir rhodanien. In: Revue de géographie de Lyon. Vol. 68 n°2-3, 1993. Risques naturels dans le couloir rhodanien : les excès pluviométriques. pp. 139-152.
    6. LEROUX M - The Mobile Polar High: a new concept explaining present mechanisms of meridional air-mass and energy exchanges and global propagation of palaeoclimatic changes, Global and Planetary Change, 7 (1993) 69-93
      Dans cet article, Leroux expose sa théorie de l'anticyclone méridien polaire. En conclusion, il indique que sa théorie explique la météorologie, le climat actuel, les changements climatiques contemporains et les changements climatiques du passé.
    7. LEROUX Marcel. La dynamique de la grande sécheresse sahélienne. In: Revue de géographie de Lyon. Vol. 70 n°3-4, 1995. Sahel, la grande secheresse. pp. 223-232.
    8. LEROUX Marcel. Climat local, climat global. In: Revue de géographie de Lyon. Vol. 72 n°4, 1997. Le climat urbain. pp. 339-345.
      Dans cet article, Leroux note que ce sont les températures minimales, essentiellement nocturnes, qui présentent une hausse sur la période. Selon toute vraisemblance, ces températures minimales marquent surtout l'effet urbain. Les températures maximales indiquent plutôt une tendance au refroidissement. Leroux termine son article en écrivant;
      "Des courbes thermiques isolées de leur contexte météorologiqu n'ont ainsi qu'un valeur statistique, mais pas de valeur climatique et elles sont ainsi inaptes à traduire la réalité mouvante du climat. L'évolution du climat ne peut en outre être exprimée par une seule variable : les autres paramètres doivent être examinés conjointement, notamment les précipitations, la pression et les caractères des perturbations qui permettent de rendre compte de la régulatité et de la violence du temps."
    9. LEROUX M - Le temps est-il devenu fou en France ?, FUSION N°94 JANVIER - FEVRIER 2003
      Dans cet article, Leroux expose une critique de la doctrine officielle de l'anticyclone des Açores. Il expose ensuite sa théorie des Anticyclones Méridiens Polaires et l'applique à l'évolution climatique sur la France.
    10. LEROUX M - "Le changement climatique à la mode", FUSION N°95 - MARS - AVRIL 2003
    11. Marcel Leroux, "Réchauffement global : une imposture", FUSION n°95 - mars-avril 2003.
    12. LEROUX M., "Le réchauffement climatique est un mythe", AGRICULTURE & ENVIRONNEMENT N° 18 - OCTOBRE 2004
    13. Marcel Leroux, "There’s No Global Warming, Because There’s No Global Climate", Fall 2005 21st CENTURY RESEARCH COMMUNICATION
    14. Marcel Leroux : « Global warming : myth or reality ? The erring ways of climatology », Praxis-Springer, 2005, 509 p.,
    15. LEROUX M, "Climat : si on arrêtait de tout mélanger pour travailler sérieusement ?" en février 2007, transmis au quotidien Le Monde, jamais publié par lui ;
    16. Marcel Leroux, "Les échanges méridiens commandent les changements climatiques", Académie des Sciences, Paris. Séminaire de Travail : Evolution du Climat - 5 mars 2007
    17. L'un des articles les plus violents qui ait été écrit contre le "réchauffisme". Déjà en 2004, Leroux mettait en cause le manque de sérieux scientifique de Phil Jones et de son CRU qui annonçaient comme une catastrophe mondiale l'augmentation de 0,6°C de 1860 à nos jours de la température globale, alors que c'est à peine la différence de température qu'on observe à l'échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille.

    Zbigniew Jaworowski

    Note sur Jaworowski : Jaworowski est un adversaire résolu de la thèse "réchauffiste". Pour faire bref, il pense que le soleil commande le climat et qu'il n'a jamais existé aucun climat global. Plus qu'un réchauffement, c'est vers un prochain refroidissement que la Terre se dirige. Jaworowski commence sa carrière en mesurant la concentration en CO2 au Spitzberg en 1957, trente ans avant les carottes de Lorius et Jouzel. C'est vraiment un climatologue. Il a passé quarante ans de sa vie à traquer les traces de divers polluants d'origine industrielle dans l'eau, l'air, la glace et les sols. Il connaît la planète dans ses moindres recoins.

    Selon une référence, Jaworowski a publié des travaux sur des forages de glace polaire de 1990 à 1994. Il a dosé la concentration de CO2, comme Lorius et Jouzel en France. Mais, il a déduit que ces traces n'étaient pas probantes à cause de la pollution apportée par les outils de coupe et de mesure d'une part et par le processus physico-chimique impliqué par la pression et la température dans la glace profonde d'autre part. Son point de vue a été exclu par les glaciologues de la tendance "réchauffiste". La seule véritable raison du rejet de la thèse de Jaworowski est que la thèse contraire sert les intérêts des "réchauffistes" et qu'il suffit pour celà de manipuler des données fausses que personne n'est capable de contester.

    Jaworowski est sous la surveillance des activistes réchauffistes, notamment du site www.desmogblog.com

    1. Dr Zbigniew Jaworowski, "Ice Core Data Show No Carbon Dioxide Increase, 21st CENTURY, Printemps 1997;
      Dans cet article, Jaworowski montre que les données de concentration des carottes de glace polaire ne sont pas fiables. Il étudie plusieurs phénomènes physiques à l'oeuvre dans les couches glaciaires profondes. Il souligne la bizarre disparition des variations supérieures à 400 ppmV de CO2 que l'on trouvait dans les forages mesurés avant 1990. Il met en cause un processus de sélection spécieux des données de concentration. Jaworowski montre que la concentration en CO2 atmosphérique ne suit pas les émissions industrielles et ne précéde pas la température globale, mais les éruptions volcaniques et la température locale.
    2. Dr Zbigniew Jaworowski, "The Ice Age Is Coming", 21st CENTURY, Winter 2003 - 2004, pp. 52-66 ;
      Après un historique des fantaisies "climatistes" depuis l'après-guerre, Jaworowski affirme que le changement climatique reflète des événements planétaires d'origine naturelle. Il attaque les travaux spécieux de Mann sur la température de l'hémisphère Nord en citant Soon et Balunas, et McIntyre et McKitrick. Il montre ensuite que la Nature croît plus favorablement avec un climat chaud qu'avec un refroidissement et donc si le réchauffement climatique se poursuivait, ce serait assurément pour la prospérité de l'espèce humaine. Il attaque ensuite la propagande de la peur lancée depuis des organes de presse comme le New York Times dès 1991. Il met en cause les simulations par modèles qui sont construits à l'envers des observations.
    3. Dr Zbigniew Jaworowski, "SUN WARMS AND COOLS THE EARTH" - 20 SEPTEMBER 2008 - NZCPR Research ;
      Jaworowski reprend l'histoire du mouvement "réchauffiste" qui, pour lui, est animée par une conjuration mondialiste de type élitiste qui tente de réduire par tous les moyens la population mondiale au service d'un groupe d'initiés. Il montre alors que la question du taux de CO2 est traitée de manière évidemment erronée au point de vue scientifique de sorte que les vues du mouvement "réchauffiste" sont toujours vérifiées. Il dénonce notamment la "correction" de l'année 1934 et des années alentours dans les données du GISST de Hansen. Il rétablit le véritable bilan carbone dans lequel l'homme ne rentre que pour 4,7%.
    4. Dr Zbigniew Jaworowski, "CO2: The Greatest Scientific Scandal of Our Time", EIR March 16, 2007, pp.38-53 ;
      Jaworowski condamne le GIEC comme une organisation politique qui a réussi à faire dire aux travaux scientifiques exactement ce qui avait été prévu idéologiquement. Jaworowski révèle au public une véritable prise en main des organisations scientifiques sous l'inspiration d'activistes d'extrême-gauche comme le millionnaire Maurice Strong. Jaworowski dénonce quatre mensonges de base du GIEC sur le rôle du CO2, le rôle de l'homme dans le prétendu réchauffement climatique depuis 1750, dans le caractère nouveau de la période commencée dans les années 1950 et dans l'évolution catastrophique annoncée pour le futur.
    5. Z. JAWOROWSKI, T. V. SEGALSTAD & V. HISDAL, "Atmospheric CO2 and global warming: A critical review", Second revised edition, Meddelelser NR 119, Oslo 1992 ;
      Jaworowski reprend entièrement les données disponibles sur le bilan en CO2 en citant les sources. Il montre que le taux de CO2 mesuré à la station du Mauna Lona ne suit pas du tout la courbe de consommation des énergies fossiles. Jaworowski montre qu'on a sous-estimé systématiquement les taux de CO2 au XIX° siècle.
    6. Dr Zbigniew Jaworowski, The Sun, Not Man, Still Rules Our Climate, 21st Century & Technology, Spring 2009
      Jaworowski écrit ici un article important reprenant l'histoire du réchauffisme qu'il qualifie de complot. Les esprits forts aiment se gausser de l'idée d'un complot en quoi que ce soit. Mais, devant l'accumulation d'erreurs scientifiques grossières, la thèse du complot est seule capable d'organiser le mouvement réchauffiste. Jaworowski souligne plusieurs erreurs importantes du réchauffisme et montre l'objectif malthusianiste du mouvement réchauffiste.

    Henrik Svensmark

    Note sur Svensmark : physicien danois, il a d'abord produit une théorie d'influence des rayons cosmiques sur la formation des nuages. Le rôle de l'activité solaire sur la variabilité du climat était alors une cause indirecte du Soleil. Puis, il a élargi sa théorie en établissant une "cosmoclimatologie". Il ne s'implique que très peu dans le débat sceptique. Mais ses développements théoriques sont tous à rebours de la thèse "réchauffiste" dont les partisans ne se sont pas trompés en le mettant en cause.
    1. Henrik Svensmark and Eigil Friis-Christensen, "Variation of Cosmic Ray Flux and Global Cloud Coverage - a Missing Link in Solar-Climate Relationships", Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics, 59 (11) (1997) 1225-1232.
    2. Henrik Svensmark, "Influence of Cosmic Rays on Earth's Climate", Physical Review Letters - November 30, 1998 - Volume 81, Issue 22, pp. 5027-5030
    3. Henrik Svensmark, "Cosmic rays and Earth's Climate, Space Science Review 93: 155-166, 2000
    4. Nigel Marsh and Henrik Svensmark, "Low Cloud Properties influenced by Cosmic Rays.", Physical Review Letter, December 4, 2000 - Volume 85, Issue 23, pp. 5004-5007.
    5. Svensmark, Henrik, "Cosmoclimatology: a new theory emerges", Astronomy & Geophysics (ISSN: 1366-8781) (DOI: 10.1111/j.1468-4004.2007.48118.x) , vol: 48, issue: 1, pages: 18-24, 2007, Blackwell Publishing
    6. Svensmark, Henrik, "Imprint of Galactic dynamics on Earth's climate", Astronomische Nachrichten (ISSN: 0004-6337) , vol: 327, issue: 9, pages: 866-870, 2006, Wiley-v C H Verlag Gmbh
    7. Marsh, N. ; Svensmark, Henrik ; Christiansen, Freddy ; "ISAC Identification of Relevant Data: Earth’s Climate" in series: ISAC TN-WP203/ESA, 2005

    Roy W. Spencer

    Note sur Spencer : Roy Spencer (Ph. D.) est un climatologue de l'Université d'Alabama, ancien de la Nasa. Il est ennemi déclaré du "réchauffisme". Il anime son propre site Internet avec des billets presque quotidiens et de nombreux articles intéressants. Cependant, il semble accorder une importance centrale au concept de température gobale que d'autres sceptiques remettent en cause.
    1. RW Spencer, ""The Sloppy Science of Global Warming", Energy Tribune, 20 mars 2008 ;
    2. RW Spencer, ""Potential Biases in Feedback Diagnosis from Observational Data: A Simple Model Demonstration", Nov 1, 2008 ;
    3. RW Spencer, "Satellite and Climate Model Evidence Against Substantial Manmade Climate Change ", Dec 29, 2008 ;
      Spencer démontre l'erreur des modèles du GIEC trop sensibles au CO2, et explique cette déviation de la réalité par une confusion à la base entre forçage radiatif et rétroaction, inversant ainsi effet et cause.
    4. RW. Spencer, William D. Braswell, John R. Christy, and Justin Hnilo, "Cloud and Radiation Budget Changes Associated with Tropical Intraseasonal Oscillations", GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS, VOL. 34, L15707, August 9, 2007
      Etude de l'équilibre énergétique de la troposphère tropicale avec l'échauffement dû aux radiations ondes longues et au refroidissement dû aux radiations ondes courtes. L'article analyse l'ensemble des données satellitaires disponibles en citant les principales sources du NOAA de manière à analyser les oscillations intrasaisonnières tropicales. Les modèles du GIEC doivent être révisés puisque ces oscillations représentent un mode de variabilité de la convection du climat.
    5. RW Spencer , "Carbon Dioxide Growth Rate at Mauna Loa", autopublication sur son site ; 22 décembre 2008 ;
      Dans cette courte étude, Spencer relève que l'observatoire de Mauna Loa a été choisi parce qu'il est loin de toute influence industrielle pour mesurer une sorte de "référence" naturelle qui devait montrer ou non une influence anthropique. Or si on pose p1 la pente de la tendance linéaire du CO2 mesuré à Mauna Loa et p2 la pente de celle des émissions de CO2 produites par les combustibles fossiles, on note que p2 ~ p1/2. Plus encore, la pente p2 est quasi nulle sur la période 2000-2010 alors que la pente p1 a presque doublée sur cette même période. L'observatoire de Mauna Loa ne démontre pas du tout que les combustibles fossiles utilisés par la société industrielle influencent le climat.

    David H. Douglass

    Note sur Douglass : David H. Douglass est Professeur depuis 1969 à l'Université de Rochester. Il a surtout travaillé en Physique des milieux condensés. Ces dernières années, il s'est intéressé aux considérations théoriques qui sous-tendent le "réchauffisme" en climatologie. Douglass est l'une des nombreuses victimes du groupe révélé par le CRU Gate. Ce groupe informel est constitué principalement entre Trennberth, Mann et Jones pour verrouiller la climatologie sur la fantaisie du "réchauffisme anthropique". Une page du site de l'Université de Rochester maintient la liste des principales publications de Douglass. Douglass publie des articles avec de bons climatologues complètement étrangers au groupe Mann qui tente par tous les moyens d'empêcher la prise en compte de leur expertise par les autorités scientifiques et politiques.

    DH Douglass est sous surveillance "citoyenne" des activistes du "réchauffisme". Mais sa fiche du flicage est quasiment vide. Il a été sous le feu de la critique des "réchauffistes" du site RealClimate.

    Nicola Scafetta

    Note sur Scafetta : Nicola Scafetta commence à publier peu après la publication du AR4 du GIEC de 2007. Scafetta travaille sur les séries de températures moyennes globales et les compare avec les séries d'irradiance solaire. Pour lui, il est clair que les variations d'irradiance solaire ont été volontairement réduites dans les traitements de données. Les siens permettent de comprendre le rôle du Soleil dans le réchauffement climatique, quand il existe ... Il est cité notamment par Vincent Courtillot. Quelques réfutations laborieuses, comme celle du "réchauffiste" Ben Santer, ratent complètement et lamentablement.
    1. N. Scafetta et B. J. West ; Phenomenological reconstructions of the solar signature in the Northern Hemisphere surface temperature records since 1600 ; JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH, VOL. 112, D24S03, doi:10.1029/2007JD008437, 2007 ;
      Cet article utilise une série ancienne de mesures d'activité solaire pour en déduire une fonction de transfert dans le domaine fréquentiel de l'irradiance solaire pour en déduire le comportement actuel et futur proche. Les conclusions sont accablantes pour la thèse "réchauffiste".
    2. N. Scafetta ; Solar Effect and Climate Change ; BAMS January 2008.
      Scafetta explique que des accidents dans les séries statistiques de température t des simplification scientifiques tendancieuses ont détourné le débat sur le changement climatique. On a alors surestimé le facteur anthropogénique et sous-estimé le facteur solaire. Le premier point démontré par Scafetta est que les modèles informatiques du GIEC ont sous-estimé d'un facteur 4 les variations de température globale au 12° siècle, de manière volontairement erronnée et que ceci conduit à ré-estimer complètement l'état du climat dans l'ère pré-industrielle. La cause de cette sous-estimation selon Scafetta réside dans la sous-estimation de l'irradiance solaire d'un facteur 3.
    3. Scafetta N and West BW ; Is climate sensitive to solar variability? ; Physics Today March 2008 ; pp. 50,51.
      Scafetta et West décrivent les traitements statistiques qu'ils ont fait suivre aux séries d'irradiance solaire. Ces traitements se fondent sur les travaux du français Paul Lévy avant la Seconde Guerre mondiale. En utilisant ces traitements, Scafetta et West ont trouvé que le Soleil pourrait compter pour près de 69% de l'accroissement de la température moyenne de la Terre selon le type de reconstuction de l'irradiance solaire utilisée. Ils en déduisent donc que la période de réduction prochaine de l'irradiance solaire devrait au moins stabiliser la hausse des températures, sinon les voir en diminution.
    4. Scafetta N. : Empirical analysis of the solar contribution to global mean air surface temperature change ; Journal of Atmospheric and Solar Terrestrial Physics - (2009), doi:10.1016/j.jastp.2009.07.007
      Dans cet article, la thèse du réchauffement climatique soutenue par le GIEC dans AR4 de 2007 sur la base de Hansen 2007 qui est un simple modèle théorique erronné, est attaquée sur la reprise des articles d'analyses expérimentales, comme Eddy, 1976 ; Hoyt and Schatten, 1997 ; White et al., 1997 ; van Loon and Labitzke, 2000 ; Douglass and Clader, 2002 ; Kirkby, 2007 ; Scafetta and West, 2005, 2006a, 2006b, 2007, 2008 : Shaviv, 2008 ; Eichler et al., 2009 ; Soon, 2009 ; Svensmark and Friis-Christensen, 2007. De manière très pertinente, Scafetta oppose la modélisation théorique par les bilans énergétiques de Crowley 2000 de la modélisation de Hansen 2007 par les forçages radiatifs en circulation générale.

      D'accord avec Schwartz 2008, Scafetta souligne l'importance de distinguer des caractéristiques court-terme de celles à long terme pour comprendre les variations d'irradiance solaire et ne pas les effacer par des traitements statistiques qui effectivement ne peuvent pas les "voir".
    5. Scafetta N., Empirical evidence for a celestial origin of the climate oscillations and its implications, Pre-print. Publié par Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics Volume 72, Issue 13, August 2010, Pages 951-970.
      Scafetta étudie une corrélation forte entre les oscillations climatiques terrestres et les mouvements astronomiques. Il trouve comme Courtillot ou Watts l'influence essentielle du Soleil sur les périodes à la fois de réchauffement et de refroidissement sur des cycles de 11 et 22 ans. Scafetta pense comme Courtillot que la Terre va à nouveau se refroidir.

    Auteurs divers

  • Freeman Dyson,
    1. "The Question of Global Warming", New York Books Review, Volume 55, Number 10 · June 12, 2008 ;
      Faisant le compte-rendu de deux ouvrages sur le réchauffement global, le physicien Freeman Dyson, l'un des fondateurs de l'électrodynamique quantique, déclare qu'il n'est pas convaincu des arguments du réchauffement climatique, et surtout qu'il tient cette idéologie pour une "religion" de substitution au socialisme. De quoi se faire de bons amis en politique et de vrais ennemis chez les "réchauffistes".
    2. étude 'The civil Heretic', par le journaliste Nicholas Dawidoff, au New York Times, le 29 Mars 2009 ;
      Dans cet article qui fait le parcours de la carrière scientifique et technique de Freeman Dyson, Dyson a expliqué deux choses à Dawidoff : Al Gore est un bonimenteur et James Hansen est le responsable de la surestimation politique du réchauffement climatique. Dawidoff n'en est toujours pas "revenu". Dyson lui a aussi dit que les "réchauffistes" ont fini par croire que les modèles étaient la réalité et ils ont ensuite oublié qu'ils étaient seulement des modèles.
    3. interview, par le "réchauffiste" Michaël Lemonick, journaliste notamment chez Time, le 4 juin 2009 ;
      Dans cet interview qui est publié avec l'enregistrement audio, Dyson explique les limites de sa critique de la folie du "réchauffement climatique". Il n'est pas climatologue, mais il a passé du temps pour étudier les conclusions des climatologues "réchauffistes". Il est formel : leurs conclusions sont fantaisistes. Les arguments de Dyson sont exposés avec une grande clarté. Avec l'absence total de scrupule habituel des "réchauffistes", son interwiever, qui n'a pas le millième de la science de Dyson, conclut : "Ces arguments sont habituellement avancés par les sceptiques du climat et rejetés habituellement par ceux qui travaillent dans le domaine".
  • Dr. Gerhard Löbert, "A Compilation of the Arguments that Irrefutably Prove that Climate Change is driven by Solar Activity and not by CO2 Emission" ; March 6, 2008.
    Dans ce bref article, Löbert décrit six faits marquants de la climatologie observationnelle qui permettent de contester la théorie anthropique du "réchauffisme".Puis, dans une seconde partie, il indique une théorie explicative de la relation entre les fluctuations de la vitesse de rotation de la Terre et de sa température annuelle globale. Il évoque les ondes de supergravité découvertes en Relativité Générale sur les corps supermassifs.

    Commentaire : Le document semble être un document indirect. Il se trouve sur le site Icecap.us, International Climate and Environmental Change Assessment Project, qui rassemble des scientifiques et des journalistes critiques de la thèse anthropique sans être des "négationistes".
  • E. Grenier, "Réchauffement climatique, Mythes et réalités ", FUSION N° 95 mars-avril 2005
    Grenier, rédacteur en chef de la revue FUSION dont le dernier numéro date d'octobre 2006 (voir ses archives passionnnantes ici), décrivaitt dans un éditorial les aventures que peut rencontrer un éditeur qui a le font de braver l'interdiction de publication qui pèse sur un auteur comme Marcel Leroux. Grenier aura été l'un des très rares éditeurs qui ont permis à Leroux de publier ses idées en français. Mais il est toujours "absolument déconseillé" de prétendre que la presse française ne serait pas libre.
  • P. Reiter, "THE IPCC AND TECHNICAL INFORMATION. EXAMPLE: IMPACTS ON HUMAN HEALTH", UK Parliament, Memorandum 31 March 2005, (voir page)
    Membre de l'Institut Pasteur, contributeur au Troisième rapport du Giec, Paul Reiter démissionne du GIEC parce qu'il n'admettait pas que son point de vue soit contre-balancé par des points de vue de gens ignares. Il ne décolère pas que la prétendue lutte contre le réchauffement climatique ôte tout moyen à la lutte contre le développement des épidémies, danger autrement plus inquiétant.
  • Gerlich et Tscheuschner, Falsification Of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics, arXiv:0707.1161v4 [physics.ao-ph] 4 Mar 2009

    Dans cet article, les auteurs font le point sur le débat pour savoir s'il existe ou non un effet de serre. Puis, ils tentent une approche originale de la question et parviennent à la conclusion qu'il n'existe pas d'effet atmosphérique qui se rapprocherait de l'effet de serre. Dans la même étude, ils concluent au fait que aucune température globale moyenne ne permet de rendre compte d'un changement climatique. Ils concluent sur seize points essentiels qui établissent que le réchauffisme est fondé sur un ensemble de fraudes et de falsifications de données opportunistes.

    Les critiques sont venus d'organisations militantes écologistes, qui possèdent des affiliés dans les divers milieux scientifiques enrôlés dans la falsification réchauffiste. Il s'agit presque uniquement de JOSHUA B. HALPERN dans International Journal of Modern Physics B Vol. 24, No. 10 (2010) 1309–1332, dont la critique de base est "First, the authors lack quantitative familiarity with the field they are criticizing;". On peut citer aussi Arthur P. Smith, Proof of the Atmospheric Greenhouse Effect; (Submitted on 29 Feb 2008) ; Cite as: arXiv:0802.4324v1 [physics.ao-ph]

  • N. S. Keenlyside, M. Latif, J. Jungclaus, L. Kornblueh & E. Roeckner, "Advancing decadal-scale climate prediction in the North Atlantic sector", NATURE, Vol 453, 1 May 2008
  • O. Sorokhtine, Réchauffement climatique: qui croire ? ; RIA Novosti, 28/01/2008 ;
    Le professeur Oleg Sorokhtine est chercheur à l'Institut d'océanologie de l'Académie russe des sciences, docteur en sciences physiques et mathématiques, membre de l'Académie russe des sciences naturelles. Il s'exprime de manière mesurée, déclarant ne pas admettre les arguments des "réchauffistes" et craindre un refroidissement futur, que les hommes n'auront pas préparé.
  • Khabiboullo Abdoussamatov, dans RIA Novosti, Climat: un chercheur russe rejette la thèse du réchauffement global, 22 janvier 2008 ;
    Khabiboullo Abdoussamatov, chef du laboratoire des études spatiales de l'Observatoire astronomique principal de l'Académie russe des sciences.
  • Kondratyev, K.Y., "Uncertainties of Global Climate Change Observations and Simulation Modelling.", Schulphysic, 13. April 2004 ;
    Kondratiev, académicien russe, approuve la décision de l'administration Bush de ne pas signer le protocole de Kyoto pour deux raisons : le protocole n'a aucun support scientifique convaincant et sa mise en oeuvre serait ruineuse pour l'économie moderne fondée sur les énergies fossiles sans que l'environnement n'en reçoive les bénéfices annoncés.
  • Arkady Tishkov, Directeur de l'institut de Géographie de l'Académie des Sciences de Russie.
    En avril 2010, au milieu des déclarations "réchauffistes", alors que l'hiver boréal 2010 a été extrêmement rigoureux, et l'été austral 2010 a vu des chutes de neige dans le Nord de l'Australie, le bon sens de Tishkov le pousse a déclarer ;
    "D'un point de vue scientifique, les discours sur l'augmentation des températures moyennes sur la terre de plusieurs degrés sont absurdes ... Les gaz à effet de serre tellement discutés aujourd'hui ne jouent aucun rôle en fait."
    Les Russes sont exaspérés par les manipulations grossières auxquelles se sont livrés les "réchauffistes" anglo-américains sur les données de température russes.
  • Serge Galam,
    1. "Pas de certitude scientifique sur le climat", Le Monde, 6 février 2007 ;
      Serge Galam est physicien au CNRS et épistémologue. Il a été sous le feu des invectives des "réchauffistes" avec cet article pourtant très peu critique mais qui se limitait à montrer les limites de la certitude n matière scientifique. Intervenant dans des émissions de radio ou de télévision pour commenter l'affaire du Climate Gate, il est régulièrement insulté par les intervenants "réchauffistes".
    2. "Les scientifiques ont perdu le nord", 214 pages, Plon (18 septembre 2008), ISBN-10: 2259207340
      Dans l'affaire du "réchauffement climatique", Galam est inquiet de deux phénomènes. D'abord, trop de scientifiques sont passés d'une éthique de la démonstration scientifique à la trahison de la conviction idéologique. Puis, l'impossibilité de contrôler le climat ayant été démontrée scientifiquement depuis des années, Galam est inquiet de l'incapacité de la communauté scientifique de rechercher des solutions réalistes et modernes d'adaptation des sociétés humaines au changement climatique.
  • Ferenc M. Miskolczi, "Greenhouse effect in semi-transparent planetary", IDOJARAS Quarterly Journal of the Hungarian Meteorological Service, Vol. 111, No. 1, January-March 2007, pp. 1-40 ;
    Miskolcsi est un astrophysicien qui travaille sur l'analyse mathématique des atmosphères planétaires. Ecartant le formalisme d'Eddington, il utilise son propre formalisme d'une atmosphère semi-transparente. En appliquant son travail théorique à la Terre, il trouve une température de surface plus basse que celle du forçage de l'effet de serre des modèles numériques utilisés par le GIEC. Cela ne le transforme sûrement pas en "sceptique" du "réchauffisme", mais Miskolczi démontre qu'il est possible de travailler autrement que les intervenants du GIEC. On note un commentaire de l'article de Miskolczy dans David Stockwell, Modeling Global Warming (Miskolczi Part 1) , Niceh Modeling, 1st may 2009.
  • Petre Chylek, "Open Letter to the Climate Research Community", The Global Warming Policy Foundation, 5 décembre 2009 ;
    Chylek est un climatologue américain, formé en Physique Mathématique à Prague dont il est originaire. Il travaille sur la détection à distance, notamment pour l'effet des aérosols sur les variations climatiques. Dans cette Lettre ouverte, Chylek est absolument opposé à l'idéologie du réchauffisme anthropique. Très critique de la "communauté" des climatologistes qu'il accuse de ne pas être à la recherche de la vérité scientifique. Saluant la constitution de bases de données de mesures, il critique férocement l'iée que la température globale sera à des valeurs jamais atteintes et que le réchauffement serait lié à la concentration en CO2. Il vient de signer un appel de 140 scientifiques auprès du Secrétaire Général des Nations Unis pour que soit entendu un appel à la raison.
  • Patrick Frank, "A Climate of Belief", SKEPTIC, Vol. 14, n. 1 - 2008 ;
    L'article a été révisé par les Professeurs Wunsch (MIT), Switzer (Stanford), McKitrik (Guelph), Essex (Western Ontario), Doniach (Stanford), Browning (Colorado State Uni), Adams (Redwood City). Franck démontre que les modèles ne sont pas assez précis pour assurer simplement que la température "globale" puisse monter ou descendre. On note que Carl Wunsh donne ici sa caution à la thèse opposée au "réchauffisme global anthropique". Géophysicien de l'océan Atlantique, Wunsh est l'un des climatologues les plus mal à l'aise dans le débat, un peu comme Pielke Sr..
  • Claude Allègre,
    1. "Ma vérité sur la planète", 273 pages, Pocket (12 mars 2008), Collection : Pocket, ISBN-10: 2266180789 ;
      Allègre (Académie des Sciences) est un géophysicien, ancien Ministre de la Recherche. Il a assuré presque seul en France une protestation sceptique face à l'activisme dictatorial du "réchauffisme anthropique" qu'il dénonce dans ce livre. Allègre affirme qu'il existe des solutions d'adaptation de l'humanité depus l'ingéniérie écologique jusqu'au développement d'une énergie nucléaire de quatrième génération.
    2. "L'Imposture Climatique", 293 pages ; Plon (16 février 2010) ; ISBN-10: 2259209858 ; ISBN-13: 978-2259209854 ;
      Allègre réitère avec une violence accrue contre la manipulation politicienne d'un groupuscule de scientifiques dévoyés, réussissant à s'imposer jusqu'à l'ONU. Ecrit sous forme d'un libre entretien avec le journaliste de Montvalon, le livre contiendrait des erreurs secondaires, liées à la forme de la discussion, ce que le quatuor de journalistes stipendiés au "réchauffisme" en France n'a pas manqué d'exploiter, ne s'attirant qu'un supplément de mépris de Allègre. Une faction de 600 "scientifiques" s'est plaint de Allègre (et accessoirement de Courtillot) dans une Lettre lamentable adressée ... à la ministresse de l'éducation. Pourquoi pas au Pape ?
    3. Allègre: il faut supprimer le Giec, Mardi 23 février 2010 sur le site Slater.
      Bref article dans lequel la concision reforce la virulence du propos. S'il n'y a qu'un seul document à lire sur le débat du "réchauffisme", c'est probablement celui-là.
  • Christian Gérondeau, "CO2 : un mythe planétaire", 266 pages, Les éditions du Toucan (25 février 2009), ISBN-10: 2810002460
    Le livre est préfacé par l'ancien président Giscard d'Estaing qui a déjà préfacé un autre livre écrit contre la politique d'implantation à outrance d'éoliennes. Gérondeau est Polytechnicien, ancien haut fonctionnaire, maintenant expert indépendant. Gérondeau met ici en cause l'activisme de Greenpeace et du WWF et l'incapacité des scientifiques à échapper à leur contrôle politique. Au "Grenelle de l'Environnement" ou au COP15 de Copenhague.
  • André Legendre, "L'homme est-il responsable du réchauffement climatique ?", 307 pages, EDP Sciences (17 avril 2009), Collection : Bulles de sciences, ISBN-10: 275980383X
    Ingénieur, Legendre part du constat d'unanimité sur la cause anthropique selon le "réchauffisme", puis vérifie peu à peu les doutes de tous ordres sur cette unanimité.
  • Vaclav Klaus, "Planete Bleue en Péril Vert, Qu'Est-Ce Qui Est en Danger Aujourd'Hui: le Climat Ou la Liberte ?", 117 pages, Université Aix (28 mai 2009), Collection : DROIT-ECO, ISBN-10: 2357970006
    Président de la République tchèque, Vaclav Klaus est un économiste parfaitement rompu au milieu international et à la lutte avec les idéologies gauchistes à l'oeuvre dans le mouvement "réchauffiste anthropique". Depuis lontemps, Klaus a détecté la menace pour la liberté que constitue le mouvement idéologique qui avance masqué sous la cause du "réchauffisme anthropique".
  • Benoît Rittaud, "Le Mythe climatique", 203 pages ; Seuil (25 février 2010) Collection : Science ouverte ; ISBN-10: 2021011321; ISBN-13: 978-2021011326 ;
    Rittaud est un universitaire, mathématicien. Il centre sa critique du "réchauffisme anthropique" sur ce qu'il appelle le "carbocentrisme". Tout est froidement décrypté et dénoncé. Rittaud est aussi animateur de son blog Le Mythe Climatique" et du site SKYFALL.
  • P.R. Goode, E. Pallé, Shortwave forcing of the Earth’s climate: Modern and historical variations in the Sun’s irradiance and the Earth’s reflectance", Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics 69 (2007) pp. 1554-1568 ;
    Cet article démontre que contrairement aux assertions scientifiques du GIEC 2007, les variations de l'éclairement solaire sont largement suffisantes pour produire des variations de climats contemporaines
  • Carter Bob,
    1. "The science of deceit", Quadrant Online, Oct. 26, 2009 ;
      Sont décrites dans cet article, un mois avant l'éclatement de l'affaire du Climate Gate, les réactions du CRU de East Anglia dès 1996 sur l'indisponibilité des données originales traitées (réponse de Tom Wigley à une demande du paléontologue Bob Carter qui faisait une révision "peer-review" d'un de ses articles douteux). On décrit ensuite toutes les "inventions" des "réchauffistes" pour publier des données forgées, invérifiables et leurs incontestables interprétations fausses.
    2. "A dangerous climate", The Telegraph, 06 April 2007 ;
      Carter trouve le 4ème Rapport du Giec très alarmant. Mais pas à cause du réchauffement climatique ! A cause de sa qualité scientifique proche du zéro absolu. Et il détaille trois points essentiels complètement erronnés dans ce rapport. Carter note que le GIEC cache le fait que la température mondiale relevée par satellite a baissé depuis 1978, que la gamme de températures "probables" du réchauffement du "prochain siècle " a baissé de 1,5°C dans le 3ème Rapport à 1,1°C dans le 4ème Rapport et que le Giec continue d'utiliser les probabilités de manière complètement fantaisiste pour soutenir son alarmisme.
  • Université du Texas, " West Antarctic Ice Sheet May Not Be Losing Ice As Fast As Once Thought", News, October 19, 2009 ;
    L'article n'est pas signé, pour éviter le feu des nervis du "réchauffisme", mais le responsable scientifique du projet, Ian Dalziel, indique que l'Antartique Ouest perd sa glace légèrement moins vite que certaines estimations récentes.
  • Loehle, C.; "A 2000-year global temperature reconstruction based on non-treering proxies". Energy & Environment 2007 18(7-8): 1049-1058.
    L'un des fondements du "réchauffisme" est la courbe de reconstruction de la température globale de Mann de 1998, que cet auteur reprend inlassablement en prétendant qu'il l'améliore à chaque fois. Loehle révoquant en doute l'utilisation du "proxie" constitué par les anneaux des arbres par Mann à la suite de McIntyre et McKitrik, montre que les autres proxies produisent la preuve que l'optimum médiéval était plus chaud que l'époque contemporaine.
  • Whitehouse D.,
    1. "Has global warming stopped?",originally published on newstatesman.com at 17:47 on 19 December 2007.
      David Whitehouse est un astrophysicien, PhD, spécialiste du Soleil. C'est un sceptique modéré en ce sens que le débat politique semble ne pas le passionner. Mais pour ce qui est du "réchauffisme", il est clair. C'est fini.
    2. "Soot's Dominant Role in the Himalayas", .
      .
  • Lieberman B., "The Waxman-Markey Global Warming Bill, Is the Economic Pain Justified By the Environmental Gain?", The Heartland Institute, 06 november 2009.
    .
  • Auteurs critiques mais admettant le "réchauffement gobal anthropique"

  • Roger A. Pielke Sr

    Note sur Pielke Sr : Pielke Sr n'est pas un critique radical de la thèse "réchauffiste". Certains contesteront donc sa présence dans cette bibliographie. Notamment, Pielke Sr admet un réchauffement global et une signature anthropique dans l'évolution de la température globale. Mais il introduit des nuances qui vont au-delà de la simple incertitude nécessaire à l'activité scientifique. Il est depuis interdit de publication dans les revues universitaires réchauffistes et les "réchauffistes" refusent de discuter ses observations pourtant bien bénignes.
    1. Pielke Sr, Roger A., Heat Storage within the Earth System", 2003 ;
      Une équation volumique d'équilibre thermique est envisagée. Pielke Sr tente d'établir que la connaissance de ce bilan thermique est la seule solution pour parvenir à une compréhension du climat. Par exemple, cette écriture permet de tenir compte qu'une région peut se refroidir quand une autre se réchauffe.
    2. Pielke Sr., R.A., 2008: A broader view of the role of humans in the climate system. Physics Today, 61, Vol. 11, 54-55 ;
      La température globale annuelle du GIEC ne peut pas porter de manière correcte la signature anthropique. Il faut travailler en termes de bilans énergétiques.
    3. Pielke Sr., Roger A., 2005: Public Comment on CCSP Report Temperature Trends in the Lower Atmosphere: Steps for Understanding and Reconciling Differences ;
      Pielke Sr raconte le traitement d'une de ses requêtes dans un groupe de travail du GIEC qui l'a conduit à donner sa démission. Pielke Sr publie dans cet article 40 pages de copies d'emails échangés sur le sujet avec son groupe de travail. On voit que les hackers du CRU avaient depuis longtemps un exemple qui peut faire penser que les "hackers" pourraient bien être des climatologues exclus ou en cours d'exclusion par le groupe de travail du GIEC auquel ils appartiennent. La dernière page de l'article de Pielke Sr contient sa déclaration de démission dans laquelle il laisse entendre, alors qu'il a protesté de son "orthodoxie", "ON" l'accuse d'être "fractionniste", entendez : climato-sceptique ... Très suggestif.
    4. Pielke Sr., R.A., C. Davey, D. Niyogi, S. Fall, J. Steinweg-Woods, K. Hubbard, X. Lin, M. Cai, Y.-K. Lim, H. Li, J. Nielsen-Gammon, K. Gallo, R. Hale, R. Mahmood, S. Foster, R.T. McNider, and P. Blanken, 2007 "Unresolved issues with the assessment of multi-decadal global land surface temperature trends". J. Geophys. Res., 112, D24S08
      Pielke Sr rappelle une intéressante définition de la température moyenne de surface globale :
      dH/dt = f' - T'/lambda
      dans laquelle T' est la variation de température de surface produite par une variation dH de chaleur contenue dans le système air-océan sous un forçage radiatif f'.
    5. Pielke Sr., R.A. et al., "The influence of land-use change and landscape dynamics on the climate system: relevance to climate-change policy beyond the radiative effect of greenhouse gases" ; Phil. Trans. R. Soc. Lond. A (2002) 360, 1705-1719
    6. Pielke Sr., R.A., "Erroneous Presentation of My Views on Climate In the Media", Roger Pielke Sr. Research Group News, July 25, 2006 ;
      Pielke Sr fait une mise au point pour préciser sa position sur le réchauffisme global anthropique. Contrairement à ce que l'on dit de lui, il affirme que l'homme participe au réchauffement climatique et qu'il faut développer des énergies alternatives de ce point de vue.
    7. Pielke Sr., R.A., "Scientific Errors With the IPCC Statement for Policymakers ; SCITIZEN, 9 Mars 2007 (suivi d'un débat avec des internautes) ;
      Pielke Sr relève des erreurs dans le Résumé pour les décideurs du Rapport du GIEC de 2007. Il critique notamment le traitement par le GIEC de l''écart entre les données mesurées et les données produites par les modèles numériques pour évaluer les tendances au réchauffement dans la température globale.
  • Bjørn Lomborg

    Note sur Lomborg : Lomborg est un économiste, initialement théoricien des jeux. Il a été dirigeant de Greenpeace. En 2001, il semble rompre avec le système écologiste avec son best-seller "Skeptical Ecologist" dans lequel il revendique le droit de réfléchir en réaction au devoir de s'engager. Il a donc droit à toute notre sympathie. Il n'est pas très engagé sur la question de la climatologie, mais plutôt sur celle de la politique économique mondiale sous-tendue par le mouvement "réchauffiste". Est-il un opposant au "réchauffisme global anthropique" ? Sûrement pas plus que Pielke Sr.
    1. Bjorn Lomborg, bibliographie dans Project Syndicate qui publie une trentaine d'articles qu'il a signé depuis 2007.
    2. Bjørn Lomborg, L'écologiste sceptique, Allègre Claude (Préface), 742 pages, Le Cherche Midi (4 mars 2004), Collection : Documents, ISBN-10: 2749101840 ;
      Lomborg dans ce livre réagit au catstrophisme de la sphère écologiste. Il ne prend pas vraiment position relativement au "réchauffisme global anthropique". Mais sa position est parfaitement positive et en accord avec celle de Claude Allègre. En bref, la planète irait plutôt mieux que certains ne voudraient qu'on le croit, et si des choses vont mal, le génie humain est capable de les résoudre, avec du courage et ... des investissements en R&D.
    3. Bjørn Lomborg, Cool It: The Skeptical Environmentalist's Guide to Global Warming, 272 pages, Knopf; 1 edition (September 4, 2007), ISBN-10: 0307266923 ;
      Dans ce livre, Lomborg réagit contre le pessimisme. Il affirme croire au réchauffement global. Mais, contrairement à ce que ses adversaires "réchauffistes" ont insinué dans le public, il ne fait pas partie des sceptiques du "réchauffisme". A l'opposé des "réchauffistes", il montre que la planète se porte mieux chaude que froide. Et que les problèmes prétendus catastrophiques provoqué par le réchauffement global sont, ou bien des avantages économiques ou bien des inconvénients qu'on peut surmonter avec de l'énergie. Lomborg souligne le caractère anti-démocratique du débat escamoté par les "réchauffistes".
  • von Storch

    Note sur von STORCH : von Storch est un enfant de "mai 68". Mettez le en présence d'un sceptique, il explose comme un vieux "réchauffiste" blanchi sur le harnois. Mais laissez le cinq minutes dans un aéropage de "réchauffistes" et il ne résistera pas au plaisir de les critiquer. Comme climatologie, c'est un peu court. De fait, le personnage est peu fréquentable et ses écrits laissent songeurs. Après tout, c'est le propre de la "bonne" littérature ?

    von Storch est connu pour avoir démissionné après quatre jours de son poste de rédacteur en chef d'une revue scientifique "réchauffiste" et pour avoir publié une étude montrant que la courbe en crosse de hockey de Mann surestimait les hausses récentes de températures "multiproxies". Il ne s'est pas fait là que des ennemis chez les "sceptiques", mais n'a pas vraiment gagné d'amis chez les "réchauffistes".

    Sur sa page personnelle, von Storch semble maintenant soucieux de se placer dans une troisième voie médiane au-dessus de la mêlée des idéologues qu'il appelle "alarmistes" quand nous les disons "réchauffistes" et de leurs adversaires "sceptiques".
    1. von Storch, How unusual is the recent series of warm years?, GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS, VOL. 35, L24706, 30 december 2008.
      La première référence est : Arrhenius, S. (1896), On the influence of carbonic acid in the air upon the temperature on the ground, Philos. Mag., 41, 237–276. von Storch part de Arrhenius pour tester une idée intuitive ... :
      The increasing anthropogenic greenhouse forcing would, according to simple physical reasoning [Arrhenius, 1896], cause a clustering of record warm years at the end of the observed record,...
    2. von Storch, Relationship between global mean sea-level and global mean temperature in a climate simulation of the past millennium, Ocean Dyn. doi 10.1007/s10236-008-0142-9, 2008
  • Adresses Internet d'Institutions sceptiques du "réchauffement climatique"

    • Institut de Physique du Globe de Paris, dirigé par l'Académicien Vincent Courtillot
      L'IPGP, actuellement dirigé par Vincent Courtillot, successeur à ce poste de Claude Allègre, devrait être tenu pour un pôle incontournable des études de climatologie. Les "réchauffistes" semblent consommer de nombreuses ressources d'une part pour ignorer les travaux de cet Institut et d'autre part pour calomnier ses membres, à commencer par son Directeur. Cet Institut se tient d'ailleurs loin de toute polémique, laissant son Directeur affronter avec un talent rare les débats publics depuis le courant de l'année 2008. Les travaux en cours de 2010 concernant le réchauffement climatique ont porté sur la principale critique que Vincent Courtillot subissait. Les "réchauffistes" prétendaient que la variabilité de l'irradiance solaire qu'il mettait en avant au détriment de la thèse des gaz à effet de serre anthropiques était trop faible pour expliquer les hausses de température du passé récent. L'IPGP et d'autres instituts dans le monde ont mis en évidence une machine naturelle d'amplification magnétodynamique entre le sol et les nuages.
    • Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement,
      site d'un laboratoire de l'Université Jean Moulin Lyon 3, CNRS UMR 5600 "Environnement - Villes - Sociétés" qui maintient des archives du Professeur Marcel Leroux, décédé en Aout 2008. Ce Laboratoire ne semble pas impliqué autrement dans le débat sur la thèse "réchauffiste".
    • The Global Warming Policy Foundation,
      Fondation britannique récente, animée notamment par Lord Lawson, ancien Chancelier. Présente la caractéristique inhabituelle de rassembler trois personnalités françaises. Publie de très nombreux articles critiques du "réchauffisme". Il influe très favorablement le milieu politique britannique pour contrealancer l'intense lobbying des activistes écologistes et réchauffistes.
    • Global Warming Facts
      site sur le climat du Heartland Institute . Très nombreuses informations et analyses politiques, orientées selon la doctrine libérale. Centré sur le monde anglo-saxon.
    • The New Zealand Climate Science Coalition,
      un groupe de Néo-Zélandais qui, exaspérés d'être pris pour des végétaux par les "peer-rewieved" experts du GIEC, ont décidé de réaliser un contrôle démocratique sur les scientifiques politisés de leur pays ;
    • Lavoisier Group Inc,
      Site d'une association d'hommes d'affaires, d'ingénieurs et de climatologues australiens assemblés pour résister au déferlement hégémoniste du "réchauffisme anthropique". La position de Lavoisier Group est qu'il existe bien entendu des phases de réchauffement et que l'homme pourrait avoir des influences sur le climat. Mais de là à prétendre qu'un "réchaufement" constant et ceci parce que l'homme pollue constamment depuis le début de la révolution industrielle, voilà ce qui, chez ces Australiens "ne passe pas". Le Lavoisier Group Inc a été formé en 2000. Son président est l'homme d'affaires Hugh Morgan AC, entouré de neuf autres personalités. Il a été fondé par un ancien ministre des finances australien, Peter Walsh. On note que Chris Lamb, un autre membre du GIEC, contraint à la démission devant la minpulation de ses travaux par ses propres collèges du GIEc, publie sur leur site sa Lettre Ouverte de 2005 : "An Open Letter to the Community".
    • Science and Public Policy Institute (SPPI),
      Site de cet Institut de recherche et d'éducation, indépendant, dévolu au débat sur la climatologie. Animé par des spécialistes de science politique comme Ferguson ou Lord Mockton, par des scientifiques du climat comme l'australien Bob Carter, les américains David Legates Joe D'Aleo, Willie Soon. Publie un état de la concentration mensuelle de CO2 atmosphérique. Vient de publier (le 23 janvier 2010) une étude remarquable de D'Aleo et Watts, Surface Temperature Records: Policy Driven Deception?. SPPI analyse de manière extensive l'affaire du Climate Gate dans lequel des courriels, des documents et des programmes produits par Climate Research Unit de l'Université de East Anglia jettent une suspicion définitive sur la thèse "réchauffiste".
    • Civil Society Coalition on Climate Change,
      Site d'une association de 59 organisations provenant de 40 pays. Vise à éduquer le public d'une manière impartiale dans les domaines du changement climatique. Ses membres sont indépendants des Etats et des entreprises industrielles. Aucune organisation française n'en est membre. Semble avoir été fondé à la fin de l'année 2007. A notamment publié un rapport sur les questions de santé publique provoquées par le changement climatique en 2007 Civil Society Report on Climate Change, dans lequel se trouve un article de Paul Reiter.
    • The Climate Sceptics Party,
      Parti politique australien, son site publie une sélection des nouvelles parutions dans le monde anglo-saxon concernant le scepticisme climatique. Au point de vue politique, son Président Leon Ashby, le définit comme un besoin de vérité, de bon sens, sur les questions climatiques. La catastrophe annoncée des gaz à effet de serre sur le réchauffement de la planète leur paraît inadéquatement annoncée.
    • ICECAP,
      Icecap est un projet américain qui fédère des climatologues sceptiques de la thèse du "réchauffisme anthropique" pour leur permettre d'informer le reste des scientifiques, des journalistes, des enseignants et des politiciens de la réalité de la climatologie. Il est animé par 39 experts et 60 membres, tous climatologues ou météorologues de langue anglaise. Plusieurs d'entre eux font aussi partie d'autres projets ou Instituts actifs. Leur liste des questions-réponses est très bien faite.
    • Popular Tech,
      Popular Tech est un blog tenu par trois scientifiques qui maintient de très nombreux articles sceptiques sur la forgerie du climat. Trouvé le 7 janvier 2011, ce blog est particulièrement bien fait. Il soutient la thèse d'un refroidissement global, tout en dénonçant les errements du réchauffement global. Popular Tech donne aussi des informations très critiques à l'encontre du blog réchauffiste "RealClimate". Nous n'avons pas encore vérifiées ces informations.

    Adresses de sites scientifiques et de blogs sceptiques en anglais (28)

    1. CO2 atmosphérique,
      Site de spécialistes, animé par plusieurs climatologues comme Segalstad, Jaworowski, ce site présente quelques arguments simples, mais surtout une collection d'une soixantaine d'articles scientifiques en climatologie sur la question du lien entre CO2 et température globale et qui, pour dire le moins, sont extrêmement critiques sur l'idéologie du "réchauffisme global anthropique". Pour eux, il ne s'agit pas d'une extrapolation hardie. Le "réchauffisme" est tout simplement une erreur.
    2. Roger Pielke Sr,
      Roger Pielke Sr est un climatologue universitaire américain. Il a beaucoup travaillé en climatologie et particulièrement pour le GIEC. Mais il refuse des théories implicites erronnées insinuées partout dans les travaux du GIEC. Il a été poussé à la démission comme plusieurs scientifiques qui ne voulaient pas adhérer à la "ligne du GIEC", ce fameux "peer-reveiwed consensus" qui ressemble tant à la vieille "ligne du Parti".
    3. Roger Pielke Jr.'s Blog,
      Roger Pielke Jr. est un universitaire américain, spécialiste de sciences politiques et fils du précédent. C'est un démocrate pragmatiste, et il est très critique à l'encontre des politiques publiques envisagées selon la doctrine du "réchauffement global anthropique".
    4. Climate Audit,
      Steve McIntyre est un ingénieur canadien spécialiste de l'énergie hydraulique et des mines. Il a été le premier à faire connaître que la courbe de Mann de 1998 était un faux. C'était en 2003. Depuis, il est toujours en première ligne à ferrailler avec tout ce qui compte dans le "réchauffisme". Particulièrement, les emails révélés par le Climate Gate montrent les manoeuvres utilisées par les "réchauffistes" du CRU et ceux du milieu de Mann ont permis d'étouffer et de limiter la critique de McIntyre et de McKittrick, avec des netentes et des menaces auprès des éditeurs des revues scientifiques et des "rewievers".
    5. Climate Depot,
      britannique complètement enragé par la révélation du Climate Gate après la double épreuve en Grande-Bretagne des procès autour de The Great Swindle diffusé sur Channel 4, puis du visionnage obligatoire du film de propagande "réchauffiste de Al Gore ;
    6. Site de Roy Spencer, ancien de la Nasa, climatologue hors pair.
      Il condamne le "réchauffisme" et montre la complexité de la thermodynamique du climat. Sur son site, il indique quatre de ses articles, dont l'un daté de 2007, pourrait évoquer en combinaison avec la théorie de l'AMP de Leroux une voie d'explication des mécanismes climatiques.
    7. Site de Bob Carter, paléozoologiste autralien ,
      Ce site contient des liens vers 161 articles, 25 vidéos d'émissions de télévision et 15 enregistrements de radio exposant les critiques et suggestions de Bob Carter sur l'affaire de la gigantesque forgerie du "réchauffement global constant anthropique". Carter commence sa critique dès 2002. On note que Carter est co-auteur en 2007 avec Richard Lindzen d'une magistrale critique scientifique (Lire "The Stern Review: A Dual Critique") du "réchauffiste" britannique Stern qui avait alors publié une copie suractivée de l'alarmisme du Quatrième Rapport du GIEC.
    8. David Archibald,
      est un scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son impact sur les changements climatiques. Il estime en particulier que l'évolution actuelle de l'activité solaire va se traduire par une refroidissement planétaire, déjà entamé depuis quelques années. Le site contient de neuf articles scientifiques de Archibald et un livre de lui. Archibald est l'un des animateurs du groupe sceptique Lavoisier Group Inc.
    9. World Climate Report
      est un blog datant de 2004, animé par quatre climatologues sceptiques. Il maintient treize catégories sur les différents aspects de la climatologie. C'est un véritable site scientifique. Son équipe est composée des personalités suivantes:
      • Chief Editor: Patrick J. Michaels
        climatologue de l'Université de Virginie, il a été membre des réviseurs du GIEC. D'abord "réchauffiste" modéré, il a radicalisé son scepticisme notamment en constatant les manipulations provoquées par un groupe lié au GIEC. Depuis, il est persécuté pour de prétendus conflits d'intérêts avec des industriels.
      • Contributing Editor: Robert C. Balling, Jr.
        climatologue de l'Université de l'Oklahoma, c'est un adversaire du réchauffisme comme celui politique de Al Gore. Il insiste sur le rôle de la vapeur d'eau dans le réchauffement passé.
      • Contributing Editor: Robert E. Davis
        Climatologue de l'Université de Vrginie, il a notamment produit une réflexion à très forte portée selon laquelle :il y a peu à attendre d'études qui concernent des phénomèmes qui varient très peu à l'échelle d'une carrière de scientifique". Il parlait là en 2005 de la climatologie "réchauffiste".
      • Administrator: Paul C. Knappenberger
        climatologue issu de l'université de Virginie. Il anime une société de consutants, scientifiques et juridiques;, sur les questions de climat : New Hope Environmental Services, associée au blog World Climate Report.
    10. ScienceBits
      est le site personnel d'un jeune physicien israelien de toute première force, Nir J. Shaviv. Il tient une section de son site, Weather Physics sur ses travaux scientifiques liés au climat. Il a notamment découvert un mécanisme d'amplification de la faible variabilité de l'irradiance solaire qui avait conduit le GIEC et ses affidés à écarter cette cause de commande du climat au profit des gaz à effet de serre anthropique.
    11. Site personnel de Jennyfer Marohasy.
      Mme Marohasy est une environnementaliste australienne résolument sceptique. Elle veut réintroduire de la science et de la méthode scientifique là où s'est introduit un moralisme croisé. En 2002, elle dénonce la manipulation d'une campagne publique de l'organisation WWF for Nature. Depuis 2008, elle dénonce les forgeries en matière de température globale et de sa prétendue anomalie.
    12. Site personnel de Philipp Stott Clamour Of The Times ;
      Le Pr Stott est professeur émérite de biogéographie de l'Université de Londres. Sa position est vraiment sceptique, même s'il ne se prononce pas sur la réalité ou l'erreur physique du "réchauffement global constant".
    13. Climate Realists,
      est un blog animé par l'astrophysicien Piers Corbyn, météorologue inventeur de la méthode de prévision du temps par le Soleil. Il est accompagné par Svenk Hendriksen, environementalise, Don Parkes, écologue, Hans Scheuder, chimiste, Stephen Wilde, jurise amateur des sciences du climat de de météorologie. C'est un site extrêmement actif sur tout ce qui touche au climat et aux exactions du "réchauffisme".
    14. Weather Action
      est le site personnel de l'activité de météorologie de l'astrophysicien Piers Corbyn. Ce site prépare des alertes météo à très long terme basées sur l'observation notamment de l'activité solaire. Il s'agit de l'application de théories météorologistes développées par l'astrophysicien Piers Corbyn dans les années 1980.
    15. The Resilient Earth
      site compagnon du livre de Al Simmons and Doug L. Hoffman du même titre. Ce site contient beaucoup d'articles très intéressants aussi bien de critique du "réchauffisme" que d'analyses sur des phénomènes climatiques correctement interprétés.
    16. Klockarman,
      Blog d'un adversaire de la thèse de Al Gore sur la cause anthropique du réchauffement climatique. Klockarman se déclare aussi peu scientifique que Al Gore. Sa position est essentiellement une position politique fondée sur la conviction que la thèse défendue par Al Gore est radicalement un mensonge délibéré. Ses opinions sont donc exprimées avec force ... Mais il donne aussi de nombreuses informations de tous ordres.
    17. Is There Global Cooling.
      Blog d'un historien américain, Geoff Pohanka, qui pense que le climat global va se refroidir. Nombreux articles et références à des sources de données. Ce n'est pas un site de climatologie.
    18. Global Warming Hysteria,
      est un site avec une section "blog", édité par le journaliste britannique Peter C. Glover. Très documenté et citant de nombreuses sources.
    19. Skeptics Global Warming
      est un site d'un sceptique du "réchauffisme" qui a démarré son site en 2007, interloqué par la violence et l'inanité des arguments des "réchauffistes" quand ils étaient confrontés à la moindre critique. Ce n'est pas un site scientifique. Il indique des articles particulièrement critiques de la cause "réchauffiste".
    20. AirVent
      est un site d'un sceptique du "réchauffisme" qui a démarré son site en Août 2008. Il critique surtout des articles scientifiques "réchauffistes", des "nouvelles réchauffistes alarmistes" et, s'il lui reste un peu de forces, la propagande politique autour du "réchauffisme".
    21. Bishop Hill
      ne concerne ni un évêque ni une colline. Son auteur est un Anglais en Ecosse. Avec le soupçon d'humour britannique, on peut aussi le qualifier de cynique du "réchauffisme". Ces anglais ne respectent "rien", même Pachauri.
    22. Errors in IPCC climate science
      est le blog du site d'un climatologue australien Warwick Hughes et de son collègue Douglas Hoyt. Le nom du blog est déjà un programme. Le blog est ouvert depuis novembre 2005. Le site proprement dit est absolument passionnant et porte sur divers sujets.
    23. Global Warming Science
      est le site d'un ingénieur américain Alan Cheetham de trente ans d'expériences. Il n'est pas climatologue. Mais, il est parfaitement en mesure d'estimer la vraisemblance d'une assertion scientifique documentée correctement. Cheetham sait détecter quand une assertion à prétention scientifique est fausse ou mal documentée. C'est sûrement un site essentiel.
    24. Site du député d'Irlande du Nord Sammy Wilson.
      Cet homme courageux est un sceptique convaincu. Il a publié plusieurs billets, discours au Parlement et articles. On pourra consulter :
    25. Climate Research News
      est le blog du biologiste Paul Biggs. Le blog semble avoir démarré en Septembre 2008. Initialement "réchauffiste", Biggs fut conduit à étudier de manière plus approfondie la littérature scientifique sur le changement climatique. Il conteste le consensus et notamment la cause du CO2 industriel. Le blog voudrait jeter un pont entre la réalité et la science officielle. Tout un programme ...
    26. Australian Climate Madness
      est le blog d'un ingénieur de formation, Simon, qui exerce comme avocat. Son point de vue est assez australien et citoyen, au sens qu'il est exaspéré des mesures politiques que devraient prendre son gouvernement et que le contribuable australien devrait payer à cause de la climatologie.des taxes carbone.
    27. Not In 2035 !
      est le site d'un journaliste américain Mason Inman, installé en Assie du Sud. Il déclare qu'"il n'est pas un sceptique", mais, quelque peu énervé par les erreurs accumulées par les "réchauffistes", il s'est d'un coup emporté sur l'affaire indienne du TERI qui obtient des fonds de la Commission de Bruxelles pour "défendre l'Inde de la fusion complète des galciers himalayens prévue en 2035".
    28. NOTRICKSZONE ,
      NOTRICKSZONE est un blog tenu par un ingénieur civil anéricain, P. Gosselin, qui travaille dans sa propre entreprise en Allemagne du Nord. Il est un pur amateur de vérité scientique toute simple, et, comme nous, se gratte la tête devant les énormités "indiscutables" du "réchauffisme anthropique ". Son blog est à parcourir, et à suivre. Revue THOMAS a publié au sujet de ce blog un article intitulé NOTRICKSZONE, un blog sceptique americano-allemand.

    Adresses de blogs sceptiques en français (10)

    • Pensée Unique, animé par Jean Martin, chercheur à la retraite, CNRS. Il ne cultive pas la polémique même si sa rubrique "bonnet d'âne" est parfois cruelle. Il révise des concepts agités par les "réchauffistes" et ne laisse pas passer beaucoup de fautes de leur part avec un solide "bon sens" physique ;
    • [Changement Climatique], ce site a été plusieurs fois agressé et a dû changer de nom. Très actif, il traduit la littérature anglo-saxonne sur le "réchauffement" dont il est très critique. Il a subi une interruption par son hébergeur le 18 janvier 2010, et a ét érepris par Benoît Rittaud avc une partie seulement de ses archives.
    • Climat-Sceptique, de Charles Müller, le blog arrêté, mais il contient des archives très intéressantes
    • Le Québécois Libéré, blog d'informations générales, mais, lors de "crises" générées par les "réchauffistes", il est très polarisé sur les problèmes du "réchauffisme" en Amérique du Nord.
    • Le Mythe climatique, blog du mathématicien Benoît Rittaud. Ce blog est ouvert en prévision de la parution de son livre éponyme du blog prévue en Février 2010, aux Editions du Seuil. Rittaud semble reprendre le point de vue de Marcel Leroux sur le caractère mythique de la "fantaisie" du "réchauffisme anthropique". Rittaud est depuis passé sur Skyfall et maintient juste ce blog en compagon de son livre sorti avec succès.
    • Et si la Terre s'en sortait ?, est le blog du journaliste météorologue Laurent Cabrol. Ce blog n'est pas vraiment mis à jour. Laurent Cabrol l'avait lancé pour la sortie de son livre du même nom et qui a reçu une marée d'insultes qui ont beaucoup affecté Laurent Cabrol. Croisant Hubert Reeves qu'il connaissait très bien, ce dernier l'a littéralement insulté en l'accusant de "démobiliser les "gens"". Bien dit.
    • La Climatologie est le site d'un amateur, "Williams", qui souhaite présenter des données objectives sur le climat. Sans minimiser l'impact du CO2, anthropique notamment, le site tend à montrer que le véritable moteur du climat est bien le Soleil. Ce site semble éviter toute polémique - il est très "reposant" en cela - et il est couplé à plusieurs autres sites et forums produits ou gérés par "Williams". On note par exemple ce forum Question solaire climatique.
    • Le forum précédent est en réalité géré par "Fred Mortimer", qui a développé un autre site La Terre du futur, qui se donne comme un "Site de surveillance climatique et écologique. Le Monde de demain ne sera pas celui que l'on imagine... refroidissement climatique à la clé. Une rétroaction négative du climat doit être attendue suite au réchauffement actuel.".
    Nous n'avons pas trouvé de sites propres de Claude Allègre, Vincent Courtillot ou de Le Mouël. Ce que nous regrettons devant la richesse de leurs études. Un blog est cependant consacré - par un pseudo "Atmosceptic" - au point de vue de Vincent Courtillot. Ce blog ne contient que des interventions vidéo de Courtillot.

    On note l'extrême faiblesse du nombre des sites sceptiques en langue française. Pour ajouter à leur nombre, on ajoute ici quelques blogs qui ne se concentrent pas sur le problème du "réchauffisme" mais qui sont vraiment anticonformistes :
    • Laurent Berthod, kantien amoureux du Sud de la France et de bonnes choses ;
    • La recherche du bonheur, maintient une archive de la revue FUSION, et notamment, un article important d'Emmanuel Grenier sur l'écologie radicale.
    • Objectif Terre des Hommes est le site d'un écologiste pratique, Olivier DANIELO, installé au Mexique. Deux rubriques de son site, Climat-Science, et Climat-Politique sont assez critiques du "réchauffisme" et de ses manipulations. Il n'est pas climato-sceptique mais c'est un écologiste ébranlé.
    • Objectif Liberté de Vincent Bénard contient de plus en plus d'articles et de citations de références concernant la faillite du "réchauffisme".


    o o o


    Note sur le site "skyfal.free.fr" :
    La nouvelle était sur le site Pensée Unique.fr de Jean Martin et sur Le Mythe climatique de Benoît Rittaud. Un essai nous en convainc. L'exécution d'une connexion à ce site produit la page suivante :

    Erreur 403 - Refus de traitement de la requête (Interdit - Forbidden)


    Le serveur a compris la requête, mais refuse de la satisfaire.

    Une démarche d'authentification n'y fera rien et cette requête ne doit pas être renouvelée. Si la méthode invoquée est différente de HEAD et le serveur souhaite rendre public la raison pour laquelle il refuse le traitement, il le fera dans l'entité liée à cette réponse. Ce code d'état est souvent utilisé lorsque le serveur ne souhaite pas s'étendre sur les raisons pour lesquelles il refuse un accès, ou parce que c'est la seule réponse qui convienne.

    Vous tentez d'accéder à une ressource qui vous est interdite.
    Il se peut que le compte concerné soit suspendu (Cf. Console de Gestion)
    Le lien a donc été désactivé le 25 janvier 2010 dans cette page lorsque la situation a été connu (Revue Thomas). Selon Benoît Rittaud, Free a décidé un "compte suspendu sur critères techniques automatiques suite à un Spamming de sa base de données.". Le compte pourrait être rétabli par son propriétaire.

    Le lien n'a pas été rétabli, mais un nouveau site a été réactivé en mars 2010.