Le "réchauffisme global" et la presse

Philippe Brindet
27 novembre 2009, mise à jour du 27 avril 2010


Le "réchauffisme global anthropique" est une idéologie

Dans un autre article intitulé Petite Zoologie portative du "réchauffiste", notre lecteur a pu se faire une idée de ce qu'il fallait entendre par "réchauffisme global anthropique". Organisé, diffusé et exploité par le GIEC, organisation obscure inter-étatique, le "réchauffisme" détermine que :
"Depuis 1850, date à laquelle commence ce que l'on a appellé la "révolution industrielle", l'augmentation de la température globale annuelle est constante. Comme cet accroissement de température est précédé par un accroissement constant de la concentration en gaz carbonique CO2, dont on sait qu'il est un puissant gaz à effet de serre, la "communauté des scientifiques" est "unanimement d'accord" pour déclarer que :
  • la hausse de la température globale est provoquée par l'homme et sa société industrielle ; et
  • l'humanité court un risque de disparition à brève échéance si nous ne changeons pas la société industrielle, héritée d'un passé méprisable, en une société du futur, respectueuse de l'environnement."
Voilà le diktat du "réchauffisme global anthropique" dans sa nuance "constante".

Or, grâce aux études difficilement publiées par les "sceptiques du climat", vilipendés par les "réchauffistes" comme étant d'"horribles négationistes", nous savons que tout cela est simplement FAUX, parce qu'aucun fait ne viendra confirmer l'hypothèse du réchauffement constant avant cent ans.

Le "réchauffisme" est donc bien une idéologie qui prétend remplacer le contrôle de la réalité par une idée fausse : la simulation basée sur un modèle climatique. Cette ruse du "modèle" permet à l'"idéologue" de mieux diriger la société humaine en lui imposant des croyances dénuées de tout fondement réel.
"We have the new paradigm where simulation and programs have replaced theory and observation." - Richard Lindzen

Le "réchauffisme" hérite des totalitarismes du XX° siècle

Le "réchauffisme global", (en anglais : Global Warming) est une idéologie qui prétend, à l'exemple des totalitarismes du XX° siècle, le marxisme et le nazisme, se fonder sur une science régénérée. Cette science est régénérée par le matérialisme dialectique ou par la théorie socio-darwinienne pour ces idéologies du passé. Le "réchauffisme global anthropique", lui, utilise une "science regénérée" par l'écologie. La méthode du "réchauffisme" est donc identique à celle des totalitarismes.

Mais, plus encore qu'une question formelle de méthode, l'écologie a des racines dans les matérialismes du XX° siècle. Les notions comme celle de "pureté de la race", de sinistre mémoire, sont directement dérivées des principes fondateurs de l'écologie. Il faut toujours revenir à un passé "pur de toute perversion", selon une démarche de haine qui fait rejeter ce qui est impur, polluant, pour regénérer une "humanité sauvée".

Le "réchauffisme global" a des analogies évidentes avec le marxisme. Dans les Etats marxistes, le Parti définit une ligne dite "ligne du Parti". Elle est prétendument constitué par la majorité démocratique du Parti etceux qui résistent à cette ligne prétendûment majoritaire, et dans la folie, souveraine,sont des fractionistes, des déviationistes, des bourgeois. Dans le "réchauffisme", le Parti est formé par le GIEC qui détermine ce que les "réchauffistes" désignent par le "consensus universel des climatologistes". Il y a les "fractionnistes", qui peuvent parfaitement être majoritaires, mais qui sont "fractionnistes". Ce sont les sceptiques du climat. Eux doivent être éliminés. Le "réchauffisme global anthropique" ne peut pas encore utiliser des tribunaux acquis à sa solde, mais il peut hélas compter sur cette "grosse" presse, dont nous allons reparler un peu plus loin.

En effet, comme le marxisme et le nazisme, le "réchauffisme" a un besoin vital de manipuler à sa guise l'opinion publique. Il a donc, comme autrefois le marxisme, investi la presse et, l'efficacité l'exigeant, la "grosse" presse. Cette presse qui captive des millions de cerveaux ayant du "temps disponible" comme les vendait un célèbre propriétaire de chaîne de télévision.

Panorama d'une presse empêtrée dans le "réchauffisme"

Le journaliste du New York Times, Andrew Revkin, publie sur son blog DotEarth, un article un peu alambiqué daté du 20 novembre 2009, intitulé Private Climate Conversations on Display. Il y mettait en cause le Climate Research Unit CRU de l'Université East Anglia dans l'affaire dite du Climate Gate ou du CRU Gate. Il s'est racheté en payant son écot au GIEC en couvrant d'insultes les adversaires du "réchauffisme global anthropique".

Revkin, en tant que journaliste du New York Times, est par ailleurs cité dans douze fichiers des archives du CRU à partir de l'année 2004. Il fait partie de ceux qui sont engagés de manière la plus apparente dans une collusion avec les experts de l'idéologie "réchauffiste". Le lecteur peut se faire une meilleure vue de ces forgeries dans l'article Les forgeries du réchauffement climatique - Un exemple néo-zélandais.

On reconnaît que le fait qu'un journaliste corresponde par emails avec un Institut scientifique réputé comme le CRU paraît naturel à première vue. Mais, si on regarde les preuves de manipulations auxquelles se livraient les personnalités associées au CRU, on est particulièrement interloqué par la possible maniplation du CRU sur le New York Times. On note particulièrement dans ce mail de Trennberth, un physicien américain de Boulder en lien avec le CRU, que Revkin commandait littéralement les "bonnes courbes" qu'il souhaitait produire dans son blog DotEarth. C'est une attitude journalistique assez étonnante.

Dans l'affaire du Climate Gate, Revkin a pour l'instant une position qui ne paraît pas décidée. D'un côté, il est peut être toujours persuadé que "tout le monde" croît au dogme erronné du "réchauffement global constant anthropique". D'un autre côté, il sait que, même s'il proteste de sa bonne foi, il aura participé avec la puissance de son journal à une énorme manipulation de l'opinion.

Juliet Eilperin du Wahington Post, écrit dès le 22 novembre 2009 un article intitulé : In the trenches on climate change, hostility among foes, dont le sous-titre était assez limpide : " Stolen e-mails reveal venomous feelings toward skeptics. Cet article était assez féroce sur les méthodes du CRU et de ses affidés, comme l'américain Mann. Depuis, cette journaliste semble se cantonner dans un silence prudent, attendant probablement de voir qui survivra à ce jeu de massacre. Depuis le début de l'année 2010, elle a en effet repris ses activités en faveur du "réchauffisme" sans aucune nuance particulière.

En Allemagne, Der Spiegel a plutôt été neutre, informant et des preuves de forgerie produites dans les emails du CRU et des problèmes que rencontraient l'idéologie du "réchauffisme global anthropique". Die Welt a tenu la même attitude.

En France, les professionnels de la désinformation qui sont entièrement acquis à la forgerie du "réchauffisme global anthropique", Sylvestre Huet, Stéphane Foucart, Yves Miserey, Marielle Court se sont pris des rafales de commentaires de lecteurs furieux de leur défense des forgeries du CRU. Certains journalistes semblent ne pas comprendre que les lecteurs de leurs journaux pourraient ne pas leur pardonner de ne pas être des informateurs objectifs, mais des propagandistes d'erreurs et de forgeries.

Georges Monbiot, ou l'hésitation entre la propagande et la stupidité

Georges Monbiot, journaliste au Guardian, a fait sonner le tonnerre de sa plume contre les climatologues "érachauffistes". On pourra lire sa chronique du 23 novembre 2009, intitulée "The Knights Carbonic". Il serait donc une exception dans le personnel professionnel, d'autant plus qu'il aurait été, jusqu'à récemment, un ardent propagandiste de la croyance "réchauffiste anthropique".

Dans cet article, il révèle le contenu d'un email, trouvé dans les mails divulgués du CRU et daté du 29 octobre 2009, émis par un professeur de l'Université britannique de Redcar et envoyé à une liste de diffusion dénommée "The Knights Carbonic" et qui contient notamment ce texte :
"Gentlemen, the culmination of our great plan approaches fast. What the Master called "the ordering of men’s affairs by a transcendent world state, ordained by God and answerable to no man", which we now know as Communist World Government, advances towards its climax at Copenhagen. For 185 years since the Master, known to the laity as Joseph Fourier, launched his scheme for world domination, the entire physical science community has been working towards this moment." Messieurs, l'apogée de notre grande conjuration s'approche rapidement. Ce que le Maître appelait "l'organisation des affaires de l'humanité par un Etat mondial transcendant, ordonné par Dieu et questionnable par aucun humain", que nous connaissons comme le Gouvernement Communiste mondial, progresse vers son succès à Copenhague. Il y a 185 ans, depuis l'époque du Maître, connu dans le peuple sous le nom de Joseph Fourier, était lancé ce projet de domination mondiale et la communauté des scientifiques dans son ensemble a oeuvré pour ce moment."

On sait qu'un email est un texte qui s'écrit très vite. On connaît aussi la réputation de l'humour britannique. On sait aussi que, quand on est jeune, on peut proférer des choses outrées. Mais malheureusement, l'auteur est un triste professeur d'université qui gère un budget de recherche de plusieurs millions de livres sterling, qui est habilité à diriger des doctorats. C'est un cinquantenaire, plus vraiment un "adolescent boutonneux". En plus, il n'est pas britannique. Et l'email est long, très long. Et très bien écrit avec des phrases longues, qu'un auteur doit relire plusieurs fois avant de passer à la suivante.

Monbiot était allé loin, très loin dans le support de l'idéologie "réchauffiste", publiant en Septembre 2009 dans le Guardian un "Top 10" des personnalités "négationistes" du climat, désignées dans un jeu de cartes ravageur. Le début de l'article est plein de franchise pour montrer que Monbiot était le 9 mars 2009; il y a 9 mois, un soutien fanatique des "réchauffistes". Il écrivait alors :
"My shortlist of people who have done most for the denialist cause - in playing card form "
que l'on peut traduire par :
"Ma liste concentrée des gens qui ont fait le plus pour la cause négationniste - sous la forme d'un jeu de cartes.
On se souviendra que de tels jeux de cartes avaient été édités pendant la Révolution française par les Jacobins pour désigner les "ennemis de la République". Par exemple, Monsieur le Comte de Saint-Simon, qui fut un appui constant de Joseph Fourier, cité dans l'email transmis à la liste de diffusion "The carbonic Knights" dans l'archive divulguée du CRU avait édité un tel jeu de 54 Cartes. Bien.

Vous avez "marché" avec son article sur les Chevaliers Carboniques ?

Eh bien, vous avez eu tort ! Comme moi ...

Le prétendu auteur serait un professeur dénommé "ernst.kattweizel". Je cherchais laborieusement des traces sur ce professeur dans la littérature "carbonic". Eh bien, à part l'article de Monbiot, il n'y en a pas ! Plus grave. Il n'existe aucune "Université de Redcar", seulement un Collège qui ne possède, bien entendu, pas un tel ... professeur.

D'ailleurs, si les noms apparaissent bien dans l'archive FOIA2008.zip, les adresses emails sont masquées. La forgerie de Monbiot a fait passer l'adresse complète.

Monbiot est donc un journaliste du Guardian qui n'hésite pas à fabriquer une fausse information pour "démontrer la stupidité des négationnistes" et mieux soutenir la cause "réchauffiste". Son exigence de la démission du directeur du CRU est donc parfaitement cynique. Sa manoeuvre fonde même un doute sur le fait que le "soi-disant" hack russo-turque de l'archive du CRU pourrait être une fabrication.

La presse et l'affaire du retrait des Glaciers

Déjà en 2003, le physicien Pierre Kohler notait (voir dans l'archive du LCRE) que le JT de TF1 avait rencontré le glaciologue Robert Vivian pour filmer un sujet sur le retrait des glaciers. Vivian les avait dissuadé d'imaginer un "retrait" sans nuance et les avait entraîné sur des glaciers des deux types en réduction ou en amplification.

Le sujet diffusé ne concernait plus que des glaciers en phase de réduction. Lors du montage, une censure "réchauffiste" a été manifestement appliquée. Vivian est décédé en 2007. Mais il a toujours défendu une thèse mesurée sur le réchauffement climatique et constatait que les "réchauffistes" proféraient des erreurs évidentes quand ils se référaient à la glace, sa spécialité.

Les journalistes de TF1 avaient, semble t'il, très vite compris - et peut-être quelqu'un les y a aidé - où se trouvait le "consensus" c'est-à-dire la "vérité politiquement correcte".

L'affaire Courtillot 2007

La fabrication de l'affaire Courtillot

Plus récemment en 2008, une polémique a éclaté après la publication d'un article de Le Mouël et Cortillot dans GeoScience. Vincent Courtillot, académicien, Directeur de l'Institut de Physique du Globe de Paris, et son équipe détectaient une signature solaire dans les courbe de températures moyennes annuelles sur des zones européenne et nord-américaine. Or ceci était contraire à l'idéologie du "réchauffement global anthropique" selon laquelle la "variabilité solaire est beaucoup trop faible par rapport à l'effet de serre du CO2" !

Un physicien du Collège de France, Edouard Bard, est chargé de châtier les présomptueux. Or, le brave garçon est particulièrement embêté par la chose et se limite à des critiques stupides comme celle d'un modèle de la "Terre Plate" qu'il croyait trouver dans l'article de Le Mouël et Courtillot. On note que la calomnie de la "Terre Plate" provient d'un article d'un climatologue "réchauffiste" américain, PierreHumbert.

Cela donnera la réplique suivante :
"Comment on “Are there connections between the Earth's magneticfield and climate?” by V. Courtillot, Y. Gallet, J.-L. Le Mouël, F. Fluteau, A. Genevey EPSL 253, 328, 2007
Edouard Bard, Gilles Delaygue
CEREGE (UMR 6635), Collège de France, CNRS, Université Paul-Cézanne Aix-Marseille 3, Europôle de l'Arbois BP80,13545 Aix-en-Provence Cedex 4, France
Accepted 29 September 2007"
Dans la polémique alimentée notamment par Bard et le journaliste Huet - on pourra se reporter à un article de Huet dans Libération du 19 décembre 2007, intitulé "Le coup de colère du climatologue" - , un problème se posait sur un fichier de données que Courtillot disait de Jones, et dont ce dernier savait pertinemment qu'il ne pouvait pas être de lui puisqu'il cachait systématiquement ses sources. Or, le redoutable canadien McIntyre, publie un article The Doctrine of RC Infallibility, le 26 décembre 2007 dans lequel il déclare avoir retrouvé le fichier de données utilisé par Courtillot. Il s'agit d'un fichier de Briffa, utilisé dans un article dont Jones est co-auteur et qui a évidemment fourni les données à Briffa. Il est donc parfaitement clair que le fichier de données de Courtillot est un fichier quasi semblable à celui gardé jalousement par Jones.

Dans les emails du CRU Gate on trouve un mail angoissé du GIECiste Jouzel, daté du 15 janvier 2008, donc après l'acceptation de la Note decontestation de Bard et Delaygue qui réclame de l'aide de Phil H. Jones et des américains pour répliquer à Courtillot. Il semble donc que la réplique de Bard à Courtillot laisse à désirer ...

On note que l'archive du CRU publiés sur le site eastangliamails.com, contient un premier fichier particulièrement suggestif. Il s'agit du numéro 856 dans lequel on apprend les choses suivantes :
  1. Jouzel, paniqué par le dernier article de Courtillot de 2007, a écrit à Phil Jones pour qu'il aide Edouard Bard à contester l'article de Courtillot ;
  2. Jones est parvenu à influer une revue "Science" pour qu'elle ne publie pas les articles de Courtillot ;
  3. Michaël Mann considérait que les articles de Courtillot étaient la preuve que les sceptiques "avaient perdu la bataille (à la fois scientifiquement et dans la sphère publique)".

Dans un second fichier, 857, et daté du lendemain 16 janvier 2008, Phil Jones écrit à l'américain PierreHumbert, avec copie aux américains Mann et Schmidt. PierreHumbert va ensuite dicter sa réponse à Edouard Bard. Il lui déclare les choses suivantes :
  1. Edouard Bard semble effectivement dans un pétrin épouvantable. Jones dit :
    "A l'évidence, rien ne pourrait aller plus mal pour Edouard, mais vous êtes (PierreHumbert à qui Jones écrit) en contact avec lui."
  2. Jones connaît le fichier de données dont Courtillot s'est servi et dont un autre auteur (Pasotti) s'est lui aussi servi. Il est quasi identique à celui que Jones garde jalousement pourtant pour éviter que le redoutable canadien McIntyre ne le découvre.

  3. Courtillot a écrit deux fois à Jones qui lui a transmis des articles, mais, comme le déclare d'ailleurs Courtillot, aucune donnée. Il l'a adressé aux serveurs ftp du NCDC et du GISS.

Un journaliste, Huet, relaie alors auprès du public l'entreprise de Bard au long d'un pénible article d'une rare inculture.

On se demande pourquoi Huet a besoin de porter à la connaissance du public une querelle dans laquelle les "réchauffistes" traitent leurs opposants de "chevaliers de l'ordre de la Terre Plate", dont ils affublent alors Courtillot et, excès d'honneur qu'il n'avait pas mérité, Claude Allègre, autre critique du "réchauffisme" s'il en fut. Mais la raison en est transparente et la répétition d'un article d'un environnementaliste fanatique américain démontre une fois de plus que le journaliste a participé ici à une manoeuvre politicienne pour désamorcer une véritable bombe.

On remarque en effet une bizarrerie. Huet lance l'expression moqueuse en France de "chevaliers de l'ordre de la Terre Plate". Très sérieusement, Monbiot prétend que l'archive divulguée du CRU de East Anglia montre une liste de diffusion qui s'intitulait "The carbonic Knights", en français "Les chevaliers du Carbone". C'est faux, comme on l'a indiqué plus haut, mais le rapprochement est suggestif. C'est un peu comme si Huet et Monbiot s'ingéniaient à inverser la situation : si on les suit, le complot est le fait de ceux qui le dénonce !

Il y a autre chose. Un individu associé aux mails de l'archive divulguée du CRU, Michael Mann, "fabricateur" de la fameuse "crosse de hockey", aurait écrit un article le 9 avril 2006 dans The Boston Globe un article dans lequel se trouvait un texte dont la traduction donnée par le blog sceptique Skyfal était :
"Citer un sceptique du climat revient à donner à un terre-platiste la parole dans la conception d'un nouveau satellite par la NASA."
Huet tenait cette appellation de "Terre plate" de Bard qui, sans un contact avec Mann, la tenait sûrement de Jones, et d'autres affidés du CRUpour l'aider à monter l'affaire contre Courtillot, et poursuivre la traque de Allègre.

Or, dans ses articles au secours de Bard contre Courtillot, Huet va chercher l'aide des "réchauffistes" anglo-saxons, l'anglais Phil Jones et l'américain Gavin Schmidt ! Et, dans l'affaire récente du Climate Gate, appellée aussi CRU Gate ... , parmi les emails divulgués du CRU de l'université East Anglia se trouvent plusieurs emails, émis notamment le 14 janvier 2008 par Jouzel, un des principaux "réchauffistes" français, qui demande justement à Jones et à Schmidt, cités par Huet dans son article, d'assister Bard contre Courtillot. Toute l'action de Bard contre Le Mouël et Courtillot qui s'en est suivi était une agression en "bande organisée" et le journaliste Huet participait donc à la bande.

On note incidemment que le cours de climatologie de Bard au Collège de France qui durait depuis 2001, a été suspendu en 2009.

Après le 20 novembre 2009, Huet a été dans les premiers journalistes à venir, en France, au secours de la "réputation" du CRU en lançant des tombereaux d'immondices sur les "négationistes" qui "volent les emails". Il a fortement intérêt à ce que la partie se règle rapidement à son avantage. Mais là aussi, la collusion entre certains journalistes et des "fabricants d'événements médiatiques" est particulièrement trouble. On ne sait plus très bien qui manipule qui et qui est la cause et qui est le bénéficiaire. Quand les "réchauffistes" sont en position de fabricateurs, on pense que les journalistes leur servent de relais médiatiques. Mais quand les journalistes comme Huet prennent l'initiative sur la question du climat auprès du public, on se demande si les "réchauffistes" ne leur servent pas simplement d'alibi.

Pour des gens comme Huet, la question scientifique de l'étude rationnelle du climat ne présente absolument aucune espèce d'intérêt. Ce qui est vital pour eux, c'est que des mesures politiques soient prises aussi énergiquement que possible et qui fassent les dégâts les plus importants parmi les populations occidentales. Or, une remise en cause de la "certitude" du "réchauffement" est une agression contre cette manoeuvre révolutionnaire.

L'affaire Bard-Delaygue contre Courtillot

En réalité, Huet n'est pas seul. Trois journalistes Sylvestre Huet, de Libération, Stéphane Foucart du Monde et Caroline de Malet du Figaro vont écrire, en relais de Bard et Delaygue, des articles pour insulter Courtillot et semer le doute sur ses travaux que les journalistes sont bien incapables d'évaluer. Il est clair qu'il a existé une entente entre la camarilla des climatologues réchauffistes et les journalistes "réchauffistes". Courtillot réplique en écrivant aux rédactions des trois quotidiens et leur demande une sorte de droit de réponse. Il semble que Le Monde ait publié cette lettre de Courtillot. Le texte des lettres de Courtillot a été inséré dans un document manifestement produit par Courtillot et disponible sur le site de l'IPGPAnnexes à l’intervention de Vincent Courtillot à l’Académie des Sciences Séance du 15 Janvier 2008 concernant la parution dans les quotidiens Le Monde, le Figaro et Libération, d’une série d’articles diffamatoires à propos d’un article paru dans la revue Earth Planetary Science Letters.

Une Association des journalistes scientifiques de la presse d'information organise un petit déjeuner tenu le 23 janvier 2007, avec les trois journalistes mis en cause pour organiser une réplique. L'existence de cette réunion est rapportée par un individu, Benoît Urgelli, qui pourrait être membre de l'Association, dans un billet intitulé Mars 2008 : Lettre ouverte de l'Association des journalistes scientifiques de la presse d'information. On note qu'un Benoît Urgelli est co-auteur d'une page Web du site de l'ENS Lyon sur le climat, intitulé Évolution du Climat : du passé vers le futur., avec Gilles Delaygue du CEREGE, en 2003. On doit se souvenir que Delaygue est co-auteur avec Bard, de la Note de contestation de l'article de Courtillot, et que Bard est lui aussi membredu CEREGE. Urgelli publie sur son site perso' ce qui semble être sa thèse de Doctorat (!) intitulée :
"Logiques d’engagement d’enseignants face à une question socioscientifique médiatisée : le cas du réchauffement climatique",
dont l'intitulé avoue avec naïveté le véritable complot contre la vérité auquel travaillent dans une entente mlafieuse comme la qualifie Claude Allègre, qui décicémment n'a pas tort, les climatologues, les enseignants et les journalistes "réchauffistes".

Urgelli travaillait au moins à une époque pour l'institut pédagogiste INRP. Le site de cet institut semble maintenir une vingtaine d'articles d'Urgelli, principalement centrés sur le sujet du "réchauffisme". Voilà donc, dans les années 2000, un thésard entièrement financé par l'Etat qui se bat pour propager l'idéologie "réchauffiste". Et pour finir, il est récompensé par le titre ronflant, mais ô combien dévalué, de Docteur de l'Université. Au passage, il faut noter que son doctorat est un "doctorat de journalisme" ... Monsieur Jourdain, Docteur ...

L'AJSPI maintient un site public assez maigrelet. Une partie privée n'est pas, par définition, accessible au public. Mais, l'AJSPI fournit des "liens utiles". Il cite les blogs persos de ses membres. Il n'y en a que trois : un quidam, le "fameux" Huet et son confrère du Nouvel Obs', Larousserie.

David Larousserie, Journaliste scientifique au Nouvel'Obs', membre de l'AJSPI. L'exergue de son blog n'appelle aucune contestation de notre part :
"Ceci est un blog de journaliste scientifique. Ca a le goût du journalisme, l'odeur du journalisme, la couleur du journalisme mais ce n'est pas (toujours) du journalisme..."


Le compte-rendu complet du "petit dèj' Courtillot" n'est accessible qu'aux membres de l'AJSPI. Mais un résumé, signé par Sophie Coisne - qui semble avoir été Présidente en 2007 de l'AJSPI -, et intitulé Extrait du CR petit déj Courtillot est encore accessible. Dans ce compte-rendu, on note que les journalistes ont fait profil bas, s'entêtant à qualifier de "fraude" le mauvais placement d'une courbe quasi identique à la courbe correcte dans l'article de Courtillot ! Mais, une lettre (!) de dénonciation de Courtillot est envoyée : "au ministre de la Recherche, au président de l'Académie des sciences et à la présidente du CNRS".

La lettre disponible sur le site de l'AJSPI, malgré les répliques de Courtillot, réitère les calomnies de Bard et de ses porte-voix journalistes, Huet, Foucart et de Malet. Mais on note une chose particulièrement suggestive. Les journalistes de l'AJSPI considèrent Bard et Delaigue comme leurs collègues. La lettre se limite au soutien "confessionnel" du triumvirat de "réchauffistes".

Il existe véritablement une collusion entre les enseignants (représentés par Urgelli), les climatologues (comme Bard et Delaigue) et les journalistes (Huet, Foucart et de Malet). Cette situation paraît complètement perverse à un scientifique américain, Richard Lindzen, climatologue non-réchauffiste, qui écrit :
Vincent Courtillot et al (2007) encountered a similar problem. (Courtillot, it should be noted, is the director of the Institute for the Study of the Globe at the University of Paris.) They found that time series for magnetic field variations appeared to correlate well with temperature measurements - suggesting a possible non-anthropogenic source of forcing. This was immediately criticized by Bard and Delaygue (2008), and Courtillot et al were given the conventional right to reply which they did in a reasonably convincing manner. What followed, however, was highly unusual. Vincent Courtillot et al (2007) recontrèrent un problème semblable. (Courtillot, il faut le remarquer, est le directeur de l'Institut pour l'étude du Globe à l'Université de Paris). Ils ont trouvé que les séries temporelles des variations du champ magnétique semblaient être bien corrélées avec les mesures de température - suggérant une source possible de forçage non-anthropogénique. Ceci fut immédiatement critiqué par Bard et Delaygue (2008) et Courtillot et al eurent le droit conventionnel de répliquer, ce qu'ils firent d'un manière raisonable et convaincante. Ce qui suivit, cependant, fut largement inhabituel.
Raymond Pierrehumbert (a professor of meteorology at the University of Chicago and a fanatical environmentalist) posted a blog supporting Bard and Delaygue, accusing Courtillot et al of fraud, and worse. Alan Robock (a coauthor of Vinnikov et al mentioned in the preceding section) perpetuated the slander in a letter circulated to all officers of the American Geophysical Union. The matter was then taken up (in December of 2007) by major French newspapers (LeMonde, Liberation, and Le Figaro) that treated Pierrehumbert’s defamation as fact. As in the previous case, all references to the work of Courtillot et al refer to it as ‘discredited’ and no mention is made of their response. Moreover, a major argument against the position of Courtillot et al is that it contradicted the claim of the IPCC. Raymond Pierrehumbert (un professeur de météorologie de l'Université de Chicago et un environnementaliste fanatique) publia un blog soutenant Bard et Delaygue, accusant Courtillot et al de fraude et même pire. Alan Robock (un coauteur de Vinnikov et al mentioné dans la section précédente) poursuivi l'agression dans une lettre transmise à tous les officiels de l'Union américaine de Géophysique. L'affaire fut reprise (en Décembre 2007) par les principaux journaux français ( LeMonde, Libération et Le Figaro) qui prirent la diffamation de Pierrehumbert comme un fait prouvé. Comme dans le cas précédent, toutes les références au travail de Courtillot et al furent faites en tant que 'travail discrédité', et aucune mention n'est faite de leur réponse. Pire encore, un argument majeur contre la position de Courtillot et al est qu'elle contredit la postion du GIEC.



Lindzen détaille ici la stratégie d'intimidation des scientifiques non conformés à l'idéologie "réchauffiste" et le fait que leurs travaux restent dénaturés, disqualifiés parce qu'on ne retient que les calomnies contre leur travail et jamais les répliques calmes par lesquelles ils écartent les critiques erronnées de leurs travaux.

Dans l'affaire Courtillot 2007, on note que l'entente tripartite : climatologues + journalistes + enseignants est essentielle pour écraser les opinions divergentes.

Marcel Leroux et une presse exclue par les "réchauffistes"

Lorsque Emmanuel Grenier, le rédacteur en chef de la revue d'informations scientifiques FUSION, publia les articles du climatologue Marcel Leroux, décédé en 2008, il reçut un appel téléphonique d'un "chercheur" du Laboratoire de Météorologie Dynamique LMD de Le Treut. L'interlocuteur tentait de ruiner dans l'esprit de Grenier la réputation de Leroux. Il traita le climatologue de "Elisabeth Teissier de la climatologie", et, chose suggestive, de "révisioniste". Le terme fera florès peu après contre tous les opposants au GIEC.

Grenier raconte dans un éditorial de sa revue, qu'il propose alors à son venimeux interlocuteur d'écrire une réponse. L'autre accepte. Plusieurs mois passant sans que rien ne vienne, Grenier rappelle son interlocuteur pour lui demander où il en est. L'autre lui rétorque que lui et ses collègues - on notera l'instinct grégaire de ce genre de "chercheurs" qui demande la permission à ses "collègues" de répondre dans un débat scientifique - qu'il a renoncé parce que la revue n'était pas "politiquement correcte". Il écrira un article dans une revue "sérieuse" pour "démolir Leroux". Or depuis, aucun article critique n'a jamais paru dans aucune revue scientifique pour apporter la moindre contradiction à Marcel Leroux.

On peut comprendre dans cette affaire combien la stratégie des "réchauffistes" est pointue. Elle se concentre sur la "presse qui compte" mais qu'on ne lit pas, et écarte du débat la presse spécialisée, la seule vraiment lue. Par ailleurs, on voit cette stratégie qui consiste à ne pas rechercher un débat scientifique normal mais tente de frapper les hommes. Ce n'était pas de savoir ce qu'il pouvait contredire dans le raisonnement de Leroux qui importait au "chercheur" du LMD, mais de "démolir Leroux".

L'affaire de la lettre des "climatologues" contre Allègre et Courtillot

Au début de l'année 2010, Courtillot et Allègre publient chacun de leur côté un ouvrage sur leurs idées concernant, le climat pour le premier, le "réchauffisme" pour le second. La publication de l'ouvrage de Courtillot amène des réactions critiques qui répètent à l'envie les calomnies étalées lors de l'affaire de 2007. En effet, Courtillot dans son livre "Nouveau voyage au centre de la Terre", Odile Jacob, Septembre 2009, reprend ses articles de 2005 et de 2007 et les complètent avec ses vues plus avancées sur le magnétisme terrestre. Or, plusieurs climatologues ont freiné l'enthousiasme des "réchauffistes" lâchés contre Courtillot en 2007 : Courtillot pourrait avoir raison et il est vital que cela ne se sache pas avant le COP-15 de Copenhague.

Quand Allègre publie son ouvrage "L'imposture Climatique", d'un style et d'un point de vue complètement différents, Copenhague est passé sur un demi-succès : malgré les emails du Climate Gate, on est parvenu à faire taire les ennemis du "réchauffisme" comme le délégué saoudien littéralement "vidé" de Copenhague à sa première intervention critique. Or, Allègre concentre plusieurs autres problèmes en plus de son scepticisme radical à l'encontre du "réchauffisme". Il s'est dressé contre la "forteresse Education Nationale", la plus grosse administration du monde. Il s'est violemment brouillé avec plusieurs courants de gauche lors des récentes élections présidentielles. Il est donc une cible facile puisque, même les ignorants de la géophysique de base ont des excitations pour lui taper dessus". Et les ânes ne vont pas s'en priver.

A commencer par le trio de quotidiens parisiens, qui a conservé deux de ses trois journalistes, le troisième étant remplacé avantageusement par un trio largement aussi virulent. Quelques ours passant, les climatologues ont perfidement glissé aux journalistes de la grosse presse que Courtillot ne devait pas être "privé" plus longtemps de la "juste colère citoyenne" des "réchauffistes".

Et c'est la lamentable affaire de la lettre des 603 "climatologues" à la Ministresse de l'Education Nationale dans laquelle un groupuscule de vieux marxistes a contrôlé la plume de pauvres types ignorants, bardés de diplômes et de sinécures d'Etat.

Dans un entretien à une revue très BCBG, mais fort ancrée à gauche et donc plutôt acquise au réchauffiste, Axel Kahn, LE généticien autorisé en France (il est tellement athée qu'il prêche le Carême à la cathédrale de Paris ...) et qui est, lui un esprit mesuré, refuse de voir un "procédé stalinien" dans cette lettre, mais quelque chose dit-il "d'abracadabrantesque" !

Axel Kahn n'a qu'un seul défaut. Il n'est pas certain qu'il ait vraiment perçu les enjeux du débat "réchauffiste" : le pouvoir économique et financier pour les cinquante prochaines années. La prise de pouvoir ne peut être que stalinienne. Par contre, au point de vue simplement scientifique, de l'Histoire des sociétés savantes, Axel Kahn a parfaitement raison. Le "réchauffisme" est tout simplement "abracadabrant".

Le traitement actuel de l'affaire du Climate Gate

La "grosse" presse se comporte d'une manière extrêmement suspecte.

En France, les quatre grands quotidiens : Le Figaro, Le Monde, Le Nouvel Obs', Libération, se comportent absolument comme il ne s'était rien passé au CRU. Ils ont seulement concédé tardivement à leur lectorat - mais ce lectorat ne comporte aucun lecteur, lecteur connecté à des neurones fonctionnels faut-il comprendre - l'existence d'un délit pénal de vol de courrier par un russe glacé à la vodka.

Sous les quolibets des internautes, la "grosse" presse continue de faire bavarder le "grand scientifique" Pachauri ou les "ambassadeurs" Lalonde ou Lepage, pour parler de Copenhague ou du "suçage du CO2 dans l'atmosphère" !...

Les JT de la Télévision recopient servilement les notes émanant des services de l'Etat entièrement contrôlés par les "réchauffistes".

Seuls quelques organes de presse de province échappent (rarement) à la censure des "réchauffistes" et sur le Net, les informations prises doivent l'être à l'étranger. La presse étrangère se partage nettement en trois parts :
  • une presse "aux ordres" des "réchauffistes qui, comme en France se borne à parler de temps à autres du "vol de quelques emails de scientifiques et à remplir au kilomètre des lignes de mots évoquants la Grande Catastrophe finale, les taux de CO2 "faramineux", l'accroissement de la température et autres fadaises ;
  • une presse un peu paniquée qui ne sait plus qui croire, avec des journalistes, eux réellement paniqués de savoir qui va gagner des réchauffistes ou de ceux qui les combattent ;
  • et
  • une presse qui peu à peu se libère, et commence à découvrir les horreurs des uns et les erreurs des autres.
Cete dernière presse est bien représentée par "The Guardian" ou "The Times of London".

Sur quoi tout cela va-t'il déboucher ?

"Juste encore un moment, Monsieur le bourreau" disait Mme du Barry en 1793.

Reprise du 27 avril 2010

L'affaire du CRU Gate a explosé dans une découverte interminable de fraudes, d'approximations toujours dans le sens du réchauffisme, de malversations financières liées notamment au trafic des permis de polluer", etc. qui a fini par devenir ce que les anglo-saxons appellent le Climate Gate. Même Sarkozy a fini par s'énerver et Obama semble ne plus trop savoir comment se tirer du guêpier climatiste dans lequel les Démocrates ont été jeté par Al Gore et Kerry.

Dans l'affaire du CRU Gate proprement dite, qui reste traitée essentiellement en Grande-Bretagne avec une petite ramification aux Etats-Unis (affaire Michael Mann), on compte trois batailles :
  1. La commission d'enquête parlementaire britannique :
    elle a conclu en soulignant la parfaite correction du gentleman exemplaire qu'est le patron du CRU ; ce n'était pas vraiment la réponse à la question que le public se posait, mais comme sait le faire tout politicien :
    "Votre question est si intéressante que je vais répondre à une autre question : la voici avec la réponse ! Et bien entendu, ma réponse à votre question vous a pleinement satisfait !" et ici, on coupe le micro de la salle ...

  2. La commission d'enquête privée Oxburgh :
    Oxburgh est un lord respecté, mais malheureusement, comme la plupart des membres de sa commission, il a des intérêts financiers dans l'industrie "réchauffiste", en l'occurence dans une société italienne de production d'énergies renouvellables ; il regrette donc infiniment de ne pouvoir donner satisfaction aux sceptiques, mais la Raison le conduit à dire que la Science du CRU lui convient tout à fait et il serait vraiment trop bête de sa part de donner un autre avis ....

    Devant une telle sagesse, la presse française s'est inclinée comme le petit marquis de Fontenoy.

  3. La commission d'enquête mixte Russel Muir :
    Désignée par l'université "propriétaire" du CRU (comme la Commisssion Oxburgh d'ailleurs ...) elle contient surtout des "réchauffistes" liés souvent à l'industrie. Ca paraît en France un peu étrange, mais en Grande-Bretagne, BP est un supporteur extrêmement actif de l'écologie et du "réchauffisme". Muir qui est un juge écossais a été contraint de "virer" de sa fine équipe le rédacteur en chef de la revue réchauffiste Nature, mais c'est vraiment pour vous faire plaisir ... D'ailleurs les autres sont encore pires ! Il va rendre son "arrêt" et tout le monde est impatient de voir le résultat qui établira le "triomphe" du "réchauffisme".

La presse française a reçu instruction de traiter l'affaire comme une affaire intérieure britannique, un peu comme cette pratique délictueuse qui consiste à accommoder le sanglier rôti avec de la sauce à la menthe ...

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